Une fois de plus, 2021 a été une année cycliste incroyable pour le Wolfpack, l'équipe de rêve de Patrick Lefevere. Davide Ballerini s'est vite imposé à l'Omloop, Kasper Asgreen a remporté l'E3 et le Tour des Flandres, et Sam Bennett, Mark Cavendish, Remco Evenepoel et Julian Alaphilippe ont collectionné les victoires. Pendant ce temps, Michael Morkov a également remporté la médaille d'or olympique sur piste. En famille pendant leur temps libre, en extase la plus complète après une victoire ou encore en mode décompression dans le bus de l'équipe : ce livre vous permet de découvrir les coureurs à travers l'objectif de Wout Beel. Ils chutent, se relèvent et se remettent en route vers la victoire. Un portrait de groupe qui vous tiendra en haleine du début à la fin.
3... 2... 1... Décollage immédiat pour de nouvelles aventures avec le Guinness World Records 2023. Des exploits incroyables qui battent tous les records, sur Terre comme dans l'Espace.
Le monde change à vitesse grand V, mais le Guinness World Records est toujours à la page.
Faites le tour du Système solaire et suivez la nouvelle course à l'espace qui se joue aujourd'hui.
Puis, revenez sur Terre et partez à la découverte des animaux les plus étranges.
Rencontrez les personnes au physique le plus incroyable (les plus grandes, ls plus petites, les plus poilues...) ou bien celles aux talents les plus extraordinaires (jonglage, escalade, frestyle...).
Pour célébrer le 150e anniversaire du Tour du monde en 80 jours de Jules Verne, nous vous emmenons faire un tour de notre planète, confortablement installés dans votre fauteuil, pour visiter des lieux naturels remarquables, des sites touristiques emblématiques et côtoyer des cultures singulières.
Notre équipe de spécialistes en jeux vidéo a réuni les 25 plus grands records de tous les temps dans ce domaine. Votre jeu préféré y figure peut-être...
Et bien sûr, tous les records sportifs sont rassemblés dans cette nouvelle édition.
Cette année encore, la couverture collector du Guinness Word Records a été illustrée par Rod Hunt. L'aventure continue !
L'homme est discret, secret même, mais c'est un héros. Il a été le premier à atteindre les pôles Nord et Sud en solitaire et en autonomie totale, le premier à traverser, sans l'aide de quiconque, l'océan Arctique et le continent antarctique.
En parfait conquérant de l'inutile, il a, dans le sillage de ses compatriotes norvégiens Fridtjof Nansen ou Roald Amundsen, bousculé les obstacles glacés les plus infranchissables.
Il est l'explorateur polaire contemporain le plus authentique qui soit, selon Jean-Louis Étienne. Compagnon d'expédition de Mike Horn, son exact contraire, il a fait sienne la volonté de préférer la vérité au spectaculaire, l'épure au superlatif.
Depuis peu, l'infatigable explorateur s'est fixé comme objectif de traverser les plus grands glaciers du monde afin de témoigner de leur inquiétante dégradation.
Ce livre entend rendre hommage à un esthète qui considère les étendues glacées comme des vigies d'exception et milite pour leur indispensable sauvegarde.
Un coup d'oeil passionnant dans les coulisses et dans l'histoire de l'équipe belge. Des épisodes épiques de la course en images et paroles. Le cadeau à ne pas manquer pour tout passionné de la course cycliste.
La formation belge Intermarché-Wanty-Gobert Matériaux a le vent en poupe. Depuis l'obtention de la licence UCI World Tour, ce Petit Poucet s'est transformé en une équipe solide qui a surpris plus d'un amateur de courses par son esprit conquérant dans les grands tours cyclistes. L'aventure cycliste est belle, l'équipe relativement jeune et diverse avec quelques hommes forts comme Kristoff, Bakelants et Hermans et de jeunes talents comme Meintjes en Girmay. Une histoire qui parle d'ambition, de débuts plus que prometteurs et de victoires retentissantes. Ou comment une attaque sans perspective aboutit au sprint pour la victoire.
Ce Dictionnaire amoureux contient à la fois de l'amour, des souvenirs, des admirations et des regrets. Il est la mémoire de ceux qui s'intéressent au football, et l'attendent tous les 4 ans, comme de ceux qui ne s'y intéressent pas, mais se souviennent être descendus dans la rue. Parce que la Coupe du monde est ce qu'il restera de ce jeu quand nous aurons oublié tout le reste.
Arpenter amoureusement la Coupe du monde, c'est plonger au coeur de la mythologie du football et de notre mémoire collective. On dit Coupe du monde, il n'est jamais nécessaire de préciser " de football ", et cette évidence en majesté, qui tient à l'antériorité comme à l'audience planétaire, oblige les autres sports à se décliner.
La Coupe du monde aura bientôt 100 ans et elle s'étend sur deux siècles qu'elle a participé à raconter. Elle ne s'est jamais écartée des tremblements ni de la marche du monde, visitant l'Italie de Mussolini en 1934, l'Argentin des généraux en 1978 ou la Russie de Poutine en 2018, refondant l'idée de la nation allemande avec le Miracle de Berne en 1954, affichant la force d'une France métissée en 1998.
Elle a essaimé des épopées collectives qui ont parfois reposé sur la victoire (le Brésil de 1970) mais parfois sur un esthétisme de la défaite (les Pays-Bas de 1974, la France et le Brésil de 1982) : Séville reste un nom de code et une douleur française. La Coupe du monde, aussi, surtout, a fixé les admirations sur quelques Dieux du stade et quelques héros de tragédie. Elle a fait de Pelé un roi, de Cruyff un prince, de Maradona un diable avec la main de Dieu, de Zidane une icône retirée sur un coup de tête. La Coupe du monde a fait le sport, le football et ses personnages. Elle est la première à être entrée dans le salon, en noir et blanc puis en couleurs.
On ne présente plus Jean Le Cam, le héros du Vendée Globe 2021, qui nous a tant émus et réjouis tout au long de son tour du monde. Son aura n'a jamais été aussi grande : sauveteur de Kevin Escoffier, navigateur au palmarès légendaire, Jean Le Cam est le héros que la France entière adore. Avec gouaille, bon sens et humour, le marin-constructeur se livre sur ses victoires, ses échecs, ses projets architecturaux, ses silences bruyants, l'importance des femmes dans sa vie (sa mère et ses soeurs, sa femme Anne et ses filles), la mort de son père... Une plongée dans l'intimité d'un homme immense et humble qui continue d'écrire l'histoire de la voile.
Jean Le Cam est un navigateur et skipper professionnel français, surnommé « le Roi Jean » du fait de ses trois victoires dans la Solitaire du Figaro et de son impressionnant palmarès.
Considéré comme l'une des plus fines plumes du sport, Jean-Louis Le Touzet est journaliste.
« Nous sommes au pied de la montagne. Nous avons dix ans pour ouvrir une nouvelle voie et nous y engager tous ensemble. » Passée sa brutale éviction de Danone, Emmanuel Faber se pose dans un refuge des Alpes. Il raconte comment la montagne et l'escalade ont dessiné son itinéraire : l'orage en Oisans dans l'enfance, les falaises du Vercors à l'adolescence, seul dans la tempête une nuit d'hiver à ski, en collectif pour l'ouverture d'une nouvelle voie sur le granite corse. Il partage son expérience hors du commun de patron activiste et livre sa vision des enjeux d'aujourd'hui et demain.
Un appel vibrant à la prise de conscience et à l'action.
Le 3 juin 2017, Alex Honnold a gravi les 900 mètres verticaux d'El Capitan en solo intégral. Le film Free Solo, Oscar 2019 du meilleur documentaire, a donné à cet exploit un retentissement mondial. Le jeune Californien dévoile ce projet fou, auquel personne n'osait croire - un voyage intérieur à la rencontre du vide, culminant avec le récit haletant des 3 h 56 qui ont marqué l'histoire de l'escalade. Solo intégral est un livre à deux voix : Alex raconte ses souvenirs, la naissance de son ambition et ses ascensions avec un art consommé du suspense. Il se dévoile avec sincérité : timide mais solide, passionné, capable d'affronter le risque et d'en parler avec un égal sang-froid. L'écrivain David Roberts a, lui, décrypté son jeu « radical » : « L'enjeu est ultime : tomber, c'est mourir. »
Un grand récit d'aventure, où tout est vrai, et un plaidoyer convaincant pour une philosophie qui a fait de nombreux adeptes dans le monde : la course minimaliste.
Pourquoi Christopher McDougall a-t-il mal aux pieds quand il court ? Pour répondre à cette entêtante question, l'auteur - journaliste et coureur de longues distances - part à la recherche d'une tribu légendaire et d'un mystérieux Caballo blanco, dans les replis inaccessibles des Copper Canyons, au Mexique. Sous la menace de narco trafiquants, au coeur de reliefs verti gineux où se blottissent des villages invisibles, l'auteur va rencontrer la tribu des Tarahumaras, et surtout découvrir un mode de vie qui révolutionnera le monde de la course à pied.
Formidable récit d'aventure, où tout est vrai, Born to run nous embarque dans un tourbillon de rencontres avec des personnages capables de parcourir 200 kilomètres sous 50 °C dans la Vallée de la Mort ou à plus de 4 000 mètres dans les montagnes du Colorado. En racontant quelques-unes des plus incroyables courses d'" ultra " de la planète, l'auteur nous plonge aux limites de l'endurance humaine, dans un plaidoyer convaincant pour une philosophie du dépouillement :
La course minimaliste.
Novembre 2021 : trois Ukrainiens se dressent au sommet de l'Annapurna III. Mikhaïl Fomine, Nikita Balabanov et Slava Polezhayko viennent de réussir une ascension historique, quinze journées d'escalade éprouvantes et risquées pour venir à bout d'un des « derniers grands problèmes » de l'Himalaya : une arête magnifique et interminable qui résistait depuis quarante ans à toutes les tentatives. À peine rentrés au pays, ils sont confrontés à l'impensable : la tentative de l'invasion de leur pays par l'armée russe. L'expédition a reçu le Prix spécial du jury aux Piolets d'Or 2022.
Conrad Anker, mentor des alpinistes contemporains (il est « capitaine » du team North Face) signe une préface qui donne la mesure de cet exploit.
Et pourquoi pas ?
Pourquoi pas ne pas traverser l'Atlantique, dans les deux sens, aller et retour, seul sur un canot de huit mètres ?
Quand la tempête le renverse, le malmène, commence à le noyer, Guirec Soudée, sait juste qu'à 28 ans on n'a pas l'âge pour mourir, que comme d'habitude il s'en sortira. Il rit même. Il imagine sa famille et ses amis pleurant son décès, sans corps pour faire le deuil, devant la petite église de Plougrescant, et lui se pointant au large entre ses cailloux des côtes du Nord, criant, riant, stop, je suis vivant...
Guirec ose tout. Il n'avait quasiment jamais ramé avant de s'élancer.
Et si c'était là la vraie aventure : se jeter dans l'inconnu sans savoir ? Dans une société qui proscrit la prise de risque, qui prétend qu'il n'y a plus de terres inconnues, il réhabilite l'audace, il redessine des routes.
Guirec Soudée ose tout.
Il s'était déjà jeté dans un tour du monde, de cinq ans, sans jamais avoir navigué en haute-mer, récupérant une poule à bord car c'est quand même plus rigolo, se laissant enfermer quelques mois par la banquise car tout est bon à essayer.
Il se jettera bientôt sur le Vendée Globe, le mythique, tour du monde en solitaire, sur un énorme bateau de 18 mètres de long, lui qui n'a jamais encore jamais dompté un bateau de course, qui n'est même jamais monté dessus.
Il s'est donc jeté dans cette double transatlantique à la rame, dans l'incertitude et le risque.
Guirec Soudée, le petit illien aux pieds nus, vit sur une île de trois hectares, inaccessible la moitié du temps.
Vivre sur une île ouvre-t-il des horizons ?
Quand on est encore dans la vingtaine, on ne sait pas forcément pourquoi on fait les choses.
Tout au long de sa double traversée, confronté à la solitude, Guirec va s'interroger sur lui-même et sur le monde, dénicher des réponses qui valent pour lui et pour tout le monde. Il est question de rapprochement profond avec la nature, de renoncement à tuer la dorade venue l'accompagner, alors que la faim de frais le tiraille. Il est question de s'éloigner d'une civilisation qui ne prend pas le temps de vivre l'essentiel, esclave de l'horloge. Il est question de temps de lecture, et de rencontre avec des grands hommes, avec des guides qu'il serait bon de réhabiliter. Il est question surtout d'audace, de ne pas être spectateur de sa propre vie, d'invitation à tout un chacun.
Guirec Soudée a bien disparu des radars et des satellites plusieurs jours. Même Thomas Pesquet l'a cherché de là-haut, dans l'espace. Mais bien sûr il est rentré, pour bientôt repartir, délesté de quatorze kilos mais tant enrichi. 74 jours à l'aller, 107 jours au retour.
Au terme de la saison 2022, ils étaient 772 à avoir disputé au moins un Grand Prix de Formule 1 dans le cadre du Championnat du monde. Des pionniers des années 50 aux pilotes professionnels qui constituent aujourd'hui la grille de départ, ils ont été et sont encore les acteurs principaux de la catégorie reine du sport automobile.
Des Champions du monde aux simples amateurs avides de sensation, voici l'histoire, retracée par Emmanuel Touzot, spécialiste de la F1, de ceux qui ont façonné la Formule 1 au travers des succès et des défaites, des joies et des drames, des amitiés et des rivalités qui ont constitué la grande histoire de ce sport depuis plus de 70 ans.
Qui était le premier traileur ? Serait-ce Philippidès, qu'on présente comme le père du marathon ? Non seulement il n'est pas mort à l'arrivée, mais il a sans doute couru 200 kilomètres de plus que les 42 réglementaires. Ou peut-être Malcolm III, roi d'Écosse, qui organisa une course d'endurance dans les Highlands au XIe siècle ? Ou encore un bushman épuisant l'antilope à la course, un Tarahumara inconnu, un pedestrian britannique avalant les milles jusqu'à épuisement ?
Jean-Philippe Lefief, traducteur du best-seller Born to run, a puisé dans son expérience de traileur et de journaliste érudit en la matière pour relier dans un même récit ces histoires venues du passé où l'endurance dépasse les bornes. Et les faire rimer avec ses propres sensations de triple finisher de l'UTMB.
« Pour nous coureurs en solitaire, il n'existe que deux épreuves : le Vendée Globe et la Route du Rhum. Et contrairement à la première qui dure des mois, la seconde est un sprint à travers l'océan. »Jean Le CamDepuis 1978, la Route du Rhum s'est imposée comme la course transatlantique majuscule. Le principe en est simple : un homme, un océan, un bateau.Le parcours, entre Saint-Malo et Pointe-à-Pitre, immuable.Et la périodicité inchangée : tous les quatre ans, un départ en novembre, mois des tempêtes océanes.Entre Bretagne et Guadeloupe les exploits comme les drames se sont multipliés en onze éditions. De la disparition d'Alain Colas dont on ne retrouvera aucune trace du Manureva, à la victoire de Florence Arthaud ; des aventures du petit prince Laurent Bourgnon au chavirage de Franck Cammas dont l'épave était percutée en pleine nuit par Jean le Cam...Tous les plus grands marins y ont pris part et seuls les meilleurs d'entre eux ont su la gagner : Mike Birch, Marc Pajot, Philippe Poupon, Michel Desjoyeaux, Loïck Peyron... et Florence Arthaud qui demeure toujours l'unique femme ayant remporté une épreuve majeure en solitaire. Creuset des dépassements maritimes les plus fous, sprints à travers l'Atlantique, confrontation des plus aguerris navigateurs avec les meilleurs amateurs, La Route du Rhum est une légende à elle seule. Avec, pour tous, un seul objectif : quitter la tempétueuse Bretagne pour rallier les Antilles et y déguster enfin un Ti'punch !Prix du Beau Livre Maritime de la Ville de Concarneau
Le sport... Tout le monde en parle, mais sans vraiment le définir. Quel pan de nos activités humaines recouvre-t-il exactement ? Quel rôle joue-t-il dans le développement de chacun ? Quelle place occupe-t-il dans nos sociétés ? Sait-il justement rester à sa place ? Quelles valeurs véhicule-t-il ? Et que penser du sacro-saint football ?
Autant de questions auxquelles André Comte-Sponville s'efforce de répondre avec honnêteté et acuité dans cette série d'entretiens menés tambour battant. Il y expose ce qui, selon lui, constitue les vertus et les limites du sport, et analyse avec passion et humour les phénomènes et enjeux clés de cette thématique trop peu explorée.
« Dans les pas de Zohre, je marche sur les traces de mon père. Je ne me fraie pas seulement un chemin dans la montagne, je descends et je remonte le long d'un fil ténu. Je dévale derrière Zohre et je le cherche lui. Mon père.
Il est venu par ici, dans les montagnes du nord de l'Iran. Il descendait du Trône de Salomon, la neige couvrait tous ces versants. C'était en 1956, il avait 27 ans, il brassait la neige.
Plus tard, je suis née. Il s'appelait Émile, on l'appelait Milou, je m'appelle Émilie. Il m'a appelée Émilie.
Cela fait trente ans qu'il n'est plus de ce monde et je marche sur ses traces sous les pas de Zohre. J'ai fouillé ses papiers, ses pitons, j'ai interrogé ses témoins, sa jeunesse, je questionne mes souvenirs, mon enfance, je le cherche sur la montagne et dans ma mémoire. »
Popularisé sur la West Coast américaine au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le skateboard s'est progressivement détaché du surf et de la beach culture dont il était issu pour créer son propre univers.
Trop « contre-culture » pour être considéré comme un sport (même s'il est devenu une discipline olympique), trop physique et trop dangereux pour être vu comme un simple jeu, trop pris au sérieux par une vaste communauté pour n'être qu'un loisir, doté d'une économie et d'une influence trop importantes pour n'être qu'un jouet, le skateboard s'est véritablement imposé comme une forme d'art.
Une créativité infinie s'est déployée sur tous les thèmes possibles, donnant naissance à un univers graphique protéiforme qui héberge une foule d'artistes et de skateurs amateurs ou professionnels devenus des superstars. À travers 1 000 planches iconiques, cet ouvrage expose les meilleures créations du skate tout en revisitant son histoire, pour dévoiler toute la richesse d'une culture en perpétuel mouvement.
Sept ans seulement après s'être mis à courir, Mathieu Blanchard est devenu l'une des stars mondiales des courses d'endurance en montagne. Son rêve : remporter l'Ultra-Trail du Mont-Blanc (UTMB), une boucle de 172 kilomètres et 10 000 mètres de dénivelé positif autour du géant des Alpes.Tout au long de sa préparation pour l'édition 2022, l'ultra-traileur de 35 ans, passionné de nature et d'aventures, raconte ce qui l'a convaincu de quitter sa carrière toute tracée d'ingénieur pour mettre la course à pied au centre de son existence. Au point d'accomplir cette épreuve mythique en un temps record, et de rivaliser avec Kilian Jornet.Avec une sensibilité aiguisée, Mathieu Blanchard se livre sur sa reconversion délicate et ses blessures intimes, sa capacité à en faire des forces pour atteindre ses objectifs, vivre mieux et plus fort, à sa manière. Son témoignage est un récit de sport autant qu'une quête d'émotions et de sens, qui résonne en chacun d'entre nous.
À la fin des années 1970, Simon McCartney, jeune grimpeur britannique brillant et fanfaron, écume les voies les plus dures des Alpes. Une rencontre dans un bar de Chamonix avec un virtuose californien, Jack Roberts, va changer sa vie - et manquer d'y mettre fin. Un lien se noue entre les deux hommes qui s'envolent pour l'Alaska. Pendant l'été 1978, ils réussissent la première ascension de la face nord du mont Huntington, une voie si dure qu'elle n'a jamais été répétée. Deux ans plus tard, ils tracent une voie de légende dans la face sud-ouest du Denali (ou McKinley), le plus haut sommet d'Amérique du Nord. Mais Simon passe tout près de la mort. Une vie plus tard, le hasard le remet face à ce passé refoulé. Dans ce récit, il revisite ces deux ascensions, à la recherche d'un lien perdu avec Jack. Et avec son propre passé.
En matière de football, chez les Achuar, en Amazonie, il ne s'agit pas du tout que l'un des camps triomphe sur l'autre. Comme dans de nombreuses sociétés non modernes, ce qui compte, c'est le jeu en soi, capturer la balle et marquer un but tout en s'arrangeant pour qu'il n'y ait pas d'inégalités au terme du jeu.
Philippe Descola, grande figure de l'anthropologie contemporaine, place face à notre rapport au sport et au jeu celui des sociétés amérindiennes. L'Occident a imposé au reste du monde le modèle du sport de compétition, qui porte en lui inégalités, individualisme et sentiment national, tout en créant un sens du commun.
Dans la lignée de sa réflexion sur le dualisme nature-culture, l'auteur s'empare de la question de l'hybridation de l'homme et de la machine.
Il y a vingt ans, une équipe de surfeurs, dont Peyo Lizarazu, à l'initiative du projet, affrontait pour la première fois la vague géante et fugace de Belharra au large de la corniche basque. À partir du récit de cette belle aventure, il propose un périple amoureux jalonné de ses plus belles rencontres humaines et de sensations fortes sur les plus mythiques houles du monde. Il en profite pour livrer sa vision du « sport des rois naturels de la terre » (Jack London), mais aussi et bien sûr de ses reines, à travers des portraits, témoignages et entretiens inédits. Véritable « waterman » - homme de toutes les pratiques océaniques selon les Hawaïens -, Peyo Lizarazu est accompagné depuis les débuts de sa carrière et ses premiers titres internationaux par les meilleurs photographes de surf. Leurs plus beaux clichés, ainsi que des photographies plus intimes, illustrent cet ouvrage qui met en valeur les plus splendides rivages et leurs impressionnantes vagues, comme, entre autres, la mythique vague de Teahuppo.
Que faire quand on est une femme dotée de capacités physiques exceptionnelles et d'une volonté bien charpentée ? Grimper, toujours plus haut, toujours plus fort ! Que faire quand cette passion vous conduit dans un monde presque exclusivement masculin, celui des guides, des gendarmes, du secours en montagne, du groupe d'élite d'alpinisme de l'armée, et qu'on se heurte inlassablement au même plafond de verre ? Recommencer, encore et toujours, et donner une voix à sa colère.
Marion Poitevin est aujourd'hui secouriste en montagne et présidente de l'association « Lead the Climb », qui ouvre les portes de la haute montagne aux femmes. Elle prend la plume pour la première fois dans cette autobiographie saisissante.
En 1982, Olivier Guez n'a pas dix ans lorsqu'il assiste à son premier match de football. Les formes pures du stade, les projecteurs aveuglants, le vert ardent de la pelouse et les milliers de petites touches bleues qui parsèment les gradins... C'est le vertige, l'immense frisson. Il ne s'est jamais vraiment remis de ce spectacle grandiose.
Le football a donné à l'écrivain le goût des autres et le goût du large. Au fil de ses voyages, il a constaté que ce sport était le miroir des nations, de leur histoire, de leurs conflits et de leurs imaginaires. Cette « passion absurde et dévorante », partagée par des milliards d'hommes et de femmes à travers le monde, il la décrit dans ce recueil de textes admirables de sincérité, illustrés de photographies de légende, qui vibrent pour toujours dans la mémoire de chacun.
Qui n'a pas entendu parler du grand Béziers, du glorieux Lourdes, des incontournables fiefs que composent Narbonne, Castres, Toulon, Brive, Clermont-Ferrand, le Stade Français, le Racing Club de France, Perpignan et bien sûr Toulouse ! Sans compter les prestigieux clubs du Sud-Ouest, Bayonne, Biarritz, Bordeaux-Bègles, Pau, La Rochelle, Mont-de-Marsan, Dax et évidemment Agen.
Ce livre pose un regard empli de tendresse sur les visages d'un rugby d'autrefois où les souvenirs et les mythes se mêlent avec talent à la réalité d'un jeu où l'inf-dividu est valorisé par l'esprit collectif. Il propose un voyage à travers les rebonds du temps et d'un ballon à tout jamais capricieux.
Illustré par 500 documents d'époque, cet ouvrage raconte donc l'histoire du rugby en france, des premiers pas en 1872 à nos jours. En 150 ans, le monde de l'ovalie s'est créé des mythes, des légendes, à travers des clubs, des joueurs, des satdes, des ambiances, des couleurs...