John Barleycorn : le cabaret de la dernière chance

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par LOUIS POSTIF

À propos

Préface de Jeanne Campbell Reesman. John Barleycorn, littéralement John Graindorge, c'est pour l'Américain moyen la personnification familière de l'alcool, c'est-à-dire du whisky, le mauvais génie des compagnons de comptoir, le Dionysos du pauvre, l'Ange noir sur l'épaule. Publié quatre ans avant la mort de l'auteur, ce livre est en quelque sorte son autobiographie d'alcoolique dans laquelle l'immense écrivain raconte sa vie ¿ toute sa vie ¿ vue à travers la lentille déformante de la bouteille. Son dernier très grand texte, qui défraya la chronique, est un récit terrible, lucide, et une façon bouleversante de connaître l'auteur baroudeur de Croc-Blanc et de Martin Eden.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Jack London

  • Traducteur

    LOUIS POSTIF

  • Éditeur

    Libretto

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    26/09/2018

  • EAN

    9782369145165

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    272 Pages

  • Longueur

    18.2 cm

  • Largeur

    12 cm

  • Épaisseur

    1.8 cm

  • Poids

    224 g

  • Diffuseur

    Libella

  • Support principal

    Poche

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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