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Poésie
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Le lecteur est invité à se laisser porter par la musique du style et le souffle de l´inspiration qui s´harmonisent de poème en poème, tout au long de ce recueil. Le « Parfum d'exil » se décline en plusieurs « notes » : après la synthèse alchimique des « Impressions », mariage des sensations entre la nature et le monde intérieur du poète ; les « Visages d´Ève » nous invitent à retrouver le Féminin de notre être, lieu des mémoires et de la sagesse perdue ; « Rites » réveille notre sens du sacré, entre puissance symbolique et union magique des pôles féminin-masculin ; « Hommages à la beauté » est un appel aux poètes, pour qu´ils « ré-enchantent le monde », qu´ils redeviennent des « fous d'amour ».
Face à tous les bouleversements de nos repères et les gestations difficiles de nouveaux modes de vivre-penser-sentir : « Il faudra trouver une autre direction à notre quête, transformer notre soif en délire solennel, guetter dans l´absurde le frisson de l´évidence. »
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« C'est vrai, on croisera, sur notre chemin pendant le voyage, des êtres qui embarqueront, d'autres qui fileront au fil du temps. Ceux qui nous tatouent de leur nom et ceux qui nous le feront oublier. » À quoi bon pleurer la mort Quand on sait que la terre est un abri À quoi bon pleurer la vie Quand on ne vit que sous la peur.
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Là où la lune a l'odeur de brioche : sur le chemin de Compostelle
Frédéric Duchêne
- Amalthee
- 20 Juillet 2022
- 9782310053082
Je pars sur les routes en lacets Déposer l'exuvie de ma vie d'hier, dans un coin de verdure ;
Et revêtir la nouvelle, sans doute plus sur mesure.
« Vita brevis ».
Une vision poétique du Camino, qui sort des récits habituels.
Frédéric Duchène est né en 1967 à Nantes. Il profite de l'été 2020 pour partir seul sur le chemin de Compostelle.
Au départ de Nantes, il marchera de Mont-de-Marsan jusqu'à Pampelune, en Espagne. Une première étape forte, qu'il nous livre dans un témoignage émouvant. Il nous raconte ici son voyage à la fois au sens littéral, mais également spirituel.
Une poésie du coeur, de l'instant vécu, des inspirations fortes, des rencontres et des sentiments intérieurs. Sa sensibilité, son émotion nous dévoilent une écriture toute personnelle, détaillée, où nature, religion, réflexions sur le temps, sont au centre d'un récit dense, écrit pour saisir le vrai d'une tranche de vie et un certain questionnement sur l'existence. -
Natif de Saint-Pourçain-sur-Sioule, petite ville de l'Allier, j'ai vécu serein mon enfance et mon adolescence dans la boulangerie familiale, entre les croissants et les pains aux chocolats. À dix-sept ans, j'ai connu ma plus grande douleur : Maman nous a quittés. C'est alors que j'ai commencé à confier mes états d'âme aux pages blanches. Ma vie a suivi son chemin : l'amour, le mariage, l'achat d'une entreprise, la paternité rendue possible grâce à l'adoption. À cinquante-cinq ans, je publie ce recueil de souvenirs d'une vie, de partage avec les êtres aimés, de plaisirs d'écrire et de créer. Il témoigne de mon bonheur d'avoir toujours dix ans au fond des yeux.
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Soixante et un petits instantanés poétiques pour vous parler d'humanité, de nature, d'universel et de sacré. Mais aussi de tout, de rien, du quotidien. À savourer et partager en toute simplicité.
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J'ai toujours été fidèle à la tradition des voeux, d'une manière ou d'une autre. J'ai pu ainsi, grâce à ce fil ténu, maintenir des relations et recréer des amitiés... Mais, au bout d'un certain temps, je fus fatigué des expressions convenues et conformistes et décidai de les personnaliser d'une manière plus originale - et pour ne pas avoir à recopier moult fois - de faire imprimer par un ami dont c'est le métier. Depuis 1981, j'écris une carte de voeux que je donne ou envoie à tous mes correspondants (famille, amis, tous ceux à gui je ne veux pas de mal, au contraire !). L'attente, exprimée par certains chaque année et le contentement que ces cartes apportent, m'a poussé à les regrouper, les relier et les publier, comme certains aussi m'y incitaient. Le thème est toujours le même, c'est la loi du genre, mais il peut être marqué par un événement particulier (qu'il soit familial ou un phénomène tel qu'une éclipse de soleil!). Par définition, ces cartes sont adressées à l'autre, aux autres; c'est en même temps des injonctions que l'auteur s'adresse à lui-même... Chaque carte, ainsi que leur lecture en continu, indique bien la dualité entre ce qui retient dans le vécu qui vient de s'écouler, comme heureux et/ou malheureux et ce qui veut advenir. Cette dualité ne se résorbant que dans le fait de dire les images qui fusent pour que s'y enracinent celles porteuses d'inconnu et de promesses. C'est une longue méditation sur le temps qui passe, offerte au lecteur qui pourra y puiser inspiration pour ses propres voeux. Bonnes années à venir!
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Rivière Dispersée, déchirée, Flots lents désassemblés, timorés pour courir Dans le lit sablonneux De l'inaccompli Une seule goutte De Vie Suffirait à baigner les deux bords Et fleurir de radeaux le cours fécond de l'eau Mais qui Fredonne encore Aux confins de la nuit Sur un simple roseau Le doux chant de l'amour pour s'éveiller au jour ?
Extrait du poème " Sécheresse "
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Ma poésie n'appartient à aucun genre ni style précis.
Elle s'inspire de Baudelaire, mais se veut simple . Elle exprime les sens : ressentis et sentiments.
Elle aime la liberté, l'amour et refuse la bien-pensance.
Baignant dans la souffrance des sentiments et des jours présents . Elle se nourrit et parle d'impressions simples et de sentiments contrastés.
Où amour et passion sont les deux faces d'une même pièce.
L'âme humaine, sa noirceur comme sa beauté . Des Fleurs du Mal aux Contes grivois . Qui sait de quoi demain sera fait ?
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« À la sortie du village, La route se continue En sinueux lacets.
C'est le coeur serré, Que je me sens partir vers l'inconnu. » Un monde imaginaire est un récit de poésies inspirées du fantastique et du gothisme. Fées, sorcières, vampires et beaucoup d'autres personnages peuplent cet univers.
Partir en voyage vers l'inconnu et pourquoi pas, ne pas en revenir.
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Dessiner par les sonorités et les rythmes autant que par le sens des mots une Carte de Tendre personnelle, tel est l'objet de ce recueil. Cette errance entre l'adret et l'ubac de l'amour convoque l'expérience du lecteur : le poème a fonction de trait d'union libre, espace où deux chemins se superposent, rencontre du lecteur avec un alter ego qui propose une forme à ses affects.
En découle un choix de fluidité, d'harmonie, où le ressenti prévaut sur les jeux d'écriture, pourtant présents en filigrane. On y lira des préférences poétiques, en particulier pour l'art de la suggestion cher à Apollinaire.
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Alors permets-moi de t'offrir mes fleurs Comme Une tempête de passion Comme Une tempête de mots Déferlant sur ta peau Un cyclone d'amour Comme simple raison Te rendre heureuse un instant, Juste un seul instant Extrait « Deuxième Fleur » Originaire de Kinshasa, Nina Kibuanda Humeau est un artiste en ébullition : Slameur, comédien et metteur en scène. Son credo ? La valorisation de la langue française. Parler, partager, écouter, échanger avec l'autre. Un artiste-voyageur qui distille ses différentes passions partout où le vent le mène, de Nantes à Paris, de Berlin à Durban, d'Oristano à Budapest.
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Il y a Ceux qui se cherchent Ceux qui se chassent Qui croient savoir Mais n'osent pas Ceux qui voudraient Ceux qui se cachent Qui aimeraient Mais n'auront pas En fait il y a nous Il y a moi Puis on se perd Et on s'ignore Oui on pensait On avait tort Car quand on s'aime On s'abandonne Quand tu me sèmes je m'évapore
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« À perte de vue / rien que des brumes / qui noient les contours / tout se tait / l'oeil regarde / l'oreille écoute / qui suis-je ? » Le long des montagnes, des plaines et des mers, il y a les rencontres, les paysages, l'effort. L'oeil du peintre voit ces choses secrètes, ces détails qui ne le restent pas. Tantôt ému, tantôt sévère, il cherche les mots pour peindre. Mais les mots s'y dérobent parfois. Alors, il utilise peu de mots et une fois écrits, le blanc autour d'eux se remplit des mots qu'imagine le lecteur.
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« Un pincement au coeur m'avertit, il me plaît.
Les expériences vécues ont tracé des sillons Sur sa peau, au fond de ses grands yeux verts, qui sait Combien de coeurs brisés et de fausses illusions A-t-il abandonnés sur le bord du chemin ? » Deux destins se croisent sur la banquette arrière d'un bus, aux confins du monde. Une invitation au voyage pour dérober des bribes d'éternité et fuir le monde, son bonheur prêt-à-porter et ses amours kleenex. Une chevauchée à la conquête de moulins à vent pour s'enivrer de douces illusions et ne jamais cesser de rêver.
Dans la lignée des héroïnes de ses romans L'Ombre d'un remords, Empreintes digitales et Confidences à marée basse, aux prises avec la fragilité du sentiment amoureux, les personnages de l'Inconnu de Popayan, funambules marchant sur le fil de leur vie, chercheurs d'or, navigateurs sans boussole, traversent ces vers tels des clandestins sans passeport pour le bonheur.
Née en France, de mère espagnole originaire d'Albacete, la terre de Don Quichotte de la Manche, et de père français d'Algérie, Catherine Ballester réside et travaille à Rome depuis l'an 2000.
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« Le Rosier s'illumine de mille couleurs.
L'oeil sensible s'égaye de tant de fleurs.
Les parfums se mélangent en une seule odeur.
L'allégresse gagne les oiseaux et les coeurs.
Chassant de leur lumière la brume, le malheur, Les Roses mènent mon âme depuis des heures Louvoyante au beau rosier de mille couleurs.
Je voudrais faire un bouquet de cent et une fleurs. » À seulement 16 ans, Quentin Moreau peint le portrait d'un monde supplicié à grand renfort de sonnets, d'acrostiches et d'haïkus, favorisé par un axe unique : celui d'une rose noire étincelante à jamais éphémère.
De l'expression sentimentale à la mélancolie exacerbée, il nous guide dans les dédales tristes et fatalistes de sa pensée, et tente d'échapper à l'inexorable par la simple beauté des fleurs. Un recueil sincère, sublime et intemporel.
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« Perdu dans les nuages J'explore au fil du temps Les souvenirs d'antan Avec pour tout bagage Un sac de calembours Orné d'un brin d'humour. » Le poète oscille ici entre la folie et l'émotion qu'il met en scène à travers ces vers. Tantôt loufoques, tantôt sérieux, les personnages et les animaux qui peuplent ses fables sont un reflet étoffé du quotidien.
La poésie se mêle ici aux illustrations dynamiques de Stéfanie Bisso. Chaque esquisse accompagne les divagations de l'auteur tout au long de cette lecture qui laisse libre court à l'interprétation de chacun.
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« Danser comme l'on prie.
Écrire comme l'on aime, La fièvre dans la chair, L'éternité dans l'âme.
C'est la même peine.
C'est le même cri.
Ce dialogue de silence C'est notre paradis. » À travers ses poèmes où le songe et le réel se côtoient, Danièle Auray nous entraîne de la terre au ciel, du visible à l'invisible. Le temps d'un souffle et d'un soupir, elle fait entendre sa voix authentique et prenante.
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« Fais-moi grandir ces instants Que je semais dans le néant.
Ouvre toutes ces barrières Qui me retiennent à hier.
Je partais pour les retenir Mais suis tes pas à l'avenir. » En travaillant à lier la phonétique, l'orthographe et le sens, la niaque des Mots se construit comme un recueil énigmatique à résoudre, riche d'un second degré qui veut souvent dire beaucoup. Protéiforme, il s'essaye à différents styles poétiques contemporains et se dévoile sur l'actualité, l'amour, l'humour, la mythologie ou encore la religion.
Né en juillet 1978, Romain Rathouis est un amoureux des mots. Intéressé par la philosophie, le développement personnel et les romans à suspens, il travaille ses textes par associations d'idées. Il aime tout simplement la vie et se considère comme un philanthrope sensible.
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L'adolescence offre toutes formes de tracas, et chacun trouve son remède face à ces angoisses. Le mien a été la poésie, et plus précisément ces quatrains. Ces petits poèmes que j'ai écrits entre onze et treize ans et demi sont inspirés par des expériences, des émotions et des souvenirs marquants. Mes quatrains ont un but ultime : aider les lecteurs et offrir de l'espoir à ces anonymes par la lecture de leurs mots.
L'intégralité des droits d'auteur que je toucherai grâce aux ventes de ce livre sera reversée à l'Association Bibliothèque Braille Enfantine (ABBE), afin de concrètement offrir de l'espoir à d'autres.
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Textes libres écrits sur plusieurs décenniesSans chronologieMi-doux mi-amersComme les temps, comme les rencontres.Textes discrets plus ou moins mélancoliquesAvec des mots aimésDes mots-jouets, des mots reflets d'irisAvec leurs consonances oubliées - retrouvéesTextes pour un monde un peu secret,Un peu étrange,Un mode perçu avec tendresse,Et sans trop d'illusions
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Autant par la préface soigneusement méditée que par la diversité des thèmes engagés dans ces écrits nés au fil des années, sans hâte, nous voici pour un partage d'émotions, peut-être de critiques.
Transformer un don perçu en un talent à révéler appelle le sens de l'effort, de la persévérance et de la spontanéité préservée. -
Et quand le papier se transforme, Projette comme le miroir, L'égo profond de soi les formes, La peau rougit tant blanche que noire.
Mais en secret comme elle est douce, La cabriole de la plume !
Cette fois sortie de sa housse De sa danse parle et lève la brume. -
Bas les masques ! recueil de poésie affranchie
Angélique Pignat Selmonmusaj
- Amalthee
- 20 Décembre 2017
- 9782310034678
« Tu crées ton malheur, alors qu'à ma porte frappe la félicité.
Tu ne rencontres que des obstacles, alors que me sourit la chance.
Tu creuses ton propre lit de mort, alors que j'enfante.
Tu maudis ton infortune, alors que moi, je loue mon existence. » Extrait de « Contraste » L'amour a deux visages, celui de la lumière et celui de l'ombre.
Dans cette histoire passionnée, Bas les masques ! vous invite à assumer la part sombre de votre amour et à vous en affranchir.
Angélique Pignat Selmonmusaj écrit des poèmes depuis son adolescence. C'est au collège de l'Abbaye de Saint-Maurice, en Suisse, qu'elle découvre réellement ce genre littéraire, grâce à l'un de ses professeurs de français. Ce dernier demandait chaque semaine à ses étudiants de rédiger un poème sur un thème imposé mais dont la forme était libre. Son mot d'ordre : l'expression des sentiments.
Depuis lors, les vers vont et viennent et habitent l'univers littéraire de l'auteur. Bien qu'elle ait lu les plus célèbres poètes et étudié les plus illustres écrivains sur les bancs d'école, Angélique opte pour un vocabulaire plus abordable. En effet, les mots choisis sont accessibles, le registre de langue côtoie parfois le langage courant. Tout dans le recueil se veut percutant et incisif. Ici, pas de place pour le mensonge et la mystification. Malgré les mots inavouables et les mots meurtris, l'auteur privilégie avant tout l'honnêteté. Jusque dans ses écrits où ces derniers s'inspirent d'évènements réels, qu'elle a entendus, observés ou vécus. Et à travers sa poésie dite « affranchie », elle dévoile ses plus noirs desseins en s'émancipant des conventions littéraires et morales.