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L'écrivain dévoile sa correspondance épistolaire suivie avec les présidents Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande.
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Juste avant que n'éclate la Seconde Guerre mondiale, dans un petit village suisse, deux jeunes garçons vont se lier d'amitié. Gustav, à l'enfance difficile, est orphelin de père. Celui-ci, un policier local a permis, malgré les ordres des autorités, à des réfugiés juifs d'entrer dans le pays. Selon Emilie, sa veuve, la crise cardiaque qui l'a emporté après la guerre, n'est pas étrangère à ce comportement. Elle reporte son amertume sur Gustav. Anton, lui, est un pianiste prodige, choyé par des parents juifs très aisés, qui ont pour lui une très grande ambition et veulent qu'il réussisse une carrière de concertiste. Gustav est invité par Anton et ses parents à les accompagner à Davos, où ils vont nouer une amitié encore plus forte, au cours de longues promenades dans les bois qui scelleront leurs solitudes. Si Anton expérimente de terribles tourments psychologiques à l'idée de se produire en public dans des concours musicaux, Gustav de son côté vit une existence de profond désarroi avec une mère qui a perdu son emploi et dont les expériences amoureuses sont sans lendemain.
Les années ont passé, Gustav a ouvert un hôtel à Matzlingen, son village natal. Un jour Anton, devenu professeur de piano, viendra le rejoindre et ensemble ils partageront une existence enfin apaisée. Traduit de l'anglais par Françoise du Sorbier
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La réédition en poche d'un « classique ». Les enfants de l'île du Levant raconte d'une façon romancée l'étonnante histoire du bagne pour enfants de l'île du Levant qui fermera ses portes en 1878.
1 057 détenus y ont été internés, 99 y sont morts et enterrés dans le cimetière de l'île, une centième victime a été assassinée par un codétenu...
Ce livre a fait l'objet d'une adaptation pour l'opéra avec un livret de Christian Eymery et une musique d'Isabelle Aboulker, spectacle qui tourne régulièrement dans les villes françaises. -
Il est dans l'hiver glacé du Québec, elle dans la chaleur d'une île, là-bas, en Océanie. C'est le matin pour lui, la nuit pour elle. Décalage. Celui des heures et celui d'une vie. Quand ils étaient jeunes et qu'ils vivaient à Paris, ces deux-là s'aimaient. Et puis chacun a repris son chemin. Ce soir, ou peut-être ce matin, un coup de fil les réunit. Leurs voix tracent des souvenirs comme le pinceau d'un peintre. Lequel des deux est la mémoire de l'autre ? Lequel des est l'avenir de l'autre ?
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« Je trouvais ça amusant de demander à quelques copines si elles avaient souffert de ne pas avoir de soeurs. Ou pas. Les réponses ont fusé. Les unes sont catégoriques: des soeurs? Pouah! Trop difficile de trouver sa place dans la famille. D'autres en rêvent et sont certaines que leur enfance aurait été plus douce avec une complice à leur côté.» Dans ce panorama sur les relations entre soeurs, Laurence Caracalla évoque sa propre expérience qu'elle mêle à d'autres voix, toutes différentes. On rencontre des soeurs complices, des soeurs fâchées, des soeurs réunies par un deuil, ou séparées par un homme.« J'ai moi-même rêvé d'être une soeur idéale. J'ai rêvé d'avoir une soeur idéale. On a de temps en temps raté notre coup. Mais pas toujours. C'est un sujet inépuisable, très mystérieux, très complexe mais toujours émouvant. Une histoire de soeur, c'est un peu une histoire d'amour. »
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Souvenez-vous : il fut un temps où l'on pouvait fumer une cigarette dans un bar en buvant un café crème ; où l'on pouvait rouler à 51 km/h en ville sans subir aussitôt la foudre d'un radar; un temps où Tintin au Congo n'était pas mis à l'isolement; où personne n'aurait osé effacer la pipe de M. Hulot sur l'affiche du célèbre film de Jacques Tati ; où aucune loi n'imposait un CV anonyme aux entreprises ; où aucun plan de vidéosurveillance ne prévoyait, comme aujourd'hui, de tripler le nombre de caméras en deux ans; où aucune mise en garde à l'intention des femmes enceintes ne figurait sur les bouteilles de vin... C'était hier. L'esprit de précaution et le vent de l'infantilisation n'ont, depuis, cessé de souffler. L'Etat nounou, qui nous borde et nous observe, est tout-puissant, doux et attentif à combler les aléas de la vie. En nous prenant pour des enfants, il construit chaque jour davantage la ' Grande Nurserie ' dont nous ne pourrons bientôt plus nous échapper. A moins de refaire, d'urgence, le pari de la responsabilité. Le destin de noter société est en jeu.
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Jacques a 18 ans. Il habite en province, dans une ville de taille moyenne, là où le chômage parait une ligne d'horizon inévitable et les sorties du vendredi soir un défouloir, un temps volé à l'ennui. Ses parents sont séparés, il « végète sans trouver de boulot », sans même en chercher. Lors d'une soirée arrosée, il commet l'écart de conduite de trop, celui qui va décider de son changement d'existence. Jean-Christophe Millois saisit ce moment si fragile où s'opère le passage à l'âge adulte. Il a voulu aussi, à la manière des nouvellistes américains, des émules de Raymond Carver, composer une histoire dont la dimension sociale, voire politique, est essentielle.