«?Alors, longtemps, j'ai rêvé, je me répète. Des questions me hantaient constamment : pourquoi ? Comment ? Et alors ??» Comment entreprendre une démarche de connaissance de soi et dépasser l'insularité vécue et sclérosante ? Des moments inoubliables de liberté et de plaisir un jour au bord de la mer déclenchent un profond désir d'aller à la rencontre de ses ancêtres. Telle est la démarche de Jean, partagé entre des doutes et la quête de vérité sur ses origines à travers les différentes cultures qui sont ancrées dans ses veines. C'est son histoire qu'il entend raconter ici. Cet éloge de l'interculturalité et du métissage est une invitation à l'école de l'humilité et une porte ouverte sur l'espoir dans un monde tumultueux et destructeur d'identité. Ce cheminement intellectuel à travers les siècles peut conduire chacun à identifier ses repères, à retrouver ses racines et à flirter avec des bonheurs simples. L'équilibre est alors atteint et les doutes s'estompent, pour entretenir une parcelle de bonheur et une infime gloire intérieure et secrète.
En remontant sa généalogie sur neuf générations, Jean-Bernard Nativel nous mène jusqu'au XVIIe?siècle.
Entre passé et présent, entre Madagascar et l'île de la Réunion où l'auteur naît en 1957, ce récit initiatique se métamorphose en une riche quête des racines multiculturelles, pour mieux revivre en paix avec son passé sans oublier l'âme, le sang et l'énergie de ses ancêtres.
Né en 1957 au Tampon dans l'île de la Réunion, Jean-Bernard Nativel a entrepris d'écrire tardivement. Pour celui qui peinait à rédiger un devoir à l'école primaire, le point de départ est un stage professionnel en atelier d'écriture. Avant-dernier d'une famille de treize enfants, il lui a semblé nécessaire de coucher sur le papier ce qui lui paraissait fondamental pour extirper le mal-être dont il a fait l'objet. Cet exercice difficile, considéré comme une thérapie, est le résultat d'un recours à quelques séances de psychothérapie.
«?Je sais ce que je vais trouver en Algérie mais j'y pars néanmoins avec une certaine curiosité et la volonté de pouvoir être militant de l'Homme, malgré l'étau militaire et la perte de ma liberté d'expression. Savoir mais aussi voir constitue ma disposition d'esprit.?».
Au travers de son journal de bord, tenu entre?1959 et?1960 en plein coeur de la guerre d'Algérie, René Knégévitch nous présente son parcours d'appelé sursitaire, affecté au 403e R.A.A., à Aflou, dans le Djebel Amour.
De cette guerre violente découle un témoignage violent. Lorsque le quotidien est rythmé par des ratissages, des accrochages, des sévices, la torture, mais aussi par la peur et la mort, que reste-t-il pour un humaniste pacifiste ?
Sans tabou, l'auteur nous livre ses émotions et ses réflexions tandis que le djebel tonne et que le sang coule. Un récit nécessaire et intime qui offre un regard de l'intérieur sur la guerre qui a bouleversé l'Algérie.
«?J'ai peur, comme jamais je n'ai eu peur auparavant. Peur de ne plus connaître mes limites, de ne pas savoir relever la tête, de finir noyé sous toutes ces pensées de culpabilité, de dégoût envers moi.?».
Les souffrances ne sont pas toutes physiques.
Affligé du Syndrome de Stress Post-Traumatique, Julien Bry se livre à coeur ouvert pour que cette plaie «?invisible?» ne soit plus un tabou. Pour panser les souffrances, l'écriture devient son salut, sa victoire sur son expérience personnelle. De ses opérations militaires bouleversantes en Afghanistan et au Mali au retour à la réalité, nous découvrons l'être humain derrière l'uniforme.
Un témoignage émouvant qui fait la lumière sur les blessures de guerre psychiques.
Ma mère a été mise à mort sauvagement une nuit d'hiver alors qu'elle dormait paisiblement dans sa chambre. Au-delà des émotions, nous avons besoin de comprendre, de trouver un sens à cette tragédie soudaine. Qui, pourquoi, comment ? Personne n'est préparé à faire face à l'extrême violence.
Dans le cadre des procédures pénales, la famille de la victime est la partie gênante, celle qui réclame « justice » au sens large, mais à qui on ne propose qu'une indemnisation financière.
Ce livre est une quête de « vérité ». Il relate dix ans de lutte d'une « victime par ricochet », pour garder une dignité dans un monde qui en manque cruellement. On y croise un dangereux personnage, des gendarmes, des infirmiers, des médecins, un vice-procureur, des juges, des avocats, les dirigeants du F.G.T.I., un Député... Mais ce livre, basé sur de nombreux témoignages, est avant tout un hommage à la femme formidable qu'était ma mère. Toute son existence, elle a vécu avec beaucoup d'amour, de courage, d'intégrité et a su transmettre ces valeurs à ses enfants. Sa mort ignoble, inacceptable, ne pouvait tomber dans l'oubli.
Jetée sur les routes après les bombardements du 6 juin 1944 à Caen, une famille de dix-huit personnes tente de survivre en traversant la Bataille de Normandie qui fait rage. Tous en ressortent vivants, dont une petite fille de cinq ans qui n'a jamais oublié. Soixante-dix ans après, elle rappelle ses souvenirs : Caen fin 1943, la fracture du 6 juin, quatre mois de dangers, l'installation à Paris qui fut un changement brutal dans la vie de la famille.
Le prodigieux destin de Véronique n'est pas un témoignage.
Ce n'est pas non plus un éloge de la psychanalyse ni un polar, encore moins le récit d'un parcours initiatique ou spirituel. Le prodigieux destin de Véronique, c'est tout cela à la fois ! avec en prime, pour ceux qui le liront, une clef pour l'éternité.
Et le tout raconté avec humour et vivacité, dans un style jamais pesant, pour préserver et faire honneur à quelque chose d'essentiel pour notre être : la légèreté.
Grâce à ce récit, vous ferez l'expérience du divan comme si vous y étiez. La psychanalyse, avec Le prodigieux destin de Véronique, retrouve sa dignité. Tant de contre-vérités ont été publiées à son sujet.
Il était temps que quelqu'un se lève pour prendre sa défense sans haine ni violence.
Mais l'essentiel de cet ouvrage réside surtout dans la (re) découverte d'un être tout à fait exceptionnel connu du grand public - mais mal ! - présenté sous un jour nouveau et original qui vous surprendra.
« Dieu m'a tendue la main et j'ai donné un grand coup de pied à la fatalité qui m'a projetée au sommet de ma vie. Aujourd'hui, je sais pourquoi je me bats. » Longtemps, Johanna s'est tue.
Née à l'île Maurice, elle ne connaît que la pauvreté, le rejet et la violence. Prisonnière des traditions, esclave de sa famille, meurtrie par les sévices, violée à la porte de l'adolescence, son quotidien est fait d'errance, de froid et de peur... Jusqu'à ce qu'au hasard de certaines rencontres, la bienveillance et quelques signes du ciel lui permettent de se reconstruire.
Johanna dépoussière ici les tiroirs de sa mémoire, témoignage d'une enfance et d'une jeunesse qui lui ont été volées, bafouées, salies à jamais.
Victime devenue porte-parole, Johanna défend la condition de la femme au nom de toutes celles, encore trop nombreuses dans le monde, dont on a souillé l'innocence, la pureté, l'intégrité et la confiance.
« Deux mois plus tard, le stage se terminait déjà. Je tenais mon destin entre mes mains ! Et là, comme une évidence, une carrière dans l'aéronautique s'imposa naturellement. À cet instant, ce n'était pas précis dans ma tête, mais tel un appel qu'il ne fallait pas ignorer, une opportunité qu'il ne fallait pas laisser passer, la perspective d'un défi à relever, il n'était pas question de quitter ce monde aussi nouveau qu'inconnu. » Lorsque, par le plus grand des hasards, Cassandre atterrit dans un aéroport pour un stage d'été, c'est une révélation. Autodidacte, résiliente et passionnée, une carrière dans l'aviation s'ouvre à elle. Baptisée « Charlie », elle deviendra le premier chef d'escale « femme » en France. Avec malice et légèreté, Charlie nous entraîne dans les coulisses d'un aéroport de province. Des péripéties d'une vie quotidienne aux indiscrétions des personnalités qui se croisent dans les couloirs, découvrez le témoignage romancé d'une femme qui a su s'élever dans un milieu d'hommes au coeur des années 80 !
We wish you a very pleasant flight !
Chef d'escale et responsable d'exploitation d'un aéroport régional, Béatrice Carpentier nous fait découvrir dans ce récit authentique, les coulisses de son métier à travers les parcours entremêlés du personnel et des passagers.
«?Le monde est rond et tourne rond, CQFD. Chez moi il tourne aussi, mais pas forcément dans la rondeur. Il est plutôt du genre à rouler très vite, se prendre les quatre coins de la pièce et vouloir les défoncer, traverser hors des passages cloutés, bugger par interférences, avant de finir par faire la foire dans la spirale de l'infini. Et quand y en a plus, y en a encore, puisqu'il recommence.?» Comment faire pour vivre dans une société qui a du mal à accepter la différence ?
Longtemps, Jennifer Ulman a caché sa différence et ses difficultés à comprendre le monde qui l'entoure derrière le masque du «?tout va bien?». Sentiment de ne pas appartenir à cette planète, d'être une étrangère, solitude permanente... Pour survivre, elle a dû créer un univers où elle est acceptée comme elle, un monde où elle peut clamer haut et fort : oui, je suis différente, je suis autiste asperger, et alors ?
Avec sincérité et humour, elle nous dévoile son quotidien de femme et de mère. Elle raconte ses obstacles, ses réussites et affronte la vie avec le sourire pour faire de sa différence une force, une inspiration. Car oui, on peut être autiste asperger avec des troubles de l'attention doublés d'hyperactivité et être heureux dans sa vie !
Témoignage touchant et plus que jamais nécessaire, « Dans la lune » donne une voix à l'autisme féminin encore trop souvent méconnu et prône une tolérance bienveillante.
De 1922 à 2009, découvrez la vie singulière de l'intrépide généticien : Piotr Slonimski.
Fondateur de la génétique mitochondriale, résistant et grand-père aimant, la personnalité de Piotr Slonimski est à l'image de sa vie : plurielle.
Homme de sciences reconnu sur le plan national, médaillé d'or du CNRS en 1985 et membre de l'Académie des sciences, l'influence de Piotr Slonimski sur notre compréhension de la génétique n'est plus à démontrer.
Mais derrière le généticien, il y a l'homme. Intellectuel éclectique, ses passions ne trouvaient comme limite que le temps. Entre peinture, littérature et plongée en apnée rien n'étanchait sa soif de connaissance.
Une vie vécue selon deux mots d'ordre : intensité et curiosité.
Un kaléidoscope précis et touchant de la vie d'un grand homme.
«?Certains événements de la vie ont un aspect fondateur et déterminant dans notre cheminement et nous font prendre parfois une direction à laquelle nous ne nous attendions pas.?».
Après avoir vécu une révélation spontanée et progressive, Aurel Corso a dû apprivoiser une nouvelle connexion avec le monde et commencer une véritable initiation personnelle. Condensé de ce chemin de vie hors du commun, son récit nous raconte comment ses perceptions et ses croyances ont été profondément bouleversées par le pouvoir de la conscience.
À travers un message d'ouverture et de responsabilité, ce témoignage rend hommage à l'invisible et invite à la connaissance de soi. Un parcours de vie inspirant et universel !
Chantal Mortier a été percutée, au cours de son chemin de vie, par la mort d'un de ses enfants. Broyée par la douleur, elle décide de se relever et de témoigner d'un chemin possible allant du chaos à l'apaisement. Au long de son parcours, elle est accompagnée par des signes : ces «?clins d'oeil?» émanant de son fils envolé, qui l'ont grandement apaisée et encouragée. Son souhait est que, à la lecture de son récit, toute personne confrontée à la perte d'un être cher puisse trouver, au-delà de l'expression de la souffrance, des mots porteurs d'espoir.
En revenant sur le suicide de son fils, et au travers d'une écriture sincère et poignante, l'auteure exprime toute la douleur de la séparation, mais surtout l'espoir et l'appel de la vie qui a résonné.
Tout a commencé le lundi 26 octobre 2020 lorsqu'Alma est testée positive au Covid. Cette journée fut pour elle le commencement d'une longue traversée du désert qui la vida de ses forces. Comment n'a-t-elle pas sombré ? Lorsque nous nous retrouvons au plus bas, nous ne pouvons que remonter...
Alma Bias partage son expérience faite de hauts et de bas, tout en cherchant une explication face à l'absence de réponses et la persistance des maux. Alors emplie de solitude, elle nous laisse entrevoir comment la lumière est apparue au bout du tunnel. Sous l'angle du développement personnel, l'auteure aborde ce sujet grave avec un brin de légèreté et son pesant d'optimisme. Elle véhicule ainsi un message d'espoir auprès de celles et ceux qui souffrent de la même maladie.
Enfin, Alma partage certains « outils » qui l'ont aidée à s'en sortir : la patience, la résilience, l'acceptation, la foi... Des illustrations personnelles reflétant ses ressentis introduisent chaque chapitre.
1971 : Luc a 15 ans. Il est potache en 3e au lycée Pierre-Loti de Rochefort. Lors de ses moments de liberté, avec trois copains de classe, il se régale du spectacle de la rue, se rend à la fête foraine, fait des farces, visite la Corderie en ruines et, quand il a des sous, va au cinéma où il retrouve les marins en permission. Mais le grand enjeu de cette année scolaire est l'épreuve du BEPC à laquelle tous les copains se préparent, certains parents ayant promis un cyclomoteur en récompense de la réussite à l'examen. En attendant et en dépit du « bachotage », les quatre garnements continuent à partager de joyeuses tranches de vie jusqu'au « grand jour » qui arrive plus vite qu'ils ne l'auraient imaginé...
Plus qu'un témoignage, c'est une véritable libération des épreuves endurées. Atteinte de la maladie de l'endométriose, l'autrice nous partage son expérience brute et directe, alliée à un subtil équilibre entre légèreté et intensité, le tout sur le ton de la confidence.
Son objectif est simple : conscientiser les personnes touchées par cette maladie trop méconnue et qui touche de nombreuses femmes.
Ma vie avec toi, mon endométriose ! met également la lumière sur les difficultés traversées, en apportant un brin de souplesse et d'humour dans le but de dédramatiser les situations les plus gênantes. Armée de son bic et le coeur chargé d'émotions, Marie-Eve Chalet nous transmet ses ressentis et son parcours avec la maladie.
Une vie d'artiste ! Liliane Dutoit-Villemer a parcouru le monde avec ses pinceaux, afin de faire naître un art si singulier, si particulier, un art empli d'amour, de sensibilité et de beauté pure.
À travers cet ouvrage, l'artiste peintre nous dévoile son univers, tantôt poétique, tantôt nostalgique, mais surtout bercé par l'amour de ses proches.
Plus qu'une autobiographie, Allégorie d'une vie est un véritable voyage retraçant un parcours de vie hors normes. C'est aussi un hommage à la peinture, amie et alliée de toujours, pièce importante dans le coeur de l'autrice.
Retour dans les années soixante à travers ce récit haut en couleur. Jean Torck nous invite à l'aventure en relatant sa vie de marin et celles des équipages qui sillonnaient les océans. Ces hommes ont parcouru les mers du monde entier, embarqués sur des cargos aux lignes élégantes, accomplissaient des voyages au long cours de plusieurs mois, escalant dans des contrées aux noms enchanteurs, et parfois paradisiaques.
Cette vie à bord de ces cargos sera bientôt bouleversée par l'apparition de l'automatisme. Nous sommes à la veille de la conteneurisation, les navires aux dimensions gigantesques parcourent désormais les mers et océans. Les valeurs de l'ancienne marine disparaissent peu à peu pour faire place aux profits et à la rentabilité.
Plus qu'un parcours de vie, « Entre mers et océans » vous propose de découvrir une expérience personnelle riche en anecdotes mêlée à une analyse des changements maritimes de ces dernières années. Prêt à embarquer ?
Un témoignage authentique, tel un journal intime, mais aussi un exutoire. Parcours d'une douloureuse chronique est une quête de sens, un besoin de raconter une expérience vécue avant et après une difficile opération chirurgicale.
Atteinte de douleurs neuropathiques, l'autrice allie expérience professionnelle et recherches scientifiques afin de comprendre la douleur, l'accepter, vivre avec. À travers ce récit richement documenté, cet ouvrage propose de revenir en détail sur ce chemin parcouru et d'expliquer en profondeur ce qu'est la douleur chronique.
Ce livre vous embarque dans le quotidien d'un couple qui rêve de fonder une famille. Tout leur paraissait si simple. Pourtant, ils vont être projetés dans un long et difficile périple.
Ils connaîtront d'abord les angoisses d'un protocole de PMA avec son lot d'espoirs, d'échecs et de doutes. Puis viendra le projet d'adoption, un parcours complexe avec des montagnes à franchir plus hautes les unes que les autres pour espérer goûter au bonheur si précieux de devenir parents. Le couple va devoir s'armer de patience et apprendre pour continuer d'espérer. L'autrice raconte la difficulté à rester soi-même avec d'autres femmes qui deviennent mamans plus facilement et naturellement.
Tout au long de l'ouvrage, elle évoque ainsi les conséquences de son désir de maternité sur ses relations avec son entourage et sa volonté de partager son combat tout en essayant de vivre normalement. Elle espère ainsi pouvoir apaiser d'autres personnes vivant les mêmes difficultés, comme elle l'aurait souhaité.
« Après les espoirs, les questions, les illusions, les échecs, les larmes, la colère, vient peut-être enfin le bonheur d'entendre une petite voix m'appeler Maman »
Il suffisait de presque rien. Un presque rien, un je-ne-sais-quoi, de ceux qui font toute la différence et impliquent la normalité. Pendant trente-trois ans, j ai eu l' impression de te mettre au monde chaque matin. Il a fallu continuer à vivre envers et contre tout, vivre « debout » malgré ton handicap, les contraintes qu' il représentait et les tâches qu' il impliquait. Ta maladie te situe parmi les enfants de l' ombre et du silence. Ton père décide de créer un site internet pour te mettre en lumière et te donner « la parole ». Il installe une webcam dans ta chambre et, sur doudouworld.com, c' est le regard qui regarde le regard, c' est préférer la réalité à l' apparence et céder sur le paraître au profit de l' être. Ce qui compte c' est cet Autre, autrefois tapi dans l' ombre, qui fait voir les choses à travers son regard. « Comme elle ne peut pas aller vers les autres, alors ce sont les autres qui viendront à elle. »
C'est de cet endroit que l'auteur vous écrit et vous invite à parcourir le chemin tracé tout au long d'une vie, depuis la petite enfance, jusqu'à l'année 1990. Remplie d'anecdotes, de nostalgie, d'aventures (amoureuses, professionnelles), il vous emmènera jusqu'au coeur de la France, dans ce paradis encore vierge de toutes pollutions que sont les monts du Forez. Prenez aussi avec beaucoup d'humour quelques passages osés de sa vie personnelle. Vous allez aussi retrouver dans celui-ci : des mots, des paroles, une façon de vivre ancestrale, son engagement au service de la collectivité, sa joie de vivre, l'amour de ses enfants, l'amour tout court, mais aussi sa conviction et réflexion sur des faits réels, qu'il a subis au cours de ce périple de la vie. Conviction et réflexion ? Oui ! Au coeur de cette montagne, « Petit-fils de berger » profite de cette nature encore vierge pour le reste de ta vie, elle sera la seule à ne pas te décevoir.
Il suffit, pour un principal de collège, de sortir de son bureau, d'aller au-devant de ceux qui ont envie de changer le système - en l'améliorant bien sûr - pour servir au mieux l'intérêt des élèves et de leurs parents.
L'auteur souhaite montrer qu'au-delà de tâches purement administratives, un chef d'établissement peut trouver un terrain d'exercice passionnant, voire exaltant, à travers des expérimentations originales, via des réussites parfois inattendues, en proposant quelques innovations profondes ou des confrontations vis-à-vis de certains dysfonctionnements du système.
L'humour est souvent très présent, il serait même de plus en plus recommandé dans l'exercice d'une mission capitale et parfois périlleuse...
Bernard vécut une enfance tourmentée, mal dans sa peau et handicapé par une timidité maladive. Attiré dès sa plus tendre jeunesse par la gente féminine, il aima beaucoup mais peu le lui rendirent. jusqu'à sa rencontre avec Gilberte. Soucis de travail et d'argent, entraînèrent une période de vaches maigres et même très maigres ! Quand, enfin, tout semble aller pour le mieux, Bernard apprend qu'il a un cancer. Avec beaucoup d'amour et de volonté, il parvient à guérir et sortir à nouveau de la misère. Formé à de nombreuses écoles, y compris celle de la vie, Bernard est désormais un retraité heureux cultivant ses passions : peinture, jardinage, bricolage.
Témoignage d'une maman viscéralement brisée, qui a vu son fils de 25 ans happé par une voiture sous ses yeux. Contre la mort qui rôdait, elle s'est battue; contre l'avis de tous, elle s'est oubliée pour se surpasser, observer, apprendre, agir, parfois même inventer, résister, quand même soutenue et poussée par quelques personnes, parfois concernées: médecins, professeurs, spécialistes du corps médical, stupéfaites des résultats. À la suite de ce travail acharné de plus de vingt ans, cette mère qui sait que trop bien la valeur de la vie un cadeau merveilleux à apprécier chaque jour revient sur cette épreuve pour nous offrir un livre vrai, avec le bon et le mauvais de cette épreuve menée à bien: un fils à nouveau heureux de vivre.