Votre mental sait se montrer créatif quand il s'agit de relever les défis de la vie quotidienne et d'affronter les problèmes que vous réserve le monde. Mais au lieu de vous en servir avec intelligence et parcimonie, vous l'avez, malgré vous, laissé prendre les rênes de votre vie. Croyances, ambitions et interprétations régissent alors vos jours et vos nuits, vous mettant en conflit permanent avec vous-même. Vous ne cessez de ressasser et de planifier chaque événement, même durant votre sommeil. Et s'il existait un moyen d'endormir votre esprit pour obtenir un peu de repos ?Ce livre vous apprendra que vous ne pouvez certes pas éteindre votre mental comme un ordinateur, mais qu'il existe un interrupteur capable de le réduire au silence - non pas par la force ou via l'exécution d'un rituel exotique, mais grâce à la compréhension de votre fonctionnement et à la vigilance. Cet interrupteur, c'est la méditation.
Les Yogasutra de Patanjali comptent parmi les oeuvres de la littérature indienne qui sont d'une portée universelle. Les 195 aphorismes qui constituent ce traité demeurent une référence pour le yoga, depuis leur composition (Ve siècle de l'ère commune) jusqu'à aujourd'hui. Pourtant, ils ne s'appliquent pas à décrire les postures corporelles qui se sont multipliées au cours des siècles. Ils s'intéressent plutôt à l'intériorité de l'être humain, telle qu'un ascète la découvre quand il s'exerce à « la résorption des opérations du mental ». En ce sens, ils déploient une philosophie. C'est pourquoi il fallait un philosophe pour les traduire et les commenter, ce qu'a fait Marc Ballanfat au coeur de l'ouvrage YOGA. L'encyclopédie (Albin Michel, 2021). Il enrichit ici ce travail en l'accompagnant d'un essai sur l'histoire et la philosophie des Yogasûtra afin de les replacer dans leur contexte culturel et d'en comprendre l'enjeu pour notre monde contemporain.Présenté de façon conceptuelle et pédagogique à la fois, ce traité de l'école de Yoga deviendra indispensable à tout pratiquant désirant approfondir son expérience, et plus largement à tout lecteur persuadé que la philosophie se dit aussi en dehors de l'Occident.
Dans l'Inde ancienne, il n'existe pas de mot sanskrit pour parler de « mythes ». Ce que nous désignons comme tels était considéré par les Indiens, au moins jusqu'au XIXe siècle, comme des histoires réelles expliquant un rite ou donnant un cadre de pensée aux actions et aux comportements de tout un chacun. Il faut dire que, dans le monde indien, les histoires de dieux et de héros, mais aussi d'animaux et de plantes, irriguaient toutes les branches du savoir, et passaient pour des sortes de guides à l'usage de la vie quotidienne.
Ces 100 légendes sont l'occasion d'explorer la culture et la religion de l'Inde, en l'occurrence l'hindouisme, qui est pratiqué par environ 80 % de la population. Des différentes versions sous lesquelles on les connaît, seules ont été retenues les plus célèbres ou les plus intéressantes.
Du démon ??i, que Siva parvient à tuer au moyen d'un foudre accroché à son pénis (!) jusqu'aux Yogini, ces sorcières aux redoutables pouvoirs, en passant par Ga?esa, le dieu à tête d'éléphant créé à partir des sécrétions de la peau de Parvati, ou encore à Narasi?ha, l'homme-lion quatrième avatara de Vi??u, Alexandre Astier nous convie à un fabuleux voyage au pays des vaches sacrées.
Les Yoga Sutras ont été écrites dans leur forme actuelle en Inde autour du troisième siècle av. J.-C. Le yoga est issu de la racine sanskrite qui signifie «union», et des sutras sont des règles ou des préceptes exprimés sous forme d'aphorismes. Chaque génération se pose les mêmes questions fondamentales «qui suis-je?», «où vais-je?», «quel est le but de la vie?», et les réponses de Patanjali constituent l'un des textes spirituels les plus anciens et les plus vibrants au monde. Il explique ce qu'est le yoga, comment il fonctionne et comment purifier l'esprit et le laisser s'apaiser dans une immobilité absolue. Ce calme est notre propre Soi.
C'est le terrain indispensable pour l'éveil, but ultime de toutes nos aspirations.
L'introduction limpide et la superbe traduction des sutras d'Alistair Shearer, traduction qui préserve pleinement le style cristallin de Patanjali, transmettent ces enseignements millénaires mais essentiels à ceux qui recherchent aujourd'hui la voie de la connaissance de soi.
La Bhagavad-Gîtâ ou « chant du Seigneur » est sans aucun doute, avec les Upanishad, l'un des textes fondateurs de la spiritualité indienne. Il a été sans cesse commenté par les plus grands philosophes indiens, de Shankara, qui voyait dans cette « sainte Écriture » « un recueil des vérités essentielles de tout l'enseignement védique » aux maîtres des traditions vishnoutes et shivaïtes, et a été traduit dans toutes les langues. Inséré dans la grande épopée du Mahâbhârata, juste avant le combat final, il met en scène le guerrier Arjuna et son cocher, Krishna, qui se révèlera progressivement dans le poème comme « le Dieu des dieux », le Bhagavân, « le Seigneur ».
Par sa richesse, sa concision et la profondeur de son message invitant à avancer bravement au-delà des apparences vers l'Unité, ce texte se prête à une grande diversité d'interprétations. Forgée par trente années d'études et d'enseignement celle de Gisèle Siguier-Sauné situe la Gîtâ dans le prolongement des textes qui l'ont précédée pour en explorer la féconde originalité. Ainsi nous conduit-elle pas à pas dans cette quête de l'Unité jusqu'au dévoilement de l'Amour libérateur, ultime révélation de ce poème unique.
Le Mahâbhârata, qui est la grande épopée indienne, décrit le combat sans merci que se livrèrent les deux branches des Bharata, les Kaurava et les Pandava, pour le trône de la dynastie lunaire. Les seconds sont aidés par Krishna, incarnation de Vishnu, qui énoncera juste avant l'ultime bataille la Bhagavad Gîta, pierre angulaire de la spiritualité indienne. Dans cette Iliade indienne où les démons affrontent des armes divines, les thèmes de la vie et de la mort, de la vertu et du destin, de la force et du droit sont traités sous l'angle narratif. Serge Demetrian, qui connaît parfaitement les différentes versions du texte original, a vécu plus de vingt-six ans en Inde. S'inspirant des conteurs traditionnels de l'Inde du Sud, il nous offre une version inédite du Mahâbhârata, qui nous transporte au coeur de l'âme indienne.
Un des chefs-d'oeuvre de la philosophie indienne enfin traduit.
Voici la première traduction intégrale en français du chef-d'oeuvre philosophique d'Abhinavagupta (Xe-XIe s.), représentant éminent du Shivaïsme du Cachemire. Cet auteur shivaïte, très prolifique, appartient à l'univers du Tantra non-dualiste et fut également un maître incontesté de l'esthétique indienne.
Dans ce texte magistral, Abhinavagupta cherche, à travers une analyse subtile, à nous permettre de reconnaitre en notre centre la présence de Shiva, le Soi conscience. Cette investigation profonde de l'intériorité - on y traite de la perception, de la mémoire, de l'acte de conscience... - prend ici la forme d'un débat où s'affrontent des visions plurielles. Pour cela, il croise le fer avec les diverses théories influentes à son époque, les bouddhistes, les vedantins, les physiciens, les logiciens, les matérialistes, les philosophes-grammairiens, Avec ce texte à la fois philosophique, chemin mystique, oeuvre de vie, Abhinavagupta vise à nous faire éprouver l'expérience d'éveil au Soi. L'introduction éclairante de Colette Poggi et ses nombreuses notes nous aident à rentrer dans une des plus grandes oeuvres de la spiritualité universelle.
Le Râmâyana est, avec le Mahâbhârata, l'autre grande épopée indienne. Le noble Râma, incarnation de Vishnu et époux de Sîtâ, est l'héritier de la dynastie solaire. Une intrigue de palais poussera ce couple idéal à l'exil, puis à la séparation... Râma, aidé d'une armée de singes et d'ours, arrachera-t-il sa bien-aimée aux griffes des démons ? Si l'honneur, la justice et le destin sont centraux, ils cèdent souvent le pas à l'amour conjugal ou fraternel, à l'amitié, au ravissement de la nature. Aux moments de tragédie pure succèdent les envolées lyriques, voire les épisodes burlesques.
Serge Demetrian, qui maîtrise parfaitement les différentes versions du texte original, a vécu plus de vingt-six ans en Inde. S'inspirant des conteurs traditionnels de l'Inde du Sud, il nous offre une version du Râmâyana au suspense haletant, qui nous transporte au coeur de l'âme indienne.
" Kali est une déesse qui résonne parfaitement avec notre époque troublée ; elle détient les clés des mystères les plus profonds et répond parfaitement à la dynamique et la curiosité contemporaine qui cherche les traces antiques et l'affirmation de la puissance féminine. " Daniel Odier Daniel Odier nous présente ici la mythologie, les pratiques et les rituels du culte de la déesse indienne Kali dans la tradition tantrique kaula du shivaïsme du Cachemire. Plusieurs textes sont d'ailleurs publiés ici pour la première fois dans une langue occidentale. Il nous révèle les pratiques de Vamachara, communément appelé la Voie de la main gauche mais plus précisément traduit comme la Voie de Shakti.
Dans cette tradition, le corps lui-même est le temple de Kali, et il est donc inutile de rejeter ou de nier le corps pour connaître l'union avec le divin. Au contraire, rien n'est considéré comme pur ou impur et l'on peut s'y affranchir totalement des règles. Kali est la réalité absolue, manifestée sous la forme d'une femme enivrée par le désir, elle libère le pratiquant tantrique de tout désir, sauf celui de l'union avec le divin.
Axée sur le travail direct avec les émotions et les comportements interdits, cette voie permet au chercheur de transcender les obstacles à la libération par l'union sexuelle.
Bashô (1644-1694), moine errant, poète parmi les plus célèbres du Japon, est considéré comme le père du Haïku et l'un de ses plus grands maîtres.
Imprégné de sa pratique méditative zen, il lui donne sa structure et surtout son esprit : un tercet très court qui saisit l'essence de l'instant présent.
Ce carnet de voyage, qui associe prose allusive et haïkus d'une saisissante vitalité, marque un tournant dans la vie et l'oeuvre du poète. Suite au décès de sa mère, quittant sa vie sédentaire de Maître de poésie reconnu, il se lance dans une quête d'absolu, de total dépouillement, pour revenir à la pureté de l'expérience immédiate.
Les superbes haïga de Manda nous accompagnent dans ce voyage au coeur du Japon éternel et de l'intime aventure humaine.
À l'origine d'une civilisation parmi les plus anciennes, l'hindouisme est une religion majeure. Ce guide complet en présente l'histoire, les fondements et les pratiques. Avec pédagogie, il propose un panorama unique, alliant la précision des faits à la richesse de l'anecdote. Pour comprendre l'Inde, sa culture et son rayonnement au ?l du temps, cet ouvrage est un outil précieux, qui s'adresse aussi bien aux curieux qu'aux passionnés. Vous y trouverez notamment le panthéon hindou, illustré et commenté.
Probablement rédigé dans le sud de l'Inde vers le X e siècle de notre ère, le Yoga selon Yãjñavalkya ( Yogayãjñavalkya m ) est un traité technique de yoga très célèbre, comme les nombreuses citations qui en sont faites en témoignent. Ce texte offre une connaissance précise sur la manière dont le yoga était vécu et pratiqué à une époque ancienne et qui s'attarde sur des éléments jusqu'alors peu développés dans les canons du yoga classique - en particulier le Yogasûtra, de Patañjali (constitué vers le II e siècle de notre ère). Il ne s'agit pas d'un traité dévotionnel, mais d'un texte qui explicite les techniques propres au yoga. Pierre angulaire de la culture indienne, il se situe entre les sûtra philosophiques de Patañjali et les traités yogiques plus techniques du XV e siècle.
Texte phare de la pensée indienne depuis vingt-quatre siècles, à l'image de l'Odyssée d'Homère en Occident, la Bhagavad Gîtâ est également reconnue comme l'une des sources majeures de la philosophie du yoga.
Comprendre la Bhagavad Gîtâ, c'est accorder nos actes, nos paroles et nos pensées au dharma, à l'Ordre cosmique. Elle nous concerne tous pour habiter la planète, apaiser nos relations, bien conduire notre vie, prendre soin d'autrui, réaliser notre vocation profonde, agir et s'accomplir car « ce que j'accomplis, m'accomplit » (Vimala Thakar).
Avec clarté, humour et un exceptionnel talent de conteuse, Colette Poggi nous rend accessible ce texte universel qui a inspiré Gandhi, Martin Luther King, Nelson Mandela ou encore la militante écologiste Vandana Shiva.
Les magnifiques illustrations originales d'Émilie Poggi nous transportent au coeur de ce dialogue qui nous éclaire autant sur notre quotidien que sur notre monde contemporain si imprévisible.
« Je suis par-delà toute parole.
Je suis lumière.
Je suis tous les fruits du silence. » Maitreya Upanishad L'Inde hindoue héberge des textes gigantesques. Mais elle est aussi le royaume du silence, car les mots s'avèrent trop faibles pour porter la charge de l'essentiel.
De la conception jusqu'aux rites funéraires, les mantras ponctuent l'existence humaine. Pratiquer la parole avec justesse, c'est servir le dharma et trouver sa juste place dans le monde.
Objet d'émerveillement, déesse courtisée par les dieux, scrutée par les sages, la parole est aussi l'instrument des désirs, la clé du succès et du bonheur en ce monde et au-delà. L'Origine est-elle tissée de parole ou de silence ?
Qu'il s'agisse de communication avec les dieux ou d'échanges entre vivants, de supplication ou de louange, de plainte ou de méditation, parole et silence s'appellent et se nourissent l'une l'autre.
Jacques Scheuer - expert en religions orientales, sanskritiste, professeur à Louvain-la-Neuve (Belgique) et au centre Sèvres de Paris - nous convie à un cheminement des Veda aux Upanishad, du yoga au Tantra, en passant par la Bhagavad-Gîtâ et la bhakti, jusqu'aux poètes contemporains tels que Tagore, où se dévoile, au coeur de la parole, une dimension profonde. Car c'est la part de silence qui rend la parole vivante et efficiente. Jaillissant de la source universelle, d'où tout émane et en laquelle tout se résorbe, cette Parole n'est pas distincte de la Conscience absolue.
Le Vijnânabhaïrava tantra, écrit au début de notre ère dans l'école shivaïte du Cachemire, présente la « quintessence de tous les tantras ». Il se situe d'emblée sur le plan de la réalité absolue et touche aux racines les plus profondes de l'esprit. Ce « tantra de la connaissance suprême » qui permet de « regarder Brahman les yeux ouverts », est probablement la somme la plus extraordinaire des moyens yoguiques jamais réunie. Il expose un yoga qui utilise le spectre intégral des pensées, des émotions et des sensations comme voie mystique. Ce texte universel, source vive d'une des écoles majeures de la mystique indienne, est traduit et commenté par Daniel Odier, spécialiste du tantrisme shivaïte dont il donne aussi dans ce volume une présentation éclairante. Ce yoga de l'action dans le monde des sens fait découvrir au yogin une liberté sans bornes et lui fait voir le divin comme son propre Soi libéré de toute limitation conceptuelle, de tout dogme, de toute croyance.
Ce petit livre s'adresse au public le plus large, désireux d'apprendre l'essentiel de la mythologie hindoue et ce de la façon la plus claire possible. Pour lui donner des visages, il s'appuie sur les images populaires que l'on retrouve partout en Inde, encadrées ou collées sur les murs des lieux publics, des boutiques ou des restaurants.
En effet, en dehors de l'Inde et des populations indiennes émigrées, la connaissance des divinités de l'hindouisme se résume généralement à quelques dieux principaux. On connait aussi plus ou moins les grandes épopées, le Ramayana et le Mahabharata. Mais tous les autres ? Comment cette mythologie s'organise-t-elle? Quels sont les concepts fondamentaux qu'elle représente ?
Il a fallu près de trois millénaires pour passer des divinités védiques (qui correspondent essentiellement à des concepts abstraits, à des astres ou à des phénomènes naturels¬) au panthéon brahmanique, puis à celui de l'hindouisme actuel. Ce n'est que très progressivement que Brahma, Vishnu et Shiva ont occupé la première place faisant disparaître des divinités plus anciennes ou les reléguant, comme Indra, à une place subalterne. Et que dire des innombrables déesses, dont certaines ne sont honorées que dans quelques villages ? Qu'elle est donc la fonction de la Déesse ? Pour certains, elle est à la base de tout, pour d'autres, elle personnifie l'énergie cosmique.
Ce livre tente de répondre à ces questions, d'expliciter la cosmologie, d'expliquer le temps cyclique, la notion d'avatar, de dégager la signification des mythes principaux et de fournir un résumé des deux grandes épopées.
Ouvrage de base de tous les yogas, la portée du Yogasûtra, chef-d'oeuvre de la spiritualité, dépasse de beaucoup le lieu où il a vu le jour (l'Inde) et les pratiques qui en ont découlé.
Le Yogasûtra est composé d'environ195 phrases courtes appelées soutra (qui signifie fil), mais leur brièveté ainsi que la composition complexe de l'ensemble rendent parfois le texte obscur qui nécessite alors un commentaire.
L'étude présentée ici est cependant plus qu'un simple commentaire ; elle propose une nouvelle traduction et des explications précises sur la structure du texte. Laurent Jouvet repère ainsi plusieurs cycles dans le texte qui s'entremêlent, et nous dévoile ainsi la composition de ce chef-d'oeuvre.
Grâce à ce travail minutieux et inspiré, le Yogasûtra acquiert une nouvelle clarté et une plus grande évidence, en particulier avec des indications pratiques pour pouvoir vivre ce texte.
Daniel Odier nous donne ici une interprétation des pratiques secrètes qu'on trouve dans le Kaulajnananirnaya tantra, un magnifique texte ésotérique issu de l'une des plus anciennes traditions tantriques de l'Inde. Ses enseignements sont attribués au légendaire maître Matsyendranatha.
Le Kaulajnana est avant tout un texte de pratique et comme beaucoup de tantra, il est écrit en langage « crépusculaire » c'est-à-dire qu'il indique la pratique sans en révéler les arcanes. Sans commentaire, il est donc impossible de faire ces pratiques.
C'est pourquoi Daniel Odier a choisi de les isoler et de les décrire en détail avant de donner le texte intégral traduit du sanskrit par Dominique Boubouleix.
C'est par son maître la yogini Lalita Devi, initiée au tantrisme, que Daniel Odier a reçu directement les enseignements de ces pratiques.
Après Tantra, la dimension sacrée de l'érotisme (Pocket) puis La folle sagesse de la yogini (Almora, 2020), ce livre est le troisième tome de l'enseignement reçu par Odier de la yogini Lalita Devi.
Un texte qui mène à la libération par la voie de la Shakti, la divine énergie.
128 MÉDITATIONS SUR L'ABSOLU "La véritable félicité, c'est de reconnaître la nature intemporelle de notre être. Ce Principe immuable - qui existe avant que l'univers se lève et qui continue d'exister après que l'univers se couche - est votre véritable nature. On doit connaître cela par sa propre expérience directe." Pendant plus de deux décennies, Shri Nisargadatta Maharaj donna des enseignements en marathi tous les soirs à cinq heures, chez lui, à Bombay. Jayashri Gaitonde, l'épouse de l'un de ses traducteurs, les prit en note méticuleusement les trois dernières années de la vie de Maharaj. Elle les retranscrivit dans un cahier et ils furent par la suite publiés en marathi sous le titre Amrutvarsha, qui signifie littéralement « Pluie de nectar ».
Ces cent-vingt-huit méditations, inédites, mettent en évidence la majesté des paroles de Shri Nisargadatta Maharaj, qui parlait spontanément et sans effort. Ses mots puissants signaient l'autorité d'un être éveillé et s'imprimaient profondément dans la conscience de l'auditeur, pour révéler la Vérité. Son enseignement était simple et direct, ainsi qu'il interrogeait précisément ses auditeurs : "Ne sommes-nous pas déjà, avant de savoir que nous sommes ?" Shri Nisargadatta Maharaj (1897-1981) est un grand maître indien de l'Advaïta Vedanta dont les enseignements possèdent une puissance transformatrice exceptionnelle. Son livre d'entretiens Je suis est devenu un best-seller (publié aux Deux Océans).
Un guide précieux pour comprendre les gourous.
Véritable introduction à la culture indienne et à l'hindouisme, cet ouvrage se consacre aux principaux maîtres spirituels hindous, figures essentielles dans cette tradition d'enseignement oral.
Surprenant d'un point de vue occidental, le guru est une personne sacrée. Il enracine sa doctrine dans les textes fondateurs et l'associe à son expérience pour guider autrui sur la voie du perfectionnement. Des origines à nos jours, Alexandre Astier retrace l'histoire de la spiritualité hindoue en proposant pour chaque maître une présentation vivante, nourrie d'anecdotes et de citations, à travers sa vie, son enseignement et ses écrits. Cette sélection de gurus - reconnus comme authentiques par les différentes traditions de l'hindouisme - vous accompagnera dans la découverte de l'une des grandes traditions spirituelles de l'humanité, voie de sagesse et d'éveil.
Argent, sexe et travail occupent notre quotidien, et souvent nous préoccupent. Un chemin spirituel authentique peut-il alors les exclure ? Chögyam Trungpa nous conduit à réaliser le caractère sacré de la vie, y compris de ces activités qu'on croit triviales : le travail que nous avons pris l'habitude de subir, le sexe étouffé par les conventions, l'argent, objet d'avidité et moyen de contrôle, et pourtant nécessaire. Les enseignements rassemblés ici montrent que la créativité est la clé du travail, que celle du sexe est la communication et que l'argent est un moyen de prendre conscience de la façon dont nous utilisons notre énergie. Alliant réalisme et respect de la vie, Trungpa nous incite accueillir le quotidien avec un esprit ouvert, créatif, et à l'utiliser comme une partie intégrante de notre développement.
Les premiers chretiens qui étaient en fait des judéo-chrétiens ont amené des notions en Inde en allant prêcher sur la route de la soie et des épices jusqu'aux Îles britanniques et au sous-continent indien. Et quand on se penche sur l'évolution et les transformations de l'Hindouisme au Ier siècle de l'ère chrétienne apparaissent dans les textes sacrés d'étonnantes similitudes avec le christianisme en pleine expansion. Ainsi on trouve la promesse du retour salvateur de Vishnou monté sur un cheval blanc, l'émergence de la Trimurti (Brahma, Vishnou, Shiva), des métaphores et allégories semblables au Nouveau Testament, mais aussi un sage nommé Maitreya qui cristallise aujourd'hui, des chrétiens aux bouddhistes et au New Age, de nombreuses attentes et controverses, le son AUM aux caractéristiques identiques à l'Amen chrétien, un couple créateur divin Brahma-Sarasvati clignant de l'oeil vers Abraham et Sara...
L'hindouisme, dont les racines existent depuis près de 4 000 ans, a connu de profondes transformations. Cette religion est l'héritière des Veda, puis du brahmanisme et de l'hindouisme récent. Vous êtes déjà perdus ? C'est normal... Mais cela va s'arranger ! En 50 notions, Alexandre Astier décortique et explique simplement les valeurs, croyances et pratiques qui sont le socle de l'hindouisme.
50 notions dont :
- Fêtes religieuses ;
- Gandhi ;
- Polythéisme ;
- Rites de passage ;
- Shiva ;
- Vishnu ;
- Yoga ;