Les sept volumes de Gabrielle Bossis réunis en un seul.
Une nouvelle édition enrichie de nombreux documents et textes inédits.
TABLE DES MATIÈRESANGLAIS COURANT : NIVEAU A1 - A2Préface ........................................................................................................................................................................................................ 3Introduction ................................................................................................................................................................................................ 71 ... La date.............................................................. : The date ......................................................................................................... 312 ... Les nombres...................................................... : Numbers ........................................................................................................ 353 ... Le temps............................................................ : Time ............................................................................................................... 394 ... La quantité........................................................ : Quantities ...................................................................................................... 435 ... L'école............................................................... : School ............................................................................................................ 466 ... Le travail............................................................ : Work .............................................................................................................. 507 ... L'argent.............................................................. : Money ............................................................................................................ 548 ... La famille........................................................... : The family ...................................................................................................... 569 ... Les repas........................................................... : Meals ............................................................................................................. 5910 ... Les habits.......................................................... : Clothes ........................................................................................................... 6411 ... La maison.......................................................... : The house ...................................................................................................... 6812 ... Les sports.......................................................... : Sports ............................................................................................................. 7313 ... Les mouvements............................................... : Movements ....................................................................................
"Un collège de ZEP où règne la violence. Des jeunes qui rackettent leurs camarades et s'acharnent tout spécialement sur Benoît... Et, pour finir, une bagarre qui tourne mal et fait la une des médias, en pleine campagne électorale :
Tabassé, par qui, tu dis ? Des moutards de sa classe. Un groupe de cinq dont un bougnoul et un négro. Mais c'est bon ça. Essaie d'en savoir plus.
Les politiques, bien sûr, s'emparent de l'événement.
Cela pourrait-il renverser les tendances, on n'a pas encore de sondages...
Puis le soufflé retombe et tout le monde oublie - sauf ceux que le drame a touchés de près : la mère de Benoît (qu'est-elle devenue, après plus de douze ans ?) ; deux de ses profs, Geneviève et Étienne ; et Laurent, son copain de classe, que le passé et le remords vont rattraper.
Une histoire, des personnages si justes qu'on les dirait vrais. Peut-être le sont-ils ? Ils résonnent dans les mémoires. L'écriture n'y est pas pour rien. Elle est même tout dans ce roman généreux.
Un auteur qui bouscule en douceur et n'hésite pas à côtoyer les grands mots, même s'il ne les impose pas à ses lecteurs : la chute et la régénération, le remords, la foi, la grâce et la puissance de l'amour.
Car Jean-François Mézil est un homme de ce monde. Il visite, avec gravité et tendresse, les grandes failles de notre société, qui nous touchent, de loin, de près, la violence adolescente, la solitude, le poids des ans et des vies pas drôles. Et pourtant, que d'humour, de drôlerie, d'émotion, de charme, dans ce troisième roman publié aux Éditions Feuilles !
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« En décidant de raconter sa vie, Junior croyait prendre du recul. Mais pour plaire à ses lecteurs, il se laisse emporter par son propre rôle... Les fêtes se multiplient et sa vie tourne au n'importe quoi ! Il croise des morts et quand ces morts sont des écrivains qui l'encouragent à finir son roman, quand il discute avec les dieux, c'est sûr qu'il ne contrôle plus rien. Il est à la merci de la feuille blanche. Il aimerait abandonner mais fonce droit dans le mur. Ses potes et Nathalia sont là pour l'aider. Mais sauve-t-on celui qui n'en a pas envie ? » Pas facile, la vie : une histoire qui serait un document sur la vie des jeunes. potes, Alcool, fumette, peur du HIV, travail, s'engager ou pas dans la vie, sortir ou pas des limites de son petit territoire familier, et l'amour-toujours en question, avec le sexe à côté. Des questions sur la vie, qui tourne bien, qui tourne mal, la dérive ou comment s'en protéger, ou y sombrer. Tout ce qui donne à ce roman, attachant ou exaspérant, son aplomb et sa présence.
Le roman est situé dans une ville dont le nom n'est pas donné (Castres). Un homme accompagne en voiture jusqu'à la ville proche un vieux voisin qui va voir sa femme hospitalisée. Lui-même ira passer l'après-midi au cinéma, décide-t-il en route, et ses idées vagabondent. Se met alors en place une rencontre fantasmée avec une spectatrice, que l'homme nommera Catherine, et, à leur conversation, viendra se mêler l'histoire du film qu'ils sont en train de voir, puis qu'ils ont vu puisque la rencontre se prolonge. Habilement, de manière légère, l'histoire d'amour du film et celle, possible, entre l'homme et Catherine s'entremêlent. On suit le couple de l'écran et le couple du cinéma, dans leurs commentaires et dans leur rencontre, par des scènes qui se succèdent comme des vignettes de bande dessinée.
Au travers du récit que James Lyon nous fait de l'existence de Dickens, il apparaît bien vite que l'écrivain se doublait d'un précieux défenseur des arts et de la musique. Rares sont pourtant ses écrits musicographiques ; c'est au travers des références musicales qui entrent dans ses livres que l'on constate la grande culture musicale de l'écrivain. Il se profilera d'ailleurs de plus en plus comme le défenseur d'une musique authentiquement anglaise, forte de cette tradition évoquée plus haut.
Et s'il ne fallait qu'un seul témoignage enthousiaste pour décrire la grandeur musicale de l'Angleterre, il suffit de lire le témoignage de Berlioz (cité ci-dessous aux pages 52 à 56) à la suite d'un concert des Charity Children donné à la cathédrale St Paul en juin 1851, qu'il termine par ce véritable credo : « ... à l'aide des premiers rudiments de la musique, les Anglais veulent et peuvent. Grand peuple, qui a l'instinct des grandes choses !!! L'âme de Shakespeare est en lui!» Et quelques semaines plus tard d'ajouter : « Il n'y a pas de ville au monde où l'on consomme autant de musique que Londres. » Les pages qui suivent ont l'immense mérite d'éclairer de nombreuses zones d'ombre sur une culture humaniste exemplaire et néanmoins peu chauvine, surtout si on la lit au travers des écrits de Dickens.
La richesse des informations et des références que renferme ce livre, baignant constamment dans ce monde musical qui apparaît sous toutes ses formes, entre une chanson populaire ou une musique plus savante, fait littéralement saliver l'imagination du lecteur qui ne doit pas appréhender ce livre dans un souci de retenir tout le savoir qu'il renferme.
Plan de Paris commencé l'année1734, dessiné et gravé sous les ordres de Michel Etienne Turgot et achevé de graver en 1739. Sans doute le plus beau plan de Paris gravé au XVIIIe siècle qui mit plus de cinq années à être réalisé. Il contient 20 planches levées et dessinées par Louis Bretez, gravées par Claude Lucas. Ces planches offrent des vues à vol d'oiseau du Paris de l'époque en respectant scrupuleusement les bâtiments, les rues et les jardins.
Cette édition a la particularité d'être la reproduction d'un des rares exemplaires de l'époque coloriés à la main. Son format réduit et son montage original permettent une consultation aisée.
"Chants d'assemblée et de choeur Harmonisés à quatre voix pour orgue et choeur par Yves Kéler et Danielle Guerrier Koegler Textes originaux rassemblés, mis en français et commentés par Yves Kéler Ouverture, par le pasteur David Brown et Guylène Dubois Préface du pasteur Alain Joly Avant-propos d'Édith Weber Ce recueil regroupe, pour la première fois, les 43 paraphrases françaises de chorals de Martin Luther, strophiques, versifiées, rimées, très fidèles aux intentions du Réformateur (ce qui n'est pas le cas des quelques rares textes figurant dans d'autres recueils français), et chantables sur les mélodies traditionnelles bien connues.
Il se veut un volume fonctionnel pour le chant des fidèles, avec des harmonisations à 4 voix destinées aux organistes pour accompagner l'assemblée lors des cultes et des messes. Il s'adresse également aux prédicateurs soucieux de trouver un choral pour illustrer les thèmes abordés chaque dimanche, aux organistes pour accompagner l'assistance et aux chefs de choeur pour diriger le choeur paroissial. Pour quelques harmonisations écrites en fonction des possibilités de l'orgue et, dans quelques rares cas, difficilement chantables (tessiture trop élevée ou trop grave, intercalation du texte à plusieurs des parties), ce volume propose des renvois à des versions de remplacement plus conformes au chant avec mélodies planant souvent à la partie supérieure où elles sont plus nettement perceptibles. Ce livre de chant fait suite, sous une forme plus maniable, à l'ouvrage d'Yes Kéler, Les 43 chants de Martin Luther, Sources et commentaires, paru dans la collection des « Guides musicologiques », s'adressant plus particulièrement aux théologiens, pasteurs, hymnologues, chefs de choeur, organistes, historiens des mentalités et sensibilités religieuses, présente des exégèses très fouillées pour les 43 textes (sources des paroles, sources des mélodies, circonstances en fonction du temps liturgique..., renseignements très pratiques pour le choix de la liturgie, des cantiques et des chorals lors du culte et même des strophes appropriées). Recueil oecuménique par excellence."
Dire l'ineffable. Entre les anthropomorphismes de la Bible et une conception très haute de la transcendance qui est celle d'un platonisme réinterprété par le courant gnostique, les premiers Pères de l'Église, pour exprimer leur conception du Dieu suprême et distinguer leur « vraie philosophie » de celle des intellectuels païens, ont dû se créer leurs voies propres, conciliant l'héritage de la Bible et celui de la pensée grecque. Certains d'entre eux ont théorisé leurs principes dans une véritable réflexion méthodologique et introspective, d'autres les ont simplement laissé entrevoir. Le colloque dont ce volume constitue les Actes s'est attaché à définir les fondements méthodologiques de la définition de Dieu chez les Pères les plus représentatifs de la première théologie chrétienne, depuis Justin Martyr et Tertullien jusqu'à la fin de l'époque patristique.
Actes du colloque de Tours, 17-18 avril 2015.
«Connaissez-vous beaucoup d'inventeurs d'instruments de musique ? Ceux dont l'histoire a retenu les noms se comptent sur les doigts d'une main. Jean-Christophe Denner a inventé la clarinette, Adolphe Sax le saxophone. Et puis ? On connaît des facteurs d'instruments, Stradivarius, par exemple. Mais il n'a pas inventé le violon. Alors qui ? Qui le piano ? Qui a inventé le tambour, la flûte, la harpe ? Autant demander qui étaient Adam et Ève ! » .
En octobre 1980 mourait accidentellement, à Paris, Maurice Martenot, musicien, pédagogue, inventeur des ondes musicales. Trois mois plus tôt, l'auteur était allé l'interviewer à sa maison de campagne de Noirmoutier.
Ce livre relate l'histoire des ondes Martenot, instrument électronique de musique exceptionnel qui a séduit des personnalités aussi diverses que Maurice Ravel, Rabindranath Tagore ou Jacques Brel, et des compositeurs connus, tels Olivier Messiaen, Darius Milhaud, André Jolivet, Arthur Honegger, Edgar Varèse, Maurice Jarre, Akira Tamba - auxquels se sont ajoutés, depuis la première édition de ce livre, parmi bien d'autres, Jacques Hétu, Jonny Greenwood, ou encore Akira Nishimura.
Au-delà de la technique, c'est à une nouvelle aventure de l'âme que le lecteur est ici convié : à une rencontre du génial inventeur et rusé bricoleur qu'était Maurice Martenot - lui qui passa une grande partie de sa vie dans son atelier, qu'il avait baptisé « La Lutherie électronique ».
Cette nouvelle édition comprend un supplément évoquant les « Nouveaux luthiers de l'électronique - type Martenot », pour tenir compte des vingt-six ans écoulés depuis la première édition.
Après des études en ondes Martenot à Paris avec Jeanne Loriod et Maurice Martenot, Jean Laurendeau revient au Canada en 1965. Depuis, il a fait des tournées pour les Jeunesses musicales du Canada et donné des concerts sous l'égide d'organismes tels la Société de Musique Contemporaine du Québec, le New Music Concert, Espace Musique. Plusieurs fois artiste invité des principaux orchestres du Canada et des États-Unis, ses tournées l'ont également emmené dans divers pays d'Europe ainsi qu'au Japon.
Le baccalauréat « ancienne mouture » vit donc sa dernière année... Faut-il le déplorer ? Peut-on encore parler d'« examen » pour une épreuve dont le taux de réussite approche ou dépasse les 90 % ? (alors qu'en 1967, ce taux était de 61,7 %, il est cette année de 88,1 % et 91,2 pour le bac général) ! L'état d'esprit coura- geux qui semblait à l'origine de la réforme pouvait laisser espérer aux lycéens, en plus d'une revalorisation du niveau, une ouver- ture plus large dans le choix des matières. Pour la première fois, un élève pourrait en n choisir comme enseignement de spécia- lité (par exemple) mathématiques et musique ! Et une spécialité artistique ne serait plus forcément liée à la lière littéraire ! Oui, mais voilà... Si l'on ignore encore le nombre de créations ou de fermetures d'options que cette réforme a induit en France, dans le lycée où j'enseigne - pour l'exemple que je connais le mieux - elle a purement et simplement abouti à la fermeture des options artistiques (arts plastiques et musique). Drôle de progrès ! En imaginant que ce cas ne soit pas unique dans l'hexagone, cela signi e que la préparation au bac que nous proposons dans cette revue pourrait rendre service l'année prochaine à un nombre bien plus important de candidats musiciens (en tout cas en ce qui concerne les candidats libres). Quoi qu'il en soit, nous conti- nuerons à proposer à tous une formule qui va bien au-delà des compétences attendues à l'examen, même si elle ne les élude absolument pas ; en cherchant à toujours stimuler leur curiosité, et à parfaire leurs compétences « pratiques », nous aimerions convier les lycéens à une sorte d'initiation - ou d'incitation si l'on préfère - à la musicologie, qui, j'espère, les satisfera.
Philippe Morant
Disparu en mars 2014 à l'âge de 86 ans, Serge Gut compte au nombre des figures majeures de la musicologie française des dernières décennies. Spécialiste de Franz Liszt, auquel il consacra deux grands ouvrages et de nombreux articles, il fut également un analyste réputé. Après une première formation de compositeur, il avait commencé sa carrière musicologique, dans les années 1960-1970, par des publications traitant surtout de questions de langage musical - un domaine qui, bien que parfois négligé par les milieux universitaires, constitue le pont naturel entre composition et théorie. Au terme de cinquante années d'une activité brillante, qui le vit notamment présider aux destinées de l'Institut de musicologie de la Sorbonne, Serge Gut devait revenir dans ses dernières années à cette passion de jeunesse. Son expérience unique, aussi bien dans les domaines de la recherche que de l'enseignement supérieur ou de la publication scientifique, lui inspira le présent ouvrage, qu'il qualifiait lui-même de testament. Théorie et histoire y tiennent un passionnant dialogue.
Resté inédit au moment de la disparition de Serge Gut, le manuscrit des Principes fondamentaux de la musique occidentale a été préparé pour la publication par Vincent Arlettaz, disciple de Serge Gut, rédacteur en chef de la Revue Musicale de Suisse Romande et professeur dans le cadre des Hautes Écoles de Musique suisses"
L'année de l'Eucharistie, voulue par le pape Jean-Paul II est pour les chrétiens une pressante invitation à approfondir le "mystère de la foi".
En ce sens, ce livre trace un magnifique itinéraire spirituel et apostolique, entraînant le lecteur dans un courant d'intense amour du Christ, de sa Personne vivante, de son Corps et de son Sang, de son Coeur ouvert sur le monde.
Pour croître dans une vie de prière et d'adoration envers la sainte Trinité, pour pénétrer dans les sentiments du Christ et vivre mieux sa présence eucharistique, pour découvrir la tendresse infinie du Père, chacun pourra puiser aux richesses de ces pages imprégnées de l'amour de l'Eucharistie.
Les recherches internationales sur les relations de la pensée de Heidegger au national-socialisme connaissent actuellement un nouveau dynamisme. En témoigne ce volume qui réunit sous la direction d'Emmanuel Faye un ensemble d'études de Johannes Fritsche (Istanbul), Jaehoon Lee (Paris), Sidonie Kellerer (Cologne), Richard Norton (Notre Dame, Ind.), Gaëtan Pégny (Berlin/Paris), François Rastier (CNRS, Paris) et Julio Quesada (Xalapa, Mexique).
Sont étudiés des concepts majeurs de la doctrine heideggérienne tels que ceux de sol, de communauté et de race, mais aussi de subjectivité et de vérité, qui attestent l'enracinement national-socialiste de sa conception du Dasein et la destruction programmée de la phénoménologie husserlienne.
Les apports de la philosophie, de la philologie et de la contextualisation historique sont mobilisés pour montrer notamment comment Heidegger a réécrit après 1945 sa fameuse conférence de 1938 : « L'époque des images du monde », afin de transformer en prise de distance son implication radicale dans le nazisme.
L'analyse critique envisage également l'itinéraire intellectuel et politique de Hans-Georg Gadamer dans les années 1930, et la réception actuelle de Martin Heidegger.
La conclusion fait le point sur la "vision du monde" antisémite de Heidegger à l'ombre de ses Cahiers Noirs.
L'éditeur scientifique du volume, Emmanuel Faye, est professeur de philosophie moderne et contemporaine à l'université de Rouen. Il a publié en 2005 Heidegger, l'introduction du nazisme dans la philosophie, aujourd'hui traduit en six langues.
Voici en un volume le texte de conférences (complétées de plusieurs monographies) faites de 1996 à 1999 dans le cadre de la Faculté de Théologie et de Sciences religieuses de l'Institut catholique de Paris, à l'initiative du professeur Joseph Doré, alors directeur du Département de la recherche de cet Institut et devenu depuis lors archevêque de Strasbourg.
Distribuée en deux grandes parties - l'Europe et les autres continents -, dont chaque étude est rédigée par un spécialiste de l'aire géographico-culturelle concernée, cette publication dresse en quelque 450 pages un « bilan » de la théologie catholique depuis le grand événement ecclésial que fut le concile Vatican II (1962-1965).
L'ensemble permettra non seulement de prendre une bonne connaissance des oeuvres, auteurs et courants principaux caractéristiques des dernières décennies du deuxième millénaire, mais aussi de faire le point sur les chantiers, les tâches et les orientations qui se profilent à l'aube du troisième millénaire.