Une plongée passionnante dans les archives visuelles de l'Occupation et de la Libération, commentée par un des plus grands spécialistes de la période : Marc Ferro.

Foi et liberté s'opposent-elles ? Sur quoi fonder la liberté religieuse et jusqu'où l'étendre ? Comment conjuguer les exigences de la laïcité et la liberté de l'Église ?...

Ces questions, étonnement modernes, ont été celles d'un homme du XIXe s. : Henri Lacordaire. Alors que l'Église peine à trouver sa place dans la nouvelle société, issue de la Révolution hier ou de la modernité aujourd'hui, il élabore les contours de l'attitude et de la liberté des croyants. Lui-même fonde sa vie sur une conviction : seule la foi libère.

La refondation de l'Ordre dominicain - Quand il découvre l'héritage de St Dominique, le P. Lacordaire est saisi par son actualité. Et c'est à lui que l'on doit, 60 ans après sa suppression, d'avoir réintroduit en France l'Ordre des Prêcheurs.
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Au sortir de la guerre, Georges Albertini, ancien secrétaire général d'un des principaux partis collaborationnistes, fonde, grâce à l'appui financier de quelques amis hauts placés, une revue consacrée à l'étude du communisme. Celle-ci va devenir la couverture à une intense activité de propagande anticommuniste, menée par Albertini et les collaborateurs dont il s'entoure, également anciens collabos, ou communistes excommuniés.
Ils forment ensemble la "Centrale", un mélange d'officine patronale et d'agence de renseignement, qui va mener une lutte sans relâche à l'encontre du jeune Parti Communiste Français, et prendre progressivement du galon jusqu'à atteindre la sphère d'influence des hommes politiques les plus hauts placés de la Vème République. Ce film documentaire retrace l'histoire de cette ascension menée dans l'ombre, afin de comprendre comment cette organisation, née sur les cendres du fascisme, a su tisser sa toile.
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Mémoire demain présente 219 séquences de témoignages d'une durée totale de 8 heures.
Pensé comme un dispositif nomade, des images de synthèse, réalisées à partir de documents historiques et de l'état actuel du bâti, représentant les camps à la fin de l'année 1944 et l'une des chambres à gaz-crématoire de birkenau.
Le projet propose des informations et des documents historiques (photographies et textes) ainsi qu'un espace de travail à vocation pédagogique

Base unique d'informations sur la Résistance en Savoie, outil de référence pour découvrir et comprendre cette page essentielle de notre histoire locale.
Deux grandes entrées thématiques : « aspects de la Résistance » et « la Résistance dans son environnement », des index « lieux », « personnes » et « chronologie », des outils pédagogiques : « atlas », « recherche », « glossaire », « médiathèque », « sources », « classeur » et « aide », des biographes de résistantes et résistants, une large collection de documents d'archives (photographies, témoignages, presse.), plus de 760 fiches, 2100 médias dont 32 vidéos, 17 archives sonores et 26 cartes.
Réalisé par le Conseil général de Savoie dans le cadre de la campagne nationale du département l'AERI de la Fondation de la Résistance, sous l'égide du comité historique et pédagogique présidé par Antoine Prost.
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13 février 1961, 7h04, dans le Sahara algérien, à cinquante kilomètres de la ville de Reggane, la France entre dans le clan très fermé des puissances nucléaires en faisant exploser sa première bombe atomique, en pleine guerre d'indépendance. Roland, Gérard, Jacques, Hervé, Hamadi, Mohamed sont d'anciens appelés du contingent, militaires de carrière, civils ou simples ouvriers ayant séjourné sur les sites nucléaires du Sahara et travaillé durant les explosions atomiques. Ils nous transportent dans les années soixante et nous permettent de comprendre et d'analyser comment cette expérience militaro-scientifique s'est avérée d'une incertitude dramatique sur le plan humain et environnemental, et affecte encore le quotidien de familles algériennes et françaises.

Mémoires tsiganes, l'autre génocide présente les origines, le contexte et la spécificité du sort des Tsiganes pendant la Seconde Guerre mondiale en couvrant pour la première fois l'ensemble européen.
De l'exclusion à la persécution et jusqu'à l'extermination, le destin des Tsiganes est exposé par des images d'archives inédites, un commentaire historique rigoureux et sans concession et le témoignage de ceux qui l'ont vécu.
Par un cheminement original entre les sociétés d'avant-guerre et la machine nazie, le film jette un regard neuf sur la genèse des politiques nationales d'exclusion de l'entre-deux-guerres, sur le rôle déterminant de la « science raciale », sur la politique génocidaire nazie, dressant un tableau d'ensemble. Selon les régions, de 40 à 90 % des Tsiganes ont disparu.
Les témoins parlent de ces années terribles mais aussi de la vie d'avant. Leurs souvenirs et des documents d'archives exceptionnels nous permettent de découvrir une société européenne qui n'est plus. Un monde perdu, le nôtre.
Lauréat du prix « Rendez-vous de l'histoire du documentaire historique » aux 15e Rendez-vous de l'histoire de Blois (2012).
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Cette fresque documentaire nous fait revivre un demi-siècle d'histoire à travers les témoignages des derniers Secrétaires généraux de l'ONU et l'évocation de leurs illustres prédécesseurs. "A la maison de verre" célèbre l'événement des 60 ans de l'ONU. Pour la première fois, l'Organisation des Nations Unies nous est racontée par ses Secrétaires généraux, de Kurt Waldheim à Kofi Annan. Kurt Waldheim, Javier Perez de Cuéllar, Boutros Boutros-Ghali et Kofi Annan nous parlent de l'Organisation en quatre épisodes de 26 minutes chacun. - Les brumes de l'hiver : Kurt Waldheim, 1972 - 1981 - Vers un nouveau monde : Javier Pérez de Cuéllar, 1982 - 1991 - Les années orageuses : Boutros Boutros-Ghali, 1992 - 1996 - Tant que durera le jour : Kofi Annan, 1997 - 2006 A ces quatre entretiens s'ajoutent 55 minutes de compléments : - A propos de Dag Hammarskjöld, 2e secrétaire général des Nations unies, de 1953 à 1961 ; - Extraits de discours prononcés devant l'Assemblée générale des Nations Unies.
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