Quiconque nourrit un homme est son maître (préface Jean-Marie Dallet)

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par MOEA DURIEUX

À propos

On connaît le Jack London aventurier du grand Nord, marin des mers du Sud, chercheur d'or, vagabond du rail. On connaît aussi le London chantre de la nature sauvage, militant politique, défenseur des déshérités. Mais, on ignore souvent le London polémiste qui, prenant ici prétexte de la condition de l'écrivain obligé de prostituer son talent pour vivre, fustige une société où l'argent est roi.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Jack London

  • Traducteur

    MOEA DURIEUX

  • Éditeur

    Editions Du Sonneur

  • Distributeur

    Interforum

  • Date de parution

    01/03/2009

  • Collection

    La Petite Collection

  • EAN

    9782916136158

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    48 Pages

  • Longueur

    15 cm

  • Largeur

    10.5 cm

  • Épaisseur

    0.5 cm

  • Poids

    52 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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