La biographie de référence de Krishnamurti, dans une traduction entièrement revue.
Pupul Jayakar retrace le destin exceptionnel de Jiddu Krishnamurti (1895-1986), de ses années de jeunesse jusqu'à la reconnaissance internationale dans les années 1970.
Penseur intransigeant et inclassable, il s'éloigna de tout ordre religieux et prôna toute sa vie la recherche de la liberté inconditionnelle. Les mutations de la société ne pouvaient aboutir, selon lui, qu'au prix d'une transformation profonde de la conscience individuelle.
L'indépendance que Pupul Jayakar, amie de longue date de Krishnamurti, garde à l'égard de l'homme et de son enseignement lui permet d'offrir l'ouvrage le plus complet, dense et objectif jamais écrits sur ce penseur atypique. Elle y dévoile des aspects de sa personnalité qui apparaissent peu dans ses célèbres enseignements. Derrière le sage dur et exigeant apparaît un homme avec ses joies mais aussi ses souffrances intimes. Ce portrait « humanisé » du sage indien permet au lecteur de découvrir sous un autre jour les préceptes de ce penseur majeur du XXe siècle.
Charles, vicomte de Foucauld (1858-1916), chercha sa vocation toute sa vie. Militaire, trappiste, prêtre, ermite, toujours tiraillé dans ses errances, il voulut répondre à un appel de Dieu qui ressemblait au silence du désert. D'un caractère entier, d'une volonté de fer, il devint l'une des grandes figures du Sahara, forgée par un patriotisme fidèle et une foi incandescente. Se faisant linguiste, il établit le premier dictionnaire français-touareg. C'était l'époque où civilisation et évangélisation rimaient avec colonisation. Héros de la Patrie, héraut de l'Église, Charles de Foucauld ne cessa jamais de nouer, dans le désert, des relations fraternelles avec l'islam et les Touaregs.En marge d'une biographie, ce portrait s'interroge sur la notion de sainteté.
Contemporain de Grégoire de Nazianze, de Jean Chrysistilen, de Jean Cassien, de Paulin de Nole, de saint Jérôme et de saint Ambroise, saint Augustin est l'un des Pères et Docteurs de l'Église qui, selon le mot de Karl Jaspers, exerça l'influence la plus vaste de toutes . Né en 354 à Thagaste, en Numidie, il devint, après sa conversion au christianisme - dont il fit le récit pathétique - prêtre et évêque d'Hippone. Pasteur, théologien, métaphysicien, exégète, il est l'auteur d'une oeuvre immense et multiforme, où se détachent - outre ses fameuses Confessions - La Cité de Dieu et La Trinité, ainsi que ses commentaires des Psaumes, de l'Évangile ou de l'Épître de saint Jean. Il meurt en 430, dans sa ville épiscopale, assiégée par les Vandales, au terme d'une existence vouée à la quête et à l'exaltation passionnée du Dieu-Vérité, du Dieu-Amour, du Dieu-Trinité. Toute fondée sur la Bible qu'il necesse d'interroger et d'expliquer, l'oeuvre de saint Augustin constitue - avec celle de saint Thomas d'Aquin - l'une des manifestations les plus éclatantes de la culture chrétienne d'Occident.
Avec ce Prier 15 jours avec Bernadette je n'allais pas réécrire l'histoire des apparitions de Lourdes. Dom Bernard Billet, l'abbé René Laurentin et le père André Ravier ont tout dit. J'ai voulu simplement prier quinze jours à partir des gestes et paroles de Bernadette, en essayant de ne pas oublier ce qu'elle faisait remarquer : ''À force de fleurir les choses, on les dénature.'' J'apporte ici mes cinq pains et mes deux poissons comme le garçon de l'Évangile, laissant à Jésus le soin de nous nourrir vraiment. » Ainsi s'exprime l'auteur de cet ouvrage.
Le coeur, la croix et l'inscription JESUS-CARITAS, tels sont les maîtres mots de l'emblème écarlate du Petit Frère de Tamanrasset, béatifié le 13 novembre 2005. Chez frère Charles, le verbe aimer est conjugué sous toutes ses formes, charité vécue dans la fraternité. N'est-ce pas ce qui unifie la vie de celui qui, d'après l' href= https:= fr.wikipedia.org= wiki= henri_huvelin= target= _blank= rel= noopener= noreferrer= =>abbé Huvelin « fait de la religion un amour » ? Sa vie humble dans la prière auprès de ses frères musulmans, le silence qui l'entoure et le « saint travail des mains » crient l'Évangile dans la joie et la pauvreté.
Très imprégné des textes et du mode de vie de Charles de Foucauld (1858-1916), l'auteur de Prier 15 jours avec Charles de Foucauld a choisi de prolonger, en s'impliquant personnellement, la prière et la méditation de son maître spirituel.
Que cherche à transmettre Jean de la Croix (1542-1591) à travers son oeuvre : une doctrine spirituelle, une théologie, une anthropologie ? Pour Alain Cugno, ces poèmes uniques commentés par le poète lui-même sont plutôt « le déploiement d'une expérience humaine d'une vivacité prodigieuse, parvenue à la seule universalité qui compte : celle qu'on obtient en s'engageant jusqu'au bout dans une voie singulière ».
Or il y a une énigme Jean de la Croix : cette oeuvre où domine la première personne n'est à aucun degré autobiographique - contrairement à celle de Thérèse d'Avila, l'amie qui a arraché Juan de Yepes à la contemplation pour le convoquer dans son action de réforme de l'ordre du Carmel. « Jean de la Croix ne parle pas de lui, jamais, affirme Alain Cugno. Il parle d'un être qu'il appelle l'âme et (qui) parcourt un itinéraire initiatique fait d'étapes successives, en quatre traités, depuis un point de départ qui se trouve dans La Montée du Mont Carmel, jusqu'à un point d'arrivée, objet de La Vive Flamme d'amour ». C'est ce chemin escarpé que l'auteur nous aide à parcourir, en nous mettant en garde à chaque instant contre les interprétations hâtives. Ce faisant, il éclaire de façon magistrale ce joyau de la littérature spirituelle universelle.
S'il est un saint qui incarne la vie monastique en Occident, c'est bien saint Benoît. Connaître et vivre la spiritualité bénédictine, les trésors de la sagesse monastique à la portée de tous À travers sa vie, et celle des figures les plus marquantes de son ordre, l'auteur nous introduit au coeur de la sagesse bénédictine, qui unit étroitement la prière et l'humble travail de tous les jours. Suivre saint Benoît, ce n'est pas tant construire un monastère qu'initier un processus de conversion qui a sa source dans les énergies du bâptême et son terme dans la patrie céléste. Louange, communion, silence, travail, humilité, obéissance... : ces trésors sont à notre portée, et la Règle de saint Benoît, par son profond réalisme, peut être un guide très sûr pour suivre le Christ tout en vivant dans le monde. A l'école de saint Benoît, par Dom Xavier PerrinPublish at Calameo A propos de Dom Xavier Perrin Entré à Kergonan en 1981, Xavier Perrin a exercé diverses fonctions au sein de l'abbaye. Il est aujourd'hui abbé de Quarr dans le sud de l'Angleterre.
C'est l'homme de la FRATERNITÉ.
Un homme à l'itinéraire surprenant.
Ce n'était pas donné d'avance : il voulait l'absolu, la perfection, frayer son chemin à lui, aboutir.
Il a rencontré, sur ses routes, de pauvres hommes : entre autres, l'homme Jésus, de Nazareth, celui de la « dernière place », des musulmans, des juifs, des incroyants de tous les jours, des soldats, des esclaves, jusqu'à des nomades et des sédentaires perdus au fin fond du plus grand désert du monde. Ils ont transformé sa vie.
Il a désiré devenir, pour eux tous, pour l'autre, un « frère », un « ami sûr » : que chacun, quel qu'il soit, de quelque univers qu'il soit, de quelque statut, religion, conviction qu'il soit, puisse, à ses actes, le reconnaître comme tel.
Itinéraire singulier. Itinéraire qu'est invité à prendre l'homme d'aujourd'hui, un homme qui, avec bonheur, pourrait devenir un frère pour l'homme, un Coeur.
Elisabeth Catez (1880-1906) est surtout connue sous le nom d' href=http://www.elisabeth-dijon.org/ target=_blank rel=noopener noreferrer>Élisabeth de la Trinité, entrée au Carmel de Dijon en 1901. Ce livre présente les différents aspects de la riche spiritualité trinitaire de celle dont Jean-Paul II disait le jour de sa béatification en 1984 : « Son message se répand aujourd'hui de façon prophétique. » Béatifiée par Jean-Paul II en 1984, href=http://www.elisabeth-dijon.org/ target=_blank rel=noopener noreferrer>Élisabeth de la Trinitéest canonisée le 16 octobre 2016.
Depuis la parution dans les années 1980 de son journal et de quelques lettres, Etty Hillesum n'a cessé de susciter l'intérêt et la curiosité, au point d'être aujourd'hui la figure spirituelle de premier plan que nous présente ce Prier 15 jours avec Etty Hillesum dans sa nouvelle édition.
Morte en 1943 à Auschwitz à l'âge de 29 ans, cette jeune juive hollandaise a réalisé, l'espace des trois dernières années de sa vie, un parcours saisissant. Vive et douée, mais aussi empêtrée dans le chaos d'une existence qui se noyait dans ses propres méandres, Etty a entrepris avec l'aide d'un thérapeute un authentique travail personnel qui l'a conduite à rencontrer Dieu, ainsi qu'à demeurer présente aux siens broyés par le régime nazi. Jusqu'au bout.
Tout au long de ces dernières années, Cédric Longet écrit sous forme de notes plus ou moins longues nombre d'impressions et de réflexions relatives à l'événement qui bouleverse sa vie : sa conversion au catholicisme. L'arrivée du sacré catholique, suite à une « effusion de l'Esprit-Saint » en 2014, entre en effet en conflit ouvert avec toutes ses constructions intellectuelles passées, formées par la philosophie et tout spécialement celle de Nietzsche pour qui « Dieu est mort ». Désormais Dieu le Père existe vraiment, Jésus existe vraiment, la Vierge Marie existe vraiment, donc tout ce qui s'oppose à leur existence se trompe, y compris les courants politiques de Gauche où Cédric milita jusqu'alors depuis l'adolescence comme il l'écrit : « Mon entrée en Jésus est proprement pour moi une authentique révolution copernicienne : je découvre que tout gravite autour du soleil, et que ce soleil est une personne. » Ce livre est le détail de cette révolution."
Frère Roger (1915-2005) est le fondateur de la Communauté de Taizé. Dans sa passion pour l'Église, « Mystère de communion », il désire y réaliser avec des frères de différentes confessions chrétiennes la « parabole de la communauté ». Son rayonnement attire, particulièrement les jeunes. Pourtant, il a vécu aux prises avec le doute et, toute sa vie, il lui aura fallu mener le combat de la confi ance et aller toujours de l'avant sans se laisser impressionner par toutes sortes de résistances. La louange et le chant lui ouvrent une voie et une certitude se fait jour : « Dieu ne peut qu'aimer », il nous veut heureux. Attentif à toute forme d'injustice et saisi par l'urgence de la réconciliation, frère Roger invite à prendre au sérieux l'Évangile, à laisser le coeur s'élargir et se rendre vulnérable par la contemplation du Ressuscité. « Joie, simplicité, miséricorde. » Ses écrits sont autant de jalons pour une vie intérieure qui engage.
Hildegarde de Bingen est peut-être l'une des femmes mystiques les plus appréciées aujourd'hui. Elle a excellé dans tous les domaines : la botanique, la médecine, la théologie, la musique, la cuisine...
Hildegarde est une mystique d'un type particulier, c'est une visionnaire. Elle a marqué son époque, le XIIe siècle. Ses visions lui ont donné d'agir sur l'Église et la société de son temps, pour lesquelles elle a été, en quelque sorte, une prophétesse.
Hildegarde a été proclamée docteur de l'Église le 7 octobre 2012.
On pourrait se croire dans une pièce de Shakespeare, Le franciscain de Venise. On y croiserait aux aurores de la Renaissance le roi d'Angleterre Henry VIII qui sollicite par l'envoi auprès du pape d'une délégation le droit de divorcer d'avec sa première femme, Catherine d'Aragon, les légats du pape accompagnés de théologiens, et non plus un juif mais le judaïsme sous la forme de son texte quintessentiel, la Kabbale.
Petit à petit sortirait de l'ombre le personnage-titre, Francesco Zorzi (1466-1540) ou Francesco Giorgio Veneto, moine franciscain italien, théologien de renom, philosophe de haut vol et kabbaliste par passion. Parlant le latin, le grec et l'hébreu, familier des Saintes Écritures autant que des écrits néoplatoniciens et pythagoriciens, il se passionna pour les écrits rabbiniques au point de posséder l'une des plus impressionnantes bibliothèques de textes hébraïques.
Il entretint une correspondance avec Pic de la Mirandole, un des fondateurs de la Kabbale chrétienne, lu de près Marsile Ficin et disputa les doctrines de Nicolas de Cues. Fasciné par l'architecture et la possibilité, exposée dans son grand livre Harmonia Mundi, de concevoir un bâtiment à l'image du corps humain tel que pensé par la Kabbale, il collabora avec l'architecte Jacopo Sansovino à la conception de l'église de San Francesco della Vigna.
À travers cette figure énigmatique, Verena von der Heyden-Rynsch nous restitue tout l'univers de l'humanisme renaissant.
Mort en 1833, Saint href=https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9raphin_de_Sarov target=_blank rel=noopener>Seraphim de Sarov est particulièrement vénéré en Russie et bien connu en Occident. Ma joie! Le Christ est ressuscité!, lançait-il à tout visiteur. Parole de foi résurrectionnelle qui fut à l'origine d'un grand réveil spirituel. Témoin de la souffrance des hommes venant en foule quêter des paroles de consolation et de conversion, il leur parlait de la paix intérieure, capable de changer la face d'un monde tourmenté. L'âpre combat mené par lui dans la forêt où les ours sauvages s'humanisent, s'apparente au combat du chrétien dans les villes parfois peuplées, elles aussi, de bêtes sauvages. Quel est le but de la vie chrétienne? lui demandait-on. C'est très simple: acquiers les dons de l'Esprit. Et en disant ces mots le visage de Seraphim de Sarov s'irradiait d'une lumière surnaturelle, préludant à la transfiguration du monde à venir.
Dans le monde actuel en accélération constante, envahi de sollicitations et d'activités, l'intériorité, la relation à Dieu par la prière est-elle impossible... oubliée ? Le href=http://pere-marie-eugene.org/fr/ target=_blank rel=noopener noreferrer=>père Marie Eugène de l'Enfant Jésus (1894-1967) ouvre un chemin de vie et de joie. Prêtre, carme, fondateur de l'institut Notre-Dame de Vie, auteur de Je veux voir Dieu, le père Marie-Eugène éclaire la richesse spirituelle du href=http://www.carmesdumidi.fr/ target=_blank rel=noopener noreferrer=>Carmel dont il est, dans une fidélité créatrice, un héritier et un témoin.
Fondateur de l' href=http://www.notredamedevie.org/ target=_blank rel=noopener noreferrer=>institut Notre-Dame de Vie, le père Marie Eugène de l'Enfant Jésus se disait pauvre et simple, il a cru en Dieu, lui a tout donné, désirant participer ainsi à l'oeuvre de l'Esprit Saint dans l'Église et le monde : « Notre monde moderne a faim et soif de bonheur. Il a faim de pain, il a plus encore faim et soif de Dieu. » Par lui, Dieu nous redit le prix et la beauté du mystère unique, personnel, de chacun de nous , il nous redit aussi que le Christ désire habiter et illuminer chacune de nos existences. Que ces lignes rejoignent celui qui découvre ce chemin intérieur vers la profondeur de lui-même, là où Dieu l'attend.
Dans ce livre, ce sont les moines de Tibhirine qui pour la première fois se révèlent à travers leurs journaux spirituels, leurs homélies, leurs méditations, leurs correspondances et le journal de leur communauté. Jamais on ne les avait entendus parler ainsi. On découvre qui ils étaient avant de mourir martyrs, et ce qu'a signifié pour eux de vivre ensemble l'appel de Dieu.
Reprise au coeur de l'intimité de chacun d'eux, c'est une véritable symphonie de la vie qu'on lira ici.
Moïse était à la fois le libérateur qui a conduit le peuple sur les chemins de la liberté, l'intercesseur qui a porté le peuple devant Dieu, le prophète qui a reçu la Torah et qui l'a transmise, et le chef qui a organisé le peuple en le dotant d'institutions avec l'établissement de juges, de prêtres et d'anciens.
Son histoire nous rejoint en ce qu'elle exprime les grandes questions de notre humanité: Le rapport entre la justice et la miséricorde, la quête de libération, le prix de la liberté, la fondation des institutions, le rapport au pouvoir, la rencontre de l'ingratitude, la peur de la mort... La tension entre les exigences de la libération et la tentation du retour en arrière dans les catégories de la servitude est universelle.
Cette biographie, la première aussi complète, de Christian de Chergé a fait date. Elle est ici entièrement revue et augmentée, avec de nouveaux éclairages théologiques et spirituels. Familier des écrits de Christian de Chergé, l'auteur nous conduit des événements fondateurs de sa vocation aux richesses de ses intuitions. Il nous fait entrer dans l'originalité de sa vie et de sa pensée. Il nous montre comment l'expérience tragique d'un petit monastère perdu dans les contreforts de l'Atlas algérien apporte une contribution capitale aux débats théologiques contemporains.
Monique Lorrain partage dans ce livre, à travers des notes prises au quotidien, son expérience dans la prison de Korhogo, au nord de la Côte d'Ivoire. Sans fard, ni pathos, elle présente avec simplicité et profondeur les femmes et les hommes qu'elle y a rencontrés et elle nous livre le chemin spirituel intense que les détenus lui ont permis d'effectuer.
Catherine de Sienne (1347-1380) compte parmi les saintes mais aussi les Docteurs de l'Église. L'histoire retient qu'elle fut, au coeur de l'Europe médiévale, une femme pleine d'audace, tout à la fois mystique et engagée, ayant consumé son existence à intervenir dans les crises religieuses et politiques.
C'est le portrait de cette passionnée que dresse ici André Vauchez.
C'est en chair et en os qu'il nous restitue son itinéraire à travers l'épidémie de peste noire, la guerre de Cent Ans, les luttes fratricides de l'Italie, l'exil des papes de Rome à Avignon. C'est telle qu'en elle-même qu'il nous fait revivre cette pénitente dominicaine qui devint la correspondante, la confidente et la critique des puissants, princes, rois, évêques ou pontifes.
Il fallait le savoir, le talent et la sensibilité de cet éminent médiéviste pour nous faire entrer dans la vérité existentielle, au-delà des multiples visages qu'on a pu lui prêter à travers les âges, d'une femme hors du commun et pour nous faire ressaisir toute l'actualité de sa personne et de son message.
La première biographie historique et spirituelle de Catherine de Sienne, ouverte à tous.