Pour les dix ans de son pontificat, le pape François confie son espérance pour le monde de demain, à travers dix voies majeures qui pourraient rendre le monde meilleur. Considérons le monde comme une maison commune, réconciliée, émancipée de la pauvreté, préservée pour les générations futures, ses portes ouvertes à tous. Décidons des moyens concrets pour une humanité plus juste qui rejettera les abus, reconnaîtra la dignité de tous les individus, valorisera les femmes, n'utilisera plus jamais le nom de Dieu pour faire la guerre.Tout le réalisme du pape François jaillit de ces lignes où il manifeste sa conscience aiguë des problèmes que traversent les croyants comme les non-croyants. Ce n'est pas un rêve, souligne-t-il avec force, c'est une mission de courage et de foi pour tous les hommes de bonne volonté.Un message passionnant et inspirant pour tous, à l'intérieur comme à l'extérieur de l'Église.
La vieille Europe, la chrétienté, est-elle en train de mourir après avoir rempli sa mission d'ensemencer le monde du christianisme ? On peut s'interroger sur la nécessité d'un tel pessimisme.Dans un espace géographique occidental limité, le catholicisme «romain » a su participer au développement d'une civilisation originale : unité de l'Europe, primauté de la paix et limitation de la guerre, laïcité, droits de l'Homme, égalité femmes-hommes, condamnation de l'esclavage, souci de l'enseignement, possibilité de la science, notamment, en sont les fruits.Par l'action conjointe et souvent conflictuelle de deux acteurs - l'Église et l'État -, les énergies ainsi libérées ont permis à l'Europe chrétienne d'acquérir, à l'époque moderne, une supériorité technique qui l'a conduite à dominer le monde et à prétendre y imposer sa civilisation.Mais l'Occident se trouve désormais au banc des accusés. À l'extérieur, on conteste son hégémonie, invoquant des griefs présents et passés. À l'intérieur, les uns, surenchérissant sur le monde, exigent qu'il fasse repentance de ce qu'il a été - conquérant, dominateur, homogénéisateur... tandis que d'autres, nostalgiques de la «chrétienté», lui font grief de ce qu'il ne serait plus assez « chrétien ».À l'heure du doute, Jean-François Chemain livre ici une réflexion puissante et originale sur les apports civilisationnels du christianisme et la légitimité de leur devenir.
Diplômé de l'IEP de Paris, agrégé et docteur en histoire, docteur en histoire du droit, Jean-François Chemain enseigne dans plusieurs établissements supérieurs catholiques. Il est également l'auteur de nombreux ouvrages.
Décédé le 31 décembre 2022 à 95 ans, Benoît XVIétait « le pape émérite ». Mais par-dessus tout depuis dix ans, ilétait l'homme du Monastère : l'ancien couvent cloîtré situé dans une clairièreisolée dans les jardins du Vatican, où il s'installa en mai 2013 après sarenonciation à la charge de Souverain Pontife. Depuis lors, la perception de sapersonnalité avait changé. Le geste de Joseph Ratzinger produisit des anomaliesen cascade qui, après dix ans de papauté de François, persistèrent etconditionnèrent l'équilibre de l'Église. Le premier fut précisément le choix deBenoît XVI de s'installer dans le monastère Mater Ecclesiae :l'un des lieux les plus mystérieux et les plus inaccessibles à l'ombre du dômede Saint-Pierre. Personne, peut-être même pas lui, n'aurait imaginé que sa« papauté parallèle » aurait pu durer aussi longtemps, accompagnantle pontife argentin durant dix ans ; ni qu'il l'aurait encadré, aidé, puis,sans le vouloir et sans le chercher, freiné et presque défié, par la volontédes autres plutôt que par la sienne.
Le nouveau livre de Massimo Franco nous faitdécouvrir les secrets du Monastère. Il raconte l'évolution puis l'involution del'équilibre miraculeux entre les « deux papes », marqué par destensions et des affrontements de pouvoir. En arrière-plan subsiste la questioncentrale non résolue et traumatisante de la démission d'un pape. Et leMonastère devient essentiel pour déchiffrer les destins non pas d'un mais dedeux pontificats. Et de toute l'Église.
Massimo Franco est un journaliste italien né en 1954. Il écrit et publie ses chroniques dans le Corriere della Sera. Il a précédemment travaillé pour Avvenire, Il Giorno et Panorama. Essayiste, il a écrit de nombreux ouvrages sur la politique italienne et le Vatican. Il est membre de l'International Institute for Strategic Studies à Londres.
Au-delà de la question des abus, le cléricalisme est un mal pour l'Église. Peut-il malgré tout en sortir un bien, si l'on décide d'envisager autrement la relation prêtre et laïcs dans l'Église ? Comment abandonner de mauvaises habitudes et une vision dualiste et frontale de partage de pouvoir et de rapport de force ?Pour Mgr Aupetit, le cléricalisme trouve son origine dans une perversion de la paternité véritable. Il est erroné de projeter notre expérience de la paternité humaine sur celle de Dieu. S'il est vrai que cette notion a évolué au cours de l'histoire, il nous faut d'abord comprendre que Dieu n'est pas Père à la manière des hommes. Ce sont les hommes qui doivent devenir pères à la manière de Dieu.Avec ce renversement de perspective, à la lumière des Écritures, il devient possible d'envisager tout autrement la mission confiée aux prêtres comme aux laïcs. La parole forte de Mgr Aupetit ouvre ici un chemin de conversion pour tous dans l'Église.
Mgr Michel Aupetit est archevêque émérite de Paris et membre de la congrégation pour les Évêques à Rome.
Alors qu'il vivait retiré depuis des années au Vatican, la disparition du pape Benoît XVI a marqué les esprits. Tout le monde se souvient de ce 11 février 2013, lorsqu'il a annoncé à l'Église et au monde son intention de renoncer au pontificat. À partir de cet événement et en nous transportant dans le passé, ce livre raconte la vie de Joseph Ratzinger, depuis sa naissance dans un petit village de Bavière, le 16 avril 1927, jusqu'à sa fin, vécue dans la prière au monastère Mater Ecclesiae du Vatican après son abdication.Une narration captivante, soutenue par de nombreuses photographies, pour certaines inédites, qui retrace les principales étapes de l'aventure humaine et spirituelle de cet « humble travailleur dans la vigne du Seigneur » : l'enfance en Allemagne dans les années trente, le drame de la guerre et de la captivité, la vocation sacerdotale, la brillante carrière universitaire, la participation au concile Vatican II, l'élection comme archevêque de Munich et Freising et la nomination comme cardinal, la longue charge de préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, les huit années d'un pontificat marqué par des moments difficiles. Un patrimoine extraordinaire d'images, de souvenirs et de témoignages qui nous révèle toute la richesse humaine, théologique et pastorale de l'homme qu'a été Joseph Ratzinger-Benoît XVI dans une vie donnée à l'Église.
Maria Giuseppina Buonanno, journaliste, est née à Sant'Agata de'Goti, dans la province de Benevento, en Italie. Après son doctorat, elle s'est spécialisée en Communication sociale à l'université catholique de Milan. Elle a travaillé pour les quotidiens Avvenire et La Gazzetta del Piemonte, pour les mensuels TvSette du Corriere della Sera et TvOggi. En 2009, elle est entrée à la rédaction du magazine Oggi. Elle écrit dans des domaines qui semblent très éloignés l'un de l'autre : les spectacles et l'Église.Luca Caruso, journaliste, né à Catania, est responsable du service de presse de la Fondation vaticane Joseph Ratzinger-Benoît XVI. Spécialisé en Édition et Journalisme avec sa thèse Dieu dans les JT, il a été consultant Rai pour l'émission La Bible jour et nuit. Il a travaillé pour la Rai Vaticano et la Librairie éditrice vaticane. Deux de ses études sur les rapports entre la télévision, la radio et le sacré sont insérées dans le livre Editoria, media e religione (LEV, 2009). Il est co-auteur du volume Giornalismo e religione (LEV, 2012).
Pour saint Bernard de Clairvaux, « nous sommes des vasques, nous ne pouvons donner que ce qui déborde ». La tendresse est ce débordement, ce surcroît, ce qu'il nous reste à offrir quand on a donné le nécessaire, comme un supplément de vie.Cependant, les obstacles pour s'épancher et manifester de façon juste la douceur du coeur sont nombreux : peur, endurcissement, orgueil. Il faut les débusquer.C'est finalement par une approche très concrète dans nos relations que l'on découvre et fait grandir les bienfaits de la tendresse dans le couple et la famille, mais aussi dans nos relations professionnelles et sociales comme dans l'Église.Apprenons à l'accueillir pour mieux la partager ; que nos mots, nos gestes, nos regards soient imprégnés de cette tendresse, baume parfumé sur les blessure du monde.
Odile Haumonté est l'auteur d'une soixantaine de livres de spiritualité pour grandir dans la foi.
La petite Thérèse avait pris soin de préciser, à propos d'Histoire d'une âme, « Il y en aura pour tous les goûts, excepté pour les voies extraordinaires. »La voie ordinaire de la sainteté par la plus grande sainte des temps modernes ! Elle concerne tous ceux qui désirent avancer dans l'amour de Dieu et du prochain et n'osaient pas jusqu'alors aspirer à la sainteté.Écouter Thérèse en parler et la suivre pas à pas, de son enfance à son dernier souffle, voici le chemin que Véronique Gay-Crosier nous propose d'emprunter à sa suite.Comprendre comment, dans cette courte vie, de sa toute petite enfance à son départ pour le ciel à vingt-quatre ans, la jeune Thérèse a révolutionné la conception de la sainteté par son cheminement intérieur ; par quelle innovation de charité elle a pu transfigurer la vertu et la mortification en véritable amour ; par quel regard sur les fautes, l'abandon et la faiblesse humaine, elle en fait des occasions de croissance et d'union à Dieu.Un livre pour mieux connaître, aimer Dieu selon le coeur de Thérèse, et surtout nous confier à celle qui disait avant de partir : « Si le bon Dieu exauce mes désirs, mon Ciel se passera sur la terre jusqu'à la fin du monde. Oui, je veux passer mon Ciel à faire du bien sur la terre. » Véronique Gay-Crosier est titulaire d'un baccalauréat en droit et en philosophie à l'université Saint-Louis à Bruxelles, et d'un doctorat en théologie morale à l'université de Fribourg en Suisse. Auteur de Plongée dans l'enseignement social de l'Église (L'Harmattan), elle anime une émission mensuelle de spiritualité sur Radio Maria Suisse romande.
Prêtre salésien de Don Bosco, le frère Benjamin est au service de la jeunesse : directeur de collège, chanteur, et très actif sur les réseaux sociaux qui l'ont fait connaître. Il y recueille par milliers des messages de jeunes avec qui il échange sur le sens de la vie, l'existence de Dieu, le pardon et les souffrances qu'ils rencontrent.Aujourd'hui, à l'aide de sa propre histoire, celle d'un fils sans père qui a trouvé la foi auprès de Marie à Medjugorje, il témoigne comment Dieu peut répondre à nos interrogations, comment lui seul comble nos solitudes. Avec force et simplicité, il nous livre son coeur d'enfant abandonné, d'adolescent habité par la foi et de prêtre heureux et convaincu de la puissance de l'amour de Dieu.À mettre entre toutes les mains pour retrouver l'espérance.
Frère Benjamin est prêtre salésien depuis 2016, directeur du collège Don Bosco Giel en Normandie, chanteur, créateur de contenus sur les réseaux sociaux, et fondateur de la chorale Cap Coeur d'Argenteuil.
Envoyé au coeur du monde, le prêtre est souvent amené à répondre à nos attentes et nos doutes quel que soit le sujet. C'est pourquoi le père Benoît Pouzin nous rejoint dans nos questionnements à partir d'échanges ou d'affirmations qu'il entend lors de ses rencontres quotidiennes avec des croyants ou des non croyants : « L'Église ne s'intéresse pas à l'écologie » ; « L'Église ne rejoint plus les jeunes aujourd'hui » ; « Il y a des religions avec lesquelles on ne peut pas discuter » ; « La religion catholique laisse-t-elle vraiment une place aux femmes ? » ; « Pourquoi est-ce que je ne peux pas demander directement pardon à Dieu ? » ; « Pourquoi l'E'glise impose-t-elle le ce'libat pour les prêtres ? »...On découvrira à la lecture de ce livre des réponses lucides et claires, celles d'un prêtre de son temps et heureux de sa mission !
Le père Benoît Pouzin est prêtre du diocèse de Valence et auteur de deux ouvrages Je fais le plus beau métier du monde et Dieu, la vie, la mort, l'amour... La boîte à questions du père Benoît.
Ancien Vénérable Maître franc-maçon et membre des Hauts Grades au sein de l'obédience du Droit humain, Serge Abad-Gallardo se consacre depuis des années à dévoiler ce véritable contre-pouvoir caché qu'est la franc-maçonnerie.Avec ce livre il met en lumière, de l'intérieur, l'influence déterminante, continue, et secrète de la franc-maçonnerie sur le politique dès le XVIIIe siècle. On ne peut véritablement mesurer l'influence de la franc-maçonnerie qu'à travers les rapports qu'elle a tissés avec le politique depuis ses origines.Car aucun régime n'a été épargné par l'ombre de celle-ci depuis la Révolution française : en particulier toutes les républiques successives, sans exception, y compris la Ve République. Les décisions politiques elles-mêmes prises au plus haut niveau ont été orientées et sont orientées aujourd'hui encore par le pouvoir des loges - particulièrement dans le champ sociétal, jusqu'au sombre exemple actuel de l'euthanasie.Cette influence constante et déterminante pose la question de la nature même de notre démocratie et du pouvoir du peuple qui est censé en découler. Autrement dit, comment quelques milliers de membres des loges, à partir de principes ésotériques et magiques cachés au plus grand nombre, ont-ils façonné ainsi au fil du temps une nouvelle société à force de lois transgressives ? C'est tout l'enjeu de ce livre courageux que d'y répondre, nourri par la riche expérience de l'auteur lui-même.
Serge Abad-Gallardo est un ancien haut fonctionnaire territorial qui a passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain qui est une obédience mixte et internationale. Il a occupé la plupart des postes d'officier de loge y compris celui de Vénérable Maître. Revenu à la foi chrétienne en 2012, il témoigne de sa connaissance du monde de la franc-maçonnerie dans de nombreuses conférences qu'il donne en France et à travers le monde.
Pour ramener à bon port le corps de son père, foudroyé en pleine ascension, Pierre est prêt à braver tous les dangers. A Chamonix, les guides se mobilisent : Servettaz était le meilleur d'entre eux. La montagne est une redoutable tueuse, elle sélectionne impitoyablement ses victimes. Celles-ci le savent bien qui la consomment comme une drogue et la portent dans leur sang. Une histoire de passion, au courage et à la solidarité des hommes.
L'ombre de la mort qui s'étend brutalement sur le monde a dissipé l'illusion que nous étions invulnérables et peut-être, grâce à la puissance de nos technologies, bientôt immortels...
Comment relire cet événement ? Comme une leçon de vie.
Médecin des corps et des âmes, Mgr Aupetit médite sur tout ce qui nourrit une espérance véritable et nous aide à apprivoiser la mort, celle des autres et la nôtre, dans une société désemparée.
Au-delà d'un regard juste et apaisé sur une mort inéluctable, il ouvre un chemin pour choisir la vie au quotidien et reconquérir la paix de l'âme.
Quand j'ai des soucis matériels, quand l'inquiétude me ronge au sujet d'un proche, quand je manque de patience, quand on m'a causé du tort, quand un couple va mal ou qu'un enfant souffre, face à la maladie, la vieillesse ou le deuil...Personne n'est épargné par les souffrances et les épreuves, mais lorsqu'on se tourne vers Dieu, comment lui demander son aide ? Que ce soit pour assister les plus proches ou pour nous-mêmes, ces courtes prières sont adaptées à toutes les situations.Un ouvrage à emporter partout et à faire connaître à tous ceux qui ont besoin de l'aide du Ciel au quotidien !
Le père Pierre Amar, prêtre du diocèse de Versailles, est l'un des fondateurs du site Padreblog.
À l'heure des migrations de masse, des pandémies mondiales, du réchauffement planétaire et des multinationales omnipotentes, la notion d'enracinement semble vouée à la ringardise. Pour beaucoup de chrétiens, elle paraît s'opposer de plus en plus à l'impératif de fraternité universelle.
L'idée s'impose qu'il faudrait choisir entre la patrie du ciel et la patrie terrestre, qu'il serait urgent de dépasser les frontières pour réaliser l'unité du genre humain. L'universalisme semble n'être plus qu'un autre nom du mondialisme.
Pour Laurent Dandrieu, cette vision est en contradiction avec l'essence même du catholicisme, religion de l'incarnation. Une contradiction aussi avec l'idée même d'universalisme chrétien, unité spirituelle qui a toujours marché main dans la main avec l'attachement de l'Église à la diversité des peuples et des cultures.
À contre-courant des oppositions binaires, l'auteur renouvelle de fond en comble le sujet, appuyé sur un imposant travail de recherche et une analyse précise des textes catholiques. Ouvrant un débat vital pour l'avenir du christianisme, il défend l'idée qu'en oubliant l'esprit de la Pentecôte au profit de son exact contraire qu'est la tentation de Babel, l'Église prêterait la main à son pire ennemi, ce mondialisme qui vise à arracher l'homme à tous ses liens, culturels, historiques, humains et religieux.
Appel vibrant à un renouveau catholique, Rome ou Babel trace une ligne de crête exigeante : la voie étroite qui mène à Dieu passe par une contribution singulière et enracinée à la civilisation chrétienne.
« Un ouvrage essentiel, d'une exceptionnelle richesse. ».
(Mathieu Bock-Côté)
Dans les Bibles qui sont à disposition du grand public, il faut souvent choisir :- soit une Bible enfantine pour initier les plus jeunes et les accompagner au catéchisme ou leur offrir leur cadeau de communion - soit une Bible adulte... qui court le risque de demeurer sur une étagère malgré les bonnes résolutions de l'acquéreur. Or la Bible est lisible par tous... moyennant un guide sûr pour accompagner le lecteur. C'est cet accompagnement qu'offre la nouvelle édition de La Bible des familles. S'appuyant sur l'expérience de nombreux lecteurs de la Bible, néophytes ou expérimentés, cette Bible comprend : - la nouvelle traduction officielle de la Bible, dans la version liturgique de l'Église catholique ; - un texte de Marie-Noëlle Thabut établissant le lien entre les différents livres de la Bible. L'une des grandes difficultés de la Bible est qu'elle est composée de textes de genres divers, formés au cours des siècles, et dont l'âge d'écriture ne correspond pas à l'époque des événements racontés. Il est donc nécessaire d'avoir une mise en perspective permanente pour ne pas mal interpréter les textes.- des dossiers qui comportent les éléments culturels indispensables pour la compréhension des textes : situation historique, frises, vocabulaire, habitudes de vie, généalogies, géographie... Tout ce qu'il faut pour mieux comprendre le sens littéral du texte.- des index, des cartes...- une cinquantaine d'illustrations inédites par un illustrateur de grand talent : Éric Puybaret, et qui forment une fresque biblique de l'alliance de Dieu avec les hommes.- et un confort de lecture optimisé par une mise en page aérée, lisible et moderne.
Les plus belles prières du Pape François dans un format idéal pour prier toujours et partout !
Parler des anges... Voilà, dira-t-on, une étrange idée ou une vaine ambition... N'y a-t-il pas mieux à faire ? Et d'abord, existent-ils ? Qui ose encore avouer y croire ? L'avenir n'est-il pas au monde délivré de la terreur inspirée par le diable et de l'aimable légendaire qui peuplait les cieux d'esprits ailés ?
Pourtant, l'ange, dans le christianisme, tient une place fondamentale dans l'économie du salut. Il est nécessaire aussi bien à l'harmonie cosmique qu'à la soif d'absolu de l'humanité, envers laquelle il assume sa triple vocation de guide, de consolateur et de protecteur. Cela, l'Église n'a jamais cessé de l'enseigner, trop discrètement peut-être puisque, ces dernières décennies, l'angélologie catholique a cédé la place à une littérature ésotérique invitant à s'approcher de l'univers angélique - démarche dangereuse, car discerner les esprits de ténèbres des esprits de lumière est difficile.
Parue voilà vingt-cinq ans et devenue un classique, cette Enquête sur les anges s'appuye sur la doctrine de l'Église, les témoignages de l'Écriture sainte et ceux des mystiques. Elle constitue la première synthèse tous publics sur le sujet et répond à (presque) toutes les questions que vous vous posez sur ceux que le pape Pie XII appelait « nos compagnons d'éternité ».
Comment une simple plaisanterie à l'encontre d'un élève musulman, qu'il invitait sur le ton de la blague à devenir chrétien, a-t-elle pu conduire un enseignant devant les tribunaux ? Comment, dans le pays des Droits de l'Homme, de Rabelais, de Daumier, du Canard enchaîné, en sommes-nous arrivés là ? Est-ce la caricature d'une société qui ne vit plus les relations humaines qu'à travers le prisme du rapport de force juridique, médiatique et communautariste ?Dans cet ouvrage poignant, Frédéric Mortier nous raconte l'incroyable descente aux enfers dont il a été victime depuis cette altercation en décembre 2021. Silence de la direction catholique de l'établissement, silence de la direction diocésaine, mécanique froide et incompréhensible de la police, comme de la justice. À aucun moment, il n'a eu le sentiment de pouvoir s'expliquer posément et que raison soit gardée dans cette altercation, qui aurait dû être réglée en amont par la voie du dialogue.À l'heure du procès de l'enseignant, privé de revenu et de son poste, condamné au tribunal médiatique, l'homme, à l'article de la mort sociale, voit sa vie défiler comme dans un cauchemar, tel le héros de Kundera, Ludvik Jahn, dans La Plaisanterie. Car son parcours révèle un homme simple, direct, passionné d'enseignement, épris d'échanges, investi dans la vie publique, aux antipodes du portrait caricatural que l'on a dressé de lui.Un livre qui, après l'assassinat de Samuel Paty, témoigne de l'urgence de la question de la liberté de l'enseignement aujourd'hui en France.
Frédéric Mortier est professeur d'économie depuis 27 ans dans un lycée privé catholique d'Angers. Pendant deux ans, il a également oeuvré en tant que directeur d'un établissement à caractère social de la Fondation d'Auteuil auprès d'enfants en difficulté.Père de famille, il est maire d'une commune rurale de 7 000 habitants depuis 2008.
Les plus belles prières aux anges, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
Beaucoup de gens me demandent quel est le secret caché derrière la figure de mon fils Carlo, qui en quelques années a réussi à gagner l'amitié et l'affection d'une multitude de personnes qui demandent son intercession dans la prière. Pourquoi un simple petit garçon, mort à l'âge de quinze ans, est-il invoqué dans le monde entier ? Pourquoi l'Église l'a-t-elle proclamé bienheureux ? Quel est, en somme, le «mystère de la lumière » qui l'accompagne ? Beaucoup ont voulu percer ce mystère, mais il n'est pas facile de saisir l'être d'une personne si l'on n'est pas entré dans une relation directe avec elle. S'il est vrai que « l'essentiel est invisible pour les yeux et ne peut être vu qu'avec le coeur », en tant que mère de Carlo, j'ai voulu essayer d'écrire un livre avec mon coeur, pour aider ses nombreux amis à mieux le connaître et à l'aimer. Un sens religieux très fort et inné a conduit mon fils à s'ouvrir aux autres, surtout aux petits, aux pauvres et aux faibles. Carlo a vécu en se tournant toujours vers Dieu. Il avait l'habitude de dire que « la conversion est un processus de soustraction : moins de moi pour laisser de la place à Dieu ». Comme un phare dans une nuit noire, il a percé et éclairé les ténèbres qui me retenaient captive et m'a montré un chemin vers l'éternité. L'infini était son objectif, pas le fini. Jésus était le centre de sa vie. Ce sont les trésors que j'essaie ici de dévoiler, les trésors de Carlo, son secret.
Antonia Salzano Acutis est la mère de Carlo Acutis, décédé en 2006 et béatifié par l'Église catholique en 2020. Convertie par la foi ardente de son fils, elle témoigne de sa vie fulgurante et de son rayonnement auprès de la jeunesse.Paolo Rodari est journaliste et vaticaniste pour La Repubblica. Chez Piemme, il a publié, avec le père Gabriele Amorth, le best-seller international Moi, le dernier exorciste.
De 1933 à sa mort en 1980, l'activiste et journaliste américaine Dorothy Day raconte son quotidien dans le journal The Catholic Worker, dont les extraits sont ici sélectionnés et traduits par Baudouin de Guillebon. Une véritable épopée à travers les quartiers défavorisés des États-Unis où elle se fait la voix de la doctrine sociale de l'Église.Au fil des pages, Dorothy Day conduit ses lecteurs aux quatre coins de l'Amérique, visitant les usines et les champs de coton, racontant le quotidien des sans-abri, décrivant de l'intérieur un pays dont l'atmosphère est proche de celle des romans de Steinbeck.Ce combat extraordinaire contre la misère, Dorothy Day le vit au milieu des plus démunis, dans ces maisons qu'avec Peter Maurin, cofondateur du mouvement des Catholic Worker, ils nomment « maisons d'hospitalité ».On y trouve un réconfort matériel, intellectuel et spirituel, mais aussi une secousse, une décharge : la lecture n'est pas paisible. Dorothy Day invite à un engagement complet - intégral - de la personne humaine, afin de créer cette société « où il serait plus facile d'être bon ». Un appel aux âmes libres, radicales, sans concession avec elles-mêmes et qui portent avec détermination la force incroyable de la charité.
Dorothy Day (1897-1980) s'est convertie au catholicisme romain au début des années trente. Elle décide de créer avec le paysan français Peter Maurin, le mouvement des Catholic Worker, afin d'annoncer aux États-Unis que l'Église a une doctrine sociale. Décédée à New York le 29 novembre 1980, le pape François la cite comme l'une des quatre figures américaines majeures du XXe siècle.
Une foi limpide et lumineuse, un engagement auprès des pauvres et des marginalisés, au sein de la Communauté Jean-XXIII, le désir d'être médecin en Afrique, des fiançailles... un accident de voiture et un départ prématuré, ce 2 mai 1984, à l'âge de 22 ans. Sandra Sabattini, jeune Italienne joyeuse à la vie spirituelle intense, a laissé dans son sillage une réputation de sainteté. La profondeur de son désir de Dieu, sa droiture et sa pureté ont marqué ceux qui l'ont côtoyée, ceux qui la rencontrent encore à travers son journal intime, rédigé depuis l'adolescence.L'abbé Hubert Lelièvre le traduit pour la première fois en français, afin de nous faire découvrir cette âme d'exception, modèle pour la jeunesse d'aujourd'hui, béatifiée en 2021. Il esquisse sa physionomie spirituelle, en lui laissant largement la parole et en enrichissant son portrait d'exhortations des papes et d'exemples de jeunes saints.Un guide sûr pour ceux qui veulent eux aussi « choisir le Christ, et c'est tout », en « se donnant totalement aux autres ». Car le Ciel n'attend pas !
Hubert Lelièvre, ordonné prêtre en 1989, partage son ministère entre la Famille missionnaire de l'Évangile de la Vie et la cause de canonisation des martyres d'Orange, dont il est le postulateur. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont Ce bonheur que tu cherches (Emmanuel, 2011), réponses aux questions des jeunes, et Carlo Acutis. Le geek de Jésus (Peuple Libre, 2020).
Après avoir acheté en 1998 une ancienne école à Plounévez-Quintin pour accueillir des personnes en grande difficulté, Katia et Nathanaël, avec leurs trois jeunes enfants, leur ont offert une vie de famille et les ont aidés à retrouver le goût de la vie intérieure, du travail et de la vie fraternelle. Ce projet inspiré est aujourd'hui à l'origine d'une fondation, « Le Village Saint Joseph », qui sème le bon grain partout en France.Partageant ici les origines de leur aventure et surtout ce qui les anime, Katia et Nathanaël nous expliquent comment, en accueillant des pauvres, ils se sont laissé enseigner et former par eux. Cet appel qui leur a été adressé d'ouvrir leurs portes à Jésus Christ en accueillant des personnes démunies, ils souhaitent le faire résonner dans bien des coeurs.C'est un nouveau visage de l'Église qui est en train de naître sous nos yeux. Ne nous y trompons pas, si nous voyons disparaître une certaine pratique dans nos paroisses désertées, les chrétiens ont toujours été inspirés pour répondre aux besoins de leur époque et à l'attente de leurs frères. Le Village Saint Joseph s'adresse à tous les hommes et les femmes de bonne volonté qui cherchent le vrai sens de leur vie, et particulièrement aux couples qui veulent vivre de la bénédiction qu'ils ont reçue dans le sacrement de mariage. Une lecture salutaire et une source d'inspiration pour nos familles.
Katia et Nathanaël Gay ont répondu à l'appel du Christ à vivre en couple la mission auprès des personnes fragilisées en ouvrant des petites Églises domestiques. Monique Plassard a mis sa plume à leur service.
Ce recueil de prières a été conçu dans le cadre des jubilés saint Thomas d'Aquin de 2023 à 2025. Il utilise des prières traditionnelles connues depuis le quatorzième siècle. Elles sont dans l'esprit et la tonalité de la doctrine de saint Thomas d'Aquin, docteur de l'Église.
« Je te loue, te glorifie, te bénis, mon Dieu, pour les immenses bienfaits dont tu m'as gratifié, moi qui n'en suis pas digne. Je loue ta clémence : elle m'attend toujours ; ta douceur, ses rigueurs sont feintes ; ta pitié m'appelle, ta bienveillance m'invite, ta miséricorde remet les péchés, ta bonté comble au-delà des mérites, ta patience ne se souvient pas des offenses, ton humilité console, ta patience protège, ton éternité préserve, ta vérité récompense. »Extrait de la prière d'action de grâce attribuée à saint Thomas d'Aquin Le père Philippe-Marie Margelidon est directeur des études du Studium des dominicains à Toulouse où il enseigne ainsi qu'à la faculté de théologie de l'Institut catholique.