L'encyclique Ecclesiam suam, du pape Paul VI est considérée comme la magna carta du dialogue sous ses diverses formes. Que de chemin parcouru par l'Esprit en près de soixante ans ! L'intuition du Pape Paul VI reposait sur la prise de conscience du développement exponentiel des relations entre les personnes et les communautés de cultures, de langues et de religions différentes - un aspect de ce que nous appelons aujourd'hui la mondialisation - ; et il a placé le Secrétariat « dans l'Eglise comme signe visible et institutionnel de dialogue » avec les personnes d'autres religions.
La Constitution apostolique Praedicate Evangelium sur la Curie romaine vient d'entrer en vigueur, et ce secteur de son service à l'Eglise et au monde n'a rien perdu de sa pertinence. Au contraire, la mondialisation et l'accélération des communications internationales font du dialogue en général, et du dialogue interreligieux en particulier, un enjeu crucial. Toute l'Eglise veut grandir dans la synodalité, grandir comme une « Eglise d'écoute mutuelle dans laquelle chacun a quelque chose à apprendre ». Nous avons à faire nôtre « le paradigme de la spiritualité conciliaire exprimée dans l'histoire antique du Bon Samaritain », selon laquelle « le visage du Christ se trouve dans le visage de tout être humain, surtout l'homme et la femme souffrante ».
Pape François 6 juin 2022
casanova qui connaissait bien son illustre ami lui fit une observation perspicace: " votre esprit est d'une espèce qui donne de l'élan à celui d'un autre".
or c'est bien cet élan-là qui anime les pages qu'on va lire; sophie deroisin était une "âme sensible " au sens stendhalien du mot: elle avait autant de coeur que d'esprit, elle aimait admirer et souffrait joyeusement d'enthousiasme chronique. " l'enthousiasme est le plus beau des défauts, disait notre prince, il vaut mieux avoir tort ainsi qu'avoir raison autrement". mais ici, l'enthousiasme n'a certes pas égaré sophie deroisin - tout au plus lui a-t-il peut-être occulté parfois certains pans du tableau.
ligne incarne le xviiie siècle et sophie deroisin saisit admirablement la grâce qui caractérise cet âge mais elle préfère ne pas en voir toute la déconcertante férocité, la boue, la cruauté, la crasse et le sang. or ligne avait les deux pieds plantés dedans (mozart aussi). là-dessus, les historiens universitaires nous donnent une abondance de détails concrets. mais leur image plus complète n'est pas nécessairement plus vraie.
dans sa vieillesse à vienne, exilé volontaire de son cher beloeil-que " l'humeur, l'horreur, l'honneur" l'empêchaient seuls de revoir-, ligne connut la pauvreté. des témoins de l'époque le décrivent, vieillard hirsute et sans perruque, et qui "puait fort ". ii avait aussi un âne, un mouton et une chèvre qui chaque matin grimpaient sur son lit pour mendier du pain. les deux informations, également fiables, ne sont nullement contradictoires; mais les biographies savantes n'ont retenu que la première, et sophie deroisin, la seconde.
ii me semble qu'elle n'a pas eu tort.
emerson disait que les livres n'ont qu'une seule fonction inspirer. on ne saurait mieux résumer la vertu de celui-ci.
«?Dans la représentation du sens de la vie dans les cultures dites «développées», il y a peu de place pour la vieillesse. Pour un âge aussi important de l'espace communautaire, il y a des plans d'assistance, mais pas de projets d'existence. L'alliance entre les générations est le don perdu qui doit être retrouvé. Les personnes âgées ont une ressource de vie déjà vécue qui peut aider les jeunes. La sagesse de la longue marche qui accompagne la vieillesse doit être vécue comme une offrande du sens de la vie. La vieillesse, dépourvue d'une vie humainement digne, court le risque de se renfermer dans un avilissement qui enlève l'amour à tous. Le défi de l'humanité et de la civilisation exige notre engagement et l'aide de Dieu?».
Ce livre regroupe les catéchèses du Pape François sur la vieillesse et les personnes âgées (du 23 février au 24 août 2022).
"On ne naît pas père, on le devient. Et on ne le devient pas seulement parce qu'on met au monde un enfant, mais parce qu'on prend soin de lui de manière responsable. Toutes les fois que quelqu'un assume la responsabilité de la vie d'un autre, dans un certain sens, il exerce une paternité à son égard.Etre père signifie introduire l'enfant à l'expérience de la vie, à la réalité. Ne pas le retenir, ne pas l'emprisonner, ne pas le posséder, mais le rendre capable de choix, de liberté, de départs. L'amour qui veut posséder devient toujours à la fin dangereux, il emprisonne, étouffe, rend malheureux. Dieu lui-même a aimé l'homme d'un amour chaste, en le laissant libre même de se tromper et de se retourner contre lui. La logique de l'amour est toujours une logique de liberté, et Joseph a su aimer de manière extraordinairement libre. Il ne s'est jamais mis au centre. Il a su se décentrer, mettre au centre de sa vie Marie et Jésus. La paternité qui renonce à la tentation de vivre la vie des enfants ouvre toujours tout grand des espaces à l'inédit. Chaque enfant porte toujours avec soi un mystère, un inédit qui peut être révélé seulement avec l'aide d'un père qui respecte sa liberté. Un père qui est conscient de compléter son action éducative et de vivre pleinement la paternité seulement quand il s'est rendu «inutile», quand il voit que l'enfant est autonome et marche tout seul sur les sentiers de la vie, quand il se met dans la situation de Joseph qui a toujours su que cet Enfant n'était pas le sien mais avait été simplement confié à ses soins. Au fond, c'est ce que laisse entendre Jésus quand il dit : « N'appelez personne votre Père sur la terre : car vous n'en avez qu'un, le Père céleste » (Mt 23, 9).
Chaque fois que nous nous trouvons dans la condition d'exercer la paternité, nous devons toujours nous rappeler qu'il ne s'agit jamais d'un exercice de possession, mais d'un «signe» qui renvoie à une paternité plus haute. En un certain sens, nous sommes toujours tous dans la condition de Joseph : une ombre de l'unique Père céleste qui « fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes » (Mt 5, 45) ; et une ombre qui suit le Fils." PF
Nous commençons aujourd'hui, un nouveau cycle de catéchèses : nous avons terminé les catéchèses sur la vieillesse, à présent, nous commençons un nouveau cycle sur le thème du discernement. Discerner est un acte important qui concerne tout le monde, car les choix sont une partie essentielle de la vie. Discerner les choix. On choisit une nourriture, un vêtement, un parcours d'études, un travail, une relation. Dans tout cela, se concrétise un projet de vie et également notre relation avec Dieu.
Le discernement est difficile, mais indispensable pour vivre. Cela exige que je me connaisse, que je sache ce qui est bon pour moi ici et maintenant. Il exige avant tout une relation filiale avec Dieu. Dieu est Père et ne nous laisse pas seuls, il est toujours prêt à nous conseiller, à nous encourager, à nous accueillir. Mais il n'impose jamais sa volonté. Pourquoi ? Parce qu'il veut être aimé et non craint. Et Dieu veut aussi que nous soyons des enfants, et pas des esclaves : des enfants libres. Et l'amour ne peut être vécu que dans la liberté. Pour apprendre à vivre, il faut apprendre à aimer, et pour cela il faut discerner : que puis-je faire maintenant, face à cette alternative ? Que ce soit un signe de plus d'amour, de plus de maturité en amour. Demandons que le Saint-Esprit nous guide ! Invoquons-le chaque jour, surtout quand nous devons faire des choix. Merci.
31 août 2022
Ce petit ouvrage a recueilli pour nous 365 textes tirés de ses Angelus prononcés sur la place saint Pierre. Quelques trésors à méditer en notre coeur avec les évangiles. En prenant cinq minutes tous les jours avec François, c'est pour nous l'occasion de nous laisser rejoindre par Jésus qui nous a promis d'être avec nous tous les jours.
L'Affrontement chrétien est probablement le texte où la parenté spirituelle de Mounier avec Péguy et Bernanos est la plus sensible. Dans un style vigoureux, celui du questionnement radical, ce texte est l'appel d'un chrétien inspiré.
On y trouve des pages dignes des plus grands mystiques. Ce texte est d'une actualité permanente en ce sens qu'il exprime l'effort salutaire que le chrétien Mounier fait sur lui-même pour comprendre comment l'anti-christianisme le plus virulent de Nietzsche se construit à partir de la trahison des chrétiens eux-mêmes. Sur ce point, le livre de Mounier est d'une force rare: il lance un appel prophétique aux croyants pour qu'ils prennent enfin au sérieux l'abrupt évangélique.
La question centrale est bien: qu'est-ce, vraiment qu'un humain formé à l'authenticité chrétienne? Qu'est-ce qui caractérise celle-ci? Le catholicisme contemporain est-il encore un lieu où se propose un style original d'humanité? un style capable d'attirer les meilleurs?
«J'ai eu honte, lorsque j'ai lu qu'un groupe d'États s'était engagé à consacrer deux pour cent de leur PIB à l'achat d'armes, en réponse à ce qui se passe actuellement.
De la folie! La vraie réponse n'est pas plus d'armes, plus de sanctions, plus d'alliances politico-militaires, mais une autre approche, une autre façon de gouverner le monde désormais globalisé, et non pas en montrant les dents comme aujourd'hui ; une autre façon d'envisager les relations internationales. Le modèle de thérapie est déjà en place, Dieu merci, mais malheureusement il est encore soumis à celui du pouvoir économico-technocratico-militaire» (PF 24 mars 2022).
«La guerre ne peut pas être quelque chose d'inévitable: nous ne devons pas nous habituer à la guerre!. Au contraire, nous devons convertir l'indignation d'aujourd'hui en engagement de demain. Parce que, si nous sortons de cette affaire comme avant, nous serons tous coupables d'une manière ou d'une autre. Face au danger d'autodestruction, que l'humanité comprenne que le temps est venu d'abolir la guerre, de l'effacer de l'histoire humaine avant qu'elle n'efface l'homme de l'histoire». PF Ce livre regroupe toutes les interventions du Pape François sur la guerre et la recherche de la Paix
Le titre du livre en dit l'objet : faire connaître le génie en tant qu'homme. Ce que le maréchal Le Prestre de Vauban a édifié et écrit ne constitue pas le thème de l'ouvrage. Et pourtant, chacune de ses réalisations et chacune de ses réactions portent des traces de son être intime. Les messages au roi sur l'état de certaines campagnes témoignent de son attention et de son humanité. Son étude sur les galères dévoile sa curiosité intellectuelle. Les citadelles et leurs portes font voir l'artiste. Plusieurs comportements tout au long de sa vie prouvent sa sensibilité.
L'auteur s'efforce de rassembler et classer ces innombrables « signaux faibles », ces petits tessons, comme les témoignages des contemporains du maréchal, pour esquisser en mosaïque, un portrait de la personnalité de cet homme moderne, indépendant et plein d'humour.
Vauban et sa famille ont leurs racines notamment dans la région de Vézelay.
Ces racines sont un élément essentiel pour qui veut comprendre le bon sens de ce personnage hors norme.
Les méditations du Pape lors de l'Angelus, chaque dimanche matin, illustrent à merveille sa capacité à faire entrer des personnes de tous horizons dans l'Évangile.
Un langage simple, direct, familier. Un contenu qui interpelle la conscience et le coeur de chacun en répondant aux souffrances et à l'aspiration de recherche intérieure de l'homme contemporain.
Ces textes des Angelus, prononcés sur la place saint Pierre forment, une méditation et un guide de l'évangile de MARC. En prenant cinq minutes tous les jours avec François, c'est pour nous l'occasion de nous laisser rejoindre par Jésus qui nous a promis d'être avec nous tous les jours.
Les méditations du Pape lors de l'Angelus, chaque dimanche matin, illustrent à merveille sa capacité à faire entrer des personnes de tous horizons dans l'Évangile. Un langage simple, direct, familier. Un contenu qui interpelle la conscience et le coeur de chacun en répondant aux souffrances et à l'aspiration de recherche intérieure de l'homme contemporain.
Ces textes des Angelus, prononcés sur la place saint Pierre forment, une méditation et un guide de l'évangile de Jean. En prenant cinqminutes tous les jours avec François, c'est pour nous l'occasion de nous laisser rejoindre par Jésus qui nous a promis d'être avec nous tous les jours.
Les méditations du Pape lors de l'Angelus, chaque dimanche matin, illustrent à merveille sa capacité à faire entrer des personnes de tous horizons dans l'Évangile. Un langage simple, direct, familier. Un contenu qui interpelle la conscience et le coeur de chacun en répondant aux souffrances et à l'aspiration de recherche intérieure de l'homme contemporain.
Ces textes des Angelus, prononcés sur la place saint Pierre forment, une méditation et un guide de l'évangile de Matthieu. En prenant cinq minutes tous les jours avec François, c'est pour nous l'occasion de nous laisser rejoindre par Jésus qui nous a promis d'être avec nous tous les jours.
Les méditations du Pape lors de l'Angelus, chaque dimanche matin, illustrent à merveille sa capacité à faire entrer des personnes de tous horizons dans l'Évangile.
Un langage simple, direct, familier. Un contenu qui interpelle la conscience et le coeur de chacun en répondant aux souffrances et à l'aspiration de recherche intérieure de l'homme contemporain.
Ces textes des Angelus, prononcés sur la place saint Pierre forment, une méditation et un guide de l'évangile de Luc. En prenant cinq minutes tous les jours avec François, c'est pour nous l'occasion de nous laisser rejoindre par Jésus qui nous a promis d'être avec nous tous les jours.
C'est bien sûr le renouveau de notre cathédrale passée par l'épreuve du feu qui nous a inspiré ce thème plein de promesses. C'est l'enthousiasme de tous ceux qui travaillent à ce chantier magnifique et impressionnant qui se communique déjà. C'est la promesse de retrouver un lieu qui nous est cher, mais de le retrouver comme aucun contemporain ne peut se vanter de l'avoir vu : depuis l'époque d'Eugène Viollet-le-Duc, elle n'aura jamais été aussi pimpante, aussi émouvante, aussi neuve après plus de 850 ans...
Je suis heureux que Mgr Bernard Podvin ait accepté de relever le défi de cette nouveauté qui vient, nouveauté stimulante pour la foi, pour la pratique liturgique, pour la rencontre des millions de visiteurs qui viendront y voir le témoignage de la nouveauté que le Christ apporte au monde. : Dieu fait du neuf aujourd'hui. Ouvrons les yeux !
Mgr Laurent Ulrich
L'amour, qui est né entre deux êtres, veut les envahir, les saisir jusqu'au fond d'eux-mêmes, les conduire, les purifier. Et ce n'est pas toujours facile. L'art d'aimer s'apprend. Tous ceux qui s'aiment le disent : il y a des obstacles, il y a des joies incomparables. Le P. Caffarel nous éclaire sur ce chemin.
Le fondateur des Équipes Notre-Dame a écrit beaucoup sur le mariage, sur la prière... Dans ce livre, on trouve l'essentiel de ce qu'il a découvert en écoutant les couples lui parler de leur vie, et en même temps un condensé de tout ce qu'il a reçu dans la prière sur l'amour divin et sur l'amour humain. Le P. Caffarel lisait beaucoup, était passionné par la littérature de son époque et y cherchait les traces de ce dialogue entre Dieu et les hommes.
Ce livre est écrit pour nous aider à progresser dans l'art d'aimer. Quelle que soit notre relation avec Dieu, avec autrui, nous sommes rejoints dans notre quête de l'amour. Aimer s'apprend.
La dynamique nouvelle et féconde impulsée par François nous a encouragé à organiser ces entretiens où nous nous interrogeons sur notre pratique chrétienne et sur le rôle du prêtre.
Nous n'appelons pas à un entre-soi dans un combat contre le monde moderne. Pour autant, il ne s'agit pas de renoncer à vivre sa foi mais de chercher à la vivre en vérité. Alors il faut sortir de la vision d'un Dieu punisseur et s'interroger sur des dogmes assénés d'en haut sans considération de la réalité des vies. Ces entretiens ne conduisent toutefois pas à tourner le dos à l'Eglise et aux dogmes, ni à renoncer au progrès moral. Mais l'intimité de la parole nous fera découvrir la vision d'un Dieu aimant au service du relèvement de la vie.
"Le geste de la mission, qui est tout à la fois annonce et dialogue, exige de nous une réflexion théologique renouvelée sur les questions que posent à la foi chrétienne l'existence de l'islam et la spiritualité sincère de tant de personnes musulmanes, en dépit des dérives islamistes qu'il importe de dénoncer clairement".
Ce petit livre est le fruit de la réflexion de l'équipe qui anime le service du diocèse de Paris pour la rencontre avec l'islam et les musulmans.
Comment témoigner de ce que l'on est hors d'un dialogue avec soi, avec l'autre, avec Dieu ? Notre conviction est que la rencontre islamo-chrétienne, inséparable de nos liens fraternels avec les Juifs et le judaïsme, est pour les participants du trio judéo-islamo-chrétien une condition indispensable de l'accomplissement de leurs missions particulières.
Le seul maître à prier n'est-il pas l'Esprit de Dieu ? Il n'empêche qu'un enseignement humain sur la prière, tout insuffisant qu'il soit, peut être un moyen dont l'Esprit Saint se servira.
Telle et l'ambition de ce mince volume. A la suite d'un texte qui donne une vue d'ensemble sur la prière, on trouvera les prières et les paroles du Christ sur la prière, et plus de cent cinquante citations d'hommes de tous les temps, de civilisations et de religions variées. Combien émouvantes toutes ces citations, qui nous livrent confidences, intuitions, réflexions, appels de ces grands amis de Dieu ! Elles nous font entrevoir le vie de prière qui bouillonnait en eux, ou qui était devenue, au plus profond de leur être, comme une nappe d'eau pure et paisible.
Pour bien entendre ces textes il faut demander à Dieu, à l'exemple de Salomon, un coeur qui écoute. Je les livre comme le paysan livre à la terre les semences qu'il puise dans le pan de son manteau.
Sur l'un des cahiers du Père Paul de la Croix était inscrit, involontairement je suppose, Médiations à la place de Méditations ; pertinente coquille puisque ces cahiers nous invitent à une réconciliation. Nous réconcilier avec nous-mêmes, avec la Nature, avec notre Créateur, voilà ce que nous offre ce livre, un beau et sanctifiant programme à pratiquer chaque jour. Et le père Paul, grâce à ses précieux écrits et aux bénédictions qu'il nous donne depuis le Ciel, nous accompagne avec grande douceur dans ce cheminement quotidien.
« À quoi m'appelles-tu ? Quel est ton appel aujourd'hui ? » : à retrouver notre coeur d'enfant, à moins nous prendre au sérieux, à nous émerveiller, à nous remettre totalement confiant à Notre Père, et enfin nous vivrons dans l'action de grâces à chaque instant et nous pourrons dire avec le père Paul de la Croix : « Merci, merci de ce royaume qui pousse en moi - à chaque heure ».
Thibaut de Wurstemberger
Que se passe-t-il à l'instant de la mort, et ... juste après ? Qu'est-ce qu'une éternité ? Et si le Ciel n'était pas un lieu mais... une Personne ? Pourquoi deux jugements après la mort ? Qui nous jugera, et... sur quoi ? Et le purgatoire, et l'enfer ? Que seront nos corps glorieux ?...
Cette synthèse présente les réponses de la Révélation chrétienne aux grandes questions qui habitent l'homme sur l'au-delà et cette vie éternelle qui nous attend après la mort, et qui a déjà commencée. Elle s'adresse donc à tout chrétien désireux de vérifier ou d'approfondir sa foi sur ces questions si fondamentales et parfois méconnues, mais également plus largement à toute personne qui cherche avec un coeur ouvert des réponses sur ce qui nous attend après la mort, en lui présentant ce que le Christ a révélé et apporté au monde : la Bonne Nouvelle du Salut, la « Vie en plénitude » (Jn 10,10).