Ce volume est né de la rencontre entre le nombre quantitatif, au coeur des méthodes statistiques fondées sur le dénombrement et les récurrences dans un corpus textuel, et le nombre poétique, envisagé au niveau métrique, rythmique et structurel du poème. Il croise des méthodes d'analyse du fait poétique qui emploient les outils traditionnels ou expérimentent les outils numériques. La poésie nécessite la mise au point de processus méthodologiques idoines et l'élaboration de modèles adaptés, reposant sur l'observation contrôlée des données.
Il propose une réflexion sur le renouveau des formes et la création littéraire : depuis l'Antiquité jusqu'à la poésie moderne, l'outil numérique est mis au service d'une nouvelle poétique, fondée sur une approche concrète du nombre pour un nouveau souffle poétique.
« La simplicité, un des maîtres-mots de la culture occidentale », écrivait Renée Balibar en 1994. L'objectif de ce volume, issu des travaux de l'atelier de recherches Textyle, est d'évaluer le pouvoir configurant de la simplicité dans les arts verbaux et non verbaux, et la manière dont elle devient un enjeu culturel, avec ses implications éthiques, esthétiques, spirituelles ou politiques. La question réunit ici stylisticiens, rhétoriciens, littéraires, linguistes, philosophes, sémioticiens et spécialistes des arts non verbaux. Le simple est-il l'élémentaire ? Ou serait-il une réduction de la complexité ? Le simple est-il le sans-art ou le comble de l'art ? Au-delà du domaine esthétique, comment le concept de simplicité, par sa proximité avec les notions de clarté, d'évidence, d'immédiateté, éclaire-t-il l'enjeu sociétal de l'art ? Autant de questions qui, à partir d'une entrée stylistique, sont explorées dans la diachronie, de l'Antiquité à nos jours, et selon une approche transdisciplinaire s'inscrivant dans le cadre général d'une sémiotique des cultures.
Sous la direction de Sophie Jollin-Bertocchi, Lia Kurts-Wöste, Anne-Marie Paillet et Claire Stolz.
Cet ouvrage examine des items correspondant au prototype de la catégorie des marqueurs discursifs dans certains contextes, ou s'en rapprochant. Les articles sont regroupés sous 4 sections, eu égard au rattachement catégoriel des unités figurant dans la morphologie des marqueurs examinés. Il s'agit:
- de prépositions et/ou d'adverbes (après/rapport à/dans un premier + second + nième temps, en premier + second + nième lieu/d'une part, d'un côté/au, de, en fait/façon, manière de/d'ailleurs/en même temps) ;
- de noms, de pronoms ou de déterminants porteurs d'un sens anaphorique ou cataphorique (ce même N/une chose est sûre/c'est ça/c'est que P/comme ça) ;
- de subordonnants ou mots en qu- (n'importe quoi, qui, où, n'importe comment/comme/bien que/parce que, quand, puisque, quoique/alors que) ;
- de verbes (comme qui dirait, c'est-à-dire/c'est dire/j'allais dire/si vous voulez).
Sous la direction de Gaétane Dostie et Florence Lefeuvre.
Cet ouvrage vient répondre à des interrogations spécifiques à la phraséologie française, interrogations qu'on peut ramener aux trois points suivants : quelles contributions apporte la recherche en français dans le domaine de la phraséologie générale ? Quelles problématiques privilégie-t-elle ? Quelles orientations générales prend-elle ?
Pour apporter des éléments de réponse à ces questionnements, nous retiendrons les trois axes transversaux suivants vers lesquels convergent toutes les contributions de cet ouvrage : l'objet de la phraséologie, ses outils méthodologiques et les unités polylexicales qui font l'objet de l'ensemble des recherches dans ce domaine. Ces trois éléments couvrent de fait les trois conditions auxquelles doit répondre toute discipline : objet spécifique, méthodologie et unités d'analyse.
Sous la direction de Francis Grossmann, Salah Mejri et Inès Sfar.
Phraséologie et discours est un ouvrage qui met en regard deux domaines de la linguistique impliquant des objets et des méthodologies spécifiques. Leur croisement permet de voir dans le discours un espace d'« épanouissement » des phraséologismes et dans le phraséologisme une forme que le discours pourrait générer ou épouser pour se configurer. Cette mise en relation, tout en étant un peu distante, promet d'être d'une richesse heuristique certaine, tant elle ouvre des perspectives pour la recherche aussi bien en discours qu'en phraséologie.
Sous la direction d'Olivier Soutet, Inés Sfar et Salah Mejri.
Cet ouvrage, qui renferme un nombre important des contributions de la rencontre d'Europhras à Paris-Sorbonne en septembre 2014, cherche à orienter le débat concernant la phraséologie vers une vision qui tente de sortir la réflexion dans ce domaine des sentiers battus et de permettre l'émergence de nouveaux moyens heuristiques dans l'analyse des faits phraséologiques. On peut ramener les principales interrogations revisitées dans ce volume aux points suivants :
- le figement est-il de nature uniquement lexicale, syntaxique, sémantique, pragmatique, ou implique-t-il toutes ces dimensions à la fois ?
- y aurait-il derrière son fonctionnement des principes généraux directeurs dont la connaissance pourrait aider à mieux connaître le phénomène et à les intégrer dans l'analyse des manifestations linguistiques en général ?
- si de tels principes existent, seraient-ils en mesure d'en préciser la portée et d'en délimiter les unités ?
- d'où les interrogations relatives aux éléments définitoires de la phraséologie : le processus impliqué dans la création phraséologique et la nature de ce qui est figé : des séquences ? des structures ? des constructions ? des moules ?
- les grandes difficultés dans la description des faits phraséologiques : la variation, l'opacité et la dimension pragmatique intégrées dans les séquences figées ? Cela se fait dans deux orientations, certes complémentaires, mais tout à fait différentes : l'une insiste sur l'innovation théorique, l'autre privilégie la dimension empirique.
S'il y a un domaine où l'approche contrastive trouve le mieux son illustration, c'est bien la phraséologie. De par sa nature, elle implique plusieurs dimensions linguistiques : lexique, syntaxe, sémantique, morphologie, prosodie, orthographe, pragmatique, etc. C'est pourquoi la phraséologie offre aux linguistes un grand nombre de facettes de comparaison entre les systèmes linguistiques abordés dans ce qu'ils ont de commun et de spécifique. C'est en mettant en regard des phénomènes linguistiques tels qu'ils fonctionnent dans deux ou plusieurs langues qu'on peut avoir accès, par un jeu de contrastes, à ce qui pourrait être « universel », ou plus précisément généralisable, ou, au contraire, à ce qui est idiomatique, l'idiomaticité étant ce qui est spécifique à une langue et qu'il n'est pas possible de transférer tel quel à une autre langue.
Sous la direction de Olivier Soutet, Inès Sfar et Salah Mejri.
Accompagnés d'autres articles de Saussure sur le gotique. Edités avec notes et commentaires par André Rousseau.
Ferdinand de Saussure (1857-1913) a passé dix ans de sa vie à Paris, à l'École des Hautes-Etudes (devenue E.P.H.E.), où il avait été recruté par Michel Bréal comme « Maître de conférences pour le gotique et le vieux-haut-allemand ». Au cours de ces dix années (1881-1891), il a fait très régulièrement des cours sur la langue gotique et parfois sur d'autres langues indo-européennes anciennes (latin, grec, lituanien notamment).
Nous avons eu la chance de retrouver, plus de cent ans après, deux Cours sur le gotique, celui de la première année (1881-1822), et surtout celui de la dernière année (1890-1891), le plus achevé. Nous sommes heureux d'offrir ces Cours à un public de connaisseurs, après les avoir pourvus d'un appareil complet de notes explicatives, destinées à les rendre intelligibles au lecteur d'aujourd'hui, qui ne manquera pas de les accueillir comme une sorte de testament d'outre-tombe.
À partir du paradoxe de la représentation linguistique du sensoriel, où le sensible demeure à la marge des études linguistiques alors que la langue se trouve être le relais quotidien de notre environnement sensoriel, cet ouvrage collectif souhaite réhabiliter la part sensible présente dans le discours. De l'élaboration théorique d'un nuancier de l'acte perceptif, vu comme sensoriel, expérientiel, perceptuel, évidentiel, voire contrefactuel, à l'analyse pratique d'un discours témoin de sensations multiples, l'articulation entre langue et sens s'avère féconde pour l'avènement d'une linguistique sensorielle.
Sous la direction de Bernard Colombat, Bernard Combettes, Valérie Raby et Gilles Siouffi.
Cet ouvrage rassemble les actes du colloque « Histoire des langues et histoire des représentations linguistiques », co-organisé par la SHESL, la SIDF, le laboratoire HTL et le GEHLF (équipe STIH) en janvier 2016. Les vingt-cinq contributions retenues ici explorent différents types d'interaction entre les deux champs disciplinaires que sont l'histoire des langues et l'histoire des théories linguistiques. Elles sont distribuées en trois parties thématiques : 1. théories et représentations de l'histoire des langues et de la linguistique ; 2. perspectives croisées sur les usages linguistiques et leurs analyses ; 3. normalisation, prescription, standardisation. Si la majorité des articles portent sur l'histoire du français et de ses analyses, d'autres langues et traditions linguistiques sont considérées : l'indo-européen, le latin et les langues romanes - l'occitan, le catalan, l'italien -, le sanskrit, le grec moderne, et le khaling rai. Ce sont autant de réflexions sur les façons d'articuler l'histoire des usages linguistiques et celle de leurs descriptions, hier et aujourd'hui.
L'amour en poésie a suscité nombre d'investigations thématiques et historiques, déployées dans des champs culturels variés, mais peu de recherches sur les structures de l'expression. Comment la poésie dit-elle l'amour, et qu'en dit-elle ? Comment l'être aimé se trouve-t-il évoqué, appelé, célébré et relié à l'énonciateur aimant ? Cet ouvrage descriptif, dans lequel l'examen de l'organisation des énoncés guide l'interprétation des textes, se propose de repérer les formes, figures et procès constitutifs du caractère « amoureux » du verbe poétique.
De l'inscription du prénom dans le poème aux recréations modernes de la louange, les principales modalités d'évocation de l'être aimé sont considérées, sans éluder les questions qui forment aujourd'hui le nébuleux halo du simple mot « image ». Si la paronomase, l'analogie et l'hyperbole exercent toujours leur plein empire sur les poètes amoureux du XXe siècle, les mises en oeuvre attestent une évolution dans le traitement des images. La célébration, sujet classique des études littéraires, n'est pas le seul mobile du poème. L'aspiration poétique à neutraliser l'incompatibilité du réel et de l'imaginaire, rejoint l'aspiration amoureuse à « sortir de soi » pour accéder à autrui, ce qui détermine des procès communicants spécifiques, structures ouvertes de la représentation et de l'énonciation. La teneur sentimentale de cette parole destinée, orientée, est aussi envisagée, dans une réflexion sur la déclaration d'amour. S'affirme ainsi, d'étude en étude, la vocation relationnelle d'un type de discours fondé sur une dépendance allocentrée. L'énonciateur tend à établir un lien à tu et à toi, qu'il lui faut sans cesse renouer. Un aperçu des différentes configurations de la liaison interpersonnelle rend compte de la formation de ce couple verbal.
L'approche formelle introduit au coeur de discours encore peu explorés. Car même circonscrit à une langue et un siècle, le domaine reste immense, la poésie française du XXe siècle constituant une matière littéraire foisonnante, hautement hétérogène. Au-delà de son prime enjeu - dégager et décrire des structures significatives communes à des textes d'une extrême diversité -, ce livre fait entendre ou découvrir quantité de voix amoureuses de notre poésie.
Toute langue a une terminologie de parenté comprenant de vingt à trente mots en moyenne, qui permettent de désigner le père, la mère, le frère, la soeur, etc. Ces terminologies sont de véritables témoins de l'histoire des sociétés, et il n'est pas rare qu'en leur sein coexistent des termes d'une grande ancienneté et d'autres de création plus récente ou empruntés à d'autres langues. À travers l'exemple du basque, seule langue non indo-européenne d'Europe de l'Ouest, la présente étude montre que les terminologies de parenté européennes ont connu depuis l'Antiquité un vaste mouvement de renouvellement convergent, si bien qu'aujourd'hui la plupart d'entre elles ont adopté un même type de terminologie, auquel les anthropologues ont donné le nom de « type eskimo ». L'ouvrage a pour objectif de mieux comprendre les divers aspects de cette évolution des langues et des sociétés en Europe.
Cet ouvrage représente une véritable somme, qui fait le bilan des multiples recherches que l'auteur a menées sur le gotique au cours du long commerce qu'il a entretenu avec cette langue depuis sa thèse d'État (1983). Il en renouvelle en profondeur la description, à la charnière de l'indoeuropéen et des langues germaniques anciennes, en approfondissant les questions les plus complexes (étude détaillée des particules ga1- et ga2- ; examen renouvelé des verbes en -nan ; étude fouillée de la phrase complexe, de la négation, des modalités, des particules enclitiques, etc.) À cela s'ajoutent des chapitres totalement nouveaux, ceux qui concernent la formation du prétérit faible en gotique, les emprunts finnois et lapons (ou sames) au germanique-gotique ancien de 1500 à 500 (donc avant J.C.) dans la région de la Baltique, l'extension possible du vocabulaire gotique.
Comme le gotique joue mutatis mutandis au sein des langues d'origine germanique le même rôle qu'exerce le latin auprès des langues romanes, l'ouvrage se recommande à tout spécialiste, qu'il soit germaniste, angliciste ou scandinaviste, mais aussi à tous ceux que passionne le fonctionnement des langues naturelles.
La pensée de Noam Chomsky sur le langage ne se réduit pas aux innovations théoriques qui ont fait la réputation de leur auteur. Sa singularité dans le champ du savoir doit aussi être cherchée dans un programme scientifique qui s'est développé au cours des années dans une absolue cohérence et dans la relative stabilité des options philosophiques qui constituent le fondement épistémologique de la Grammaire Générative.
C'est précisément à ces dernières que s'intéresse ce livre. Chomsky aborde des questions qui relèvent de la philosophie des sciences et de celle de l'esprit. Les solutions qu'il propose dérivent de la conception qu'il se fait de l'objet d'étude, la grammaire plutôt que le langage, qui, s'il doit être abordé en utilisant les méthodes en usage dans les sciences de la nature, impose aussi la définition d'une épistémologie spécifique.
Le linguiste doit en effet procéder de façon indirecte pour atteindre une réalité qui est essentiellement de nature biologique. On montre comment, dans le projet chomskyen, se trouvent conciliés innéisme cartésien et substrat neuronal, cerveau physique et esprit abstrait.
Ce livre retrace les changements qui se sont opérés dans la description de la parole du XVIe jusqu'au début du XXe siècle en rassemblant des travaux de spécialistes de différentes époques historiques et spécialités. Ce croisement interdisciplinaire permet de montrer et d'expliquer de manière fine le passage progressif d'une méthode introspective à une méthode de type expérimentale. Grâce aux différentes spécialités des auteur(e)s, il est possible d'aborder une variété de méthodes et d'approches d'étude de la langue parlée.
Cet ouvrage convie ainsi le lecteur à découvrir en leur compagnie l'évolution de la pensée et de la description de la parole qui en découle, tout en s'inscrivant dans les courants esthétiques et culturels de chaque époque.
La Théorie des Matrices et Étymons (TME) de Georges Bohas constitue une innovation radicale en Sciences du langage. Fondée initialement sur les faits de l'arabe puis étendue à la diversité des langues naturelles, elle se situe dans une perspective submorphémique : l'unité phonétique minimale n'y est pas le phonème mais le trait et l'unité minimale signifiante n'y est pas le morphème mais un composé de traits et d'invariant notionnel appelé « matrice ». Ainsi, la TME institue une motivation du sens du mot par sa forme même, dans sa dimension articulatoire, ou motivation intrinsèque.
Le présent ouvrage discute ces fondements, les étaye par des données nouvelles et en montre l'importance épistémologique au regard de théories cognitives élaborées indépendamment, comme la théorie de l'énaction.
Linguiste internationalement reconnue, en Europe et aux États- Unis, Hava Bat-Zeev Shyldkrot, professeure émérite à l'Université de Tel Aviv est une personnalité originale du champ de la linguistique générale et tout particulièrement de la linguistique française. Elle tient notamment cette dernière originalité du fait qu'elle y est intellectuellement très présente sans y être professionnellement engagée, même si elle fut et continue d'être régulièrement invitée par de nombreuses Universités françaises et présente dans diverses instances éditoriales.
Titulaire d'une thèse française, spécialiste de morphosyntaxe du français, Hava Bat-Zeev Shyldkrot appartient à cette catégorie de chercheurs en linguistique française qui, par leur culture disciplinaire et leur curiosité, ont toujours voulu aborder le vaste domaine qu'elle constitue dans son extension historique maximale. Conjointement aux phénomènes de grammaticalisation, sensible à l'évolution de la linguistique générale et nourrie des sciences cognitives, elle porte aussi un intérêt remarqué aux processus de traductions envisagés du point de vue du sens.
On comprend pourquoi le volume d'hommage que ses amis ont souhaité lui offrir met en avant la double perspective synchronique et diachronique en associant approche généraliste et étude de cas particuliers.
La déontologie scientifique de l'acte interprétatif confronté au faire sens de l'art est ici reconçue à partir de la catégorie critique du tact. Cette reconception permet de préciser les modalités sémiotiques de mise en pratique d'une posture herméneutique originale : à la fois matérielle, critique et participative, situable dans le cadre général d'une anthropologie de l'homme en mouvement héritée de Cassirer, et renouvelée par l'apport de nouveaux auteurs. Une telle posture se propose de surmonter de manière exigeante l'opposition persistante entre une approche scientifique supposée désenchanter le monde et une expérience subjective s'estimant largement dédouanée des contraintes méthodologiques. La sémiotique des cultures actuellement en développement et la tradition stylistique servent de point de départ à la définition de nouveaux régimes de sémioticité propres à renouveler le thème d'une force formatrice de l'art et à jeter les bases d'un dialogue avec l'approche pragmatique de la Nouvelle Herméneutique.
Plus de quarante ans après sa publication, et alors que l'on vient de célébrer en 2010 le cinquantième anniversaire de la mort de Gustave Guillaume, la réédition de l'ouvrage d'André Jacob, Les exigences théoriques de la linguistique selon Gustave Guillaume, témoigne de son caractère décisif comme introduction épistémologique et philosophique à ce qui demeure une des théories contemporaines du langage les plus profondes et les plus puissamment explicatives.
Ce livre constitue la première présentation synthétique de la sémantique interprétative de François Rastier. Cette théorie unifiée du mot au texte connaît actuellement un essor international.
L'auteur part des notions sémiotiques fondamentales (signifiant, signifié, référent, etc.), présente et développe les notions générales de la sémantique interprétative (sème, isotopie, etc.), approfondit les composantes sémantiques (impliquant thèmes, états et processus, évaluations, positions linéaires) et produit des analyses inédites de textes littéraires français et québécois (La Fontaine, Baudelaire, Hector de Saint-Denys Garneau, Normand Chaurette, etc.).
Ce livre est appelé à devenir un ouvrage de référence dans les sciences du langage (linguistique, sémantique, sémiotique, philosophie du langage, théorie littéraire, etc.).