C'est l'homme de la FRATERNITÉ.
Un homme à l'itinéraire surprenant.
Ce n'était pas donné d'avance : il voulait l'absolu, la perfection, frayer son chemin à lui, aboutir.
Il a rencontré, sur ses routes, de pauvres hommes : entre autres, l'homme Jésus, de Nazareth, celui de la « dernière place », des musulmans, des juifs, des incroyants de tous les jours, des soldats, des esclaves, jusqu'à des nomades et des sédentaires perdus au fin fond du plus grand désert du monde. Ils ont transformé sa vie.
Il a désiré devenir, pour eux tous, pour l'autre, un « frère », un « ami sûr » : que chacun, quel qu'il soit, de quelque univers qu'il soit, de quelque statut, religion, conviction qu'il soit, puisse, à ses actes, le reconnaître comme tel.
Itinéraire singulier. Itinéraire qu'est invité à prendre l'homme d'aujourd'hui, un homme qui, avec bonheur, pourrait devenir un frère pour l'homme, un Coeur.
Une jeunesse orageuse.
Un homme d'une trempe extraordinaire, d'une étonnante volonté de puissance. a vingt-huit ans, c'est la rencontre, brutale, avec l'absolu. comme une brûlure. et désormais son existence est une grande passion, un incendie. une vie qui se consume pour l'absolu. une vie qui se consume pour les hommes. cet homme fou de dieu se jette dans le brasier du monde ; il se consacre à la paix entre les hommes, au progrès des plus déshérités.
Il propose, non par des mots mais par sa vie, le respect de chacun, l'unité entre tous. un homme au coeur de feu. ce livre ne veut que le laisser parler, ne veut que montrer cette flamme ardente qui jaillit dans le désert et dans la nuit de notre temps.
Centenaire de la mort de Ch. de Foucauld, phare de la spiritualité chrétienne.
La correspondance entre Charles de Foucauld et l'Abbé Huvelin s'étale sur vingt ans, de 1890 à 1910, année de la mort de l'Abbé Huvelin. II s'agit d'un échange très riche entre une des plus grandes figures spirituelles de la fin du XIXe siècle-début du XXe et son directeur spirituel. On sait que l'Abbé Huvelin a joué un rôle déterminant dans la conversion de Charles de Foucauld et que celui-ci l'a toujours considéré comme un père spirituel au sens le plus fort du terme.Quand le jeune Foucauld rencontre l'Abbé Huvelin, ce dernier, qui vient d'avoir 48 ans, est en pleine maturité. Intellectuel de grande envergure, historien de renom, il est encore plus connu pour sa bonté et sa capacité à pénétrer au plus profond de l'âme humaine avec délicatesse. C'est à son contact que Charles de Foucauld va progressivement découvrir sa vocation. Quand débute la correspondance publiée dans cet ouvrage, Foucauld est à la Trappe de Notre-Dame du Sacré-Coeur en Syrie. Quand elle s'achèvera, Foucauld sera à Tamanrasset, au Sahara.La présentation et la mise en texte de Brigitte Cuisinier et Jean-François Six qui avait retrouvé, il y a cinquante-cinq ans, les lettres de Foucauld à Huvelin que l'on croyait perdues et qui mène, depuis, des recherches approfondies à son sujet, nous permettent de mieux suivre la façon dont se constitue, dans le temps et en fonction de certains éléments pas toujours explicites dans les lettres, la personnalité exceptionnelle du Bienheureux Charles.C'est grâce aux Pères Blancs et à la famille du Comte Romuald de Richemont qu'avait pu être recueillie cette correspondance pour l'édition de 1957 chez Desclée & C. C'est avec l'autorisation des responsables actuels de la Postulation de Charles de Foucauld et de la famille de Richemont que cette correspondance peut être à nouveau rendue disponible. L'année 2010 marque le centième anniversaire de la mort de l'Abbé Huvelin (10 juillet).
En 2016 s'est tenu le centenaire de la mort de Charles de Foucauld, assassiné en 1916 dans le désert du Sahara. Pendant un an, des expositions ont eu lieu, des livres ont été publiés, dont la presse s'est fait l'écho. Ce livre est la chronique de ce centenaire. Pendant cette année d'anniversaire, J.-F. Six a recueilli tout ce qui a été dit et fait à propos de Charles. Son constat est sans appel : cent après sa mort, le frère universel reste largement méconnu, victime d'un amoncellement de légendes, d'idées-reçues, de mythes, de falsifications.
Adressé au pape François, si proche par ses paroles, ses actes et son sens évangélique du « dehors » des intuitions de Charles, ce livre se présente comme un plaidoyer pour Foucauld, le vrai Foucauld. Ce n'est pas une plainte triste, un réquisitoire amer, mais un ouvrage pétri de l'espérance joyeuse que le coeur, aujourd'hui occulté, du message de Foucauld sera peu à peu découvert et manifesté. D'une plume vive, libérée du souci d'érudition, l'auteur nous révèle le vrai visage de Charles. Ce chantre de la fraternité, précurseur des Gandhi, Luther King ou Mandela qui n'était pas le saint de vitrail, enfoui dans le silence, confit en piété, que la légende a décrit, mais l'homme de la rencontre au ras du sol, au quotidien. Et le prophète d'une évangélisation nouvelle : non pas convertir et dogmatiser d'en haut, mais écouter d'abord, partager la condition humaine à travers l'amitié, la bonté, la conversation quotidiennes. Et annoncer Jésus de Nazareth par sa vie, en devenant un évangile vivant.
Depuis 1958 et la publication de son itinéraire spirituel de charles de foucauld, jean-françois six n'a cessé de scruter la vie et les écrits de ce prophète pour aujourd'hui qu'est le père de foucauld.
Cent cinquante ans après la mort de celui-ci, il ose ce livre choc qui étonnera tant il rompt avec les interprétations habituelles de son message. jean-françois six affine ici le profil de l'homme : une enfance en résilience, une jeunesse passionnante, une vocation d'explorateur puis la nouvelle étape de la conversion. ordonné prêtre, foucauld va devenir simplement, au sahara, en vrai mystique, compagnon quotidien de jésus de nazareth, et frère de chacun de ceux qu'il rencontre dans le désert, un frère plein de joie qui a retrouvé et épanoui son extraordinaire sens des autres.
Une joie au coeur de son message spirituel, jusqu'à ce jour de 1916 oú il sera abattu.
Voici le testament ignoré de Charles de Foucauld. Alors que la dernière décennie de sa vie fut pleine d'intuitions révolutionnaires pour une évangélisation d'avant-garde, cet héritage a été oublié et submergé par la forte vague issue de la Règle de 1899. Une vague d'institutions ecclésiastiques, de grande valeur certes, mais dont on a pensé, et qui ont assez souvent cru ellesmêmes, qu'elles représentaient toute la pensée et toute la postérité de ce prophète.
Jean-François Six montre ici que la grande préoccupation du père de Foucauld à la fin de sa vie fut le développement d'une Confrérie, « l'Union », qu'il avait fondée avec son évêque en 1909, union des « défricheurs évangéliques », prêtres et laïcs, partant à la rencontre des « frères de Jésus qui L'ignorent ».
Cette Union lui tenait si particulièrement à coeur qu'il comptait rentrer en France « le temps qu'il faudra », pour l'établir. Après son assassinat en 1916, l'Union a été continuée par Louis Massignon qui, à sa mort, l'a remise entre les mains de Jean-François Six, prêtre de la Mission de France.
À l'occasion des cent ans de sa mort, Jean-François Six nous livre un autre Foucauld, rendu à sa sainteté missionnaire.
Jean-François Six propose ici une traduction, puis une application actuelle de ce livre de la Bible, célèbre entre tous : le Cantique des Cantiques. Mystiques, poètes, écrivains - comme aussi les amoureux de tous les temps - n'ont cessé de reprendre ce texte à leur compte. Car cette parole de l'amour à l'amour est éternelle. Elle dit le plus profond du désir et du plaisir de l'âme humaine.
Le centenaire de Thérèse a vu éclater un certain nombre de différends sur sa vie et ses écrits. J.-F. Six et R. Laurentin s'étaient opposés publiquement dans Paris-Match et ailleurs. Ils n'ont pas voulu en rester là.
Hommes de dialogue, persuadés qu'une confrontation vaut mieux que la polémique et que la lumière de Thérèse porte en elle les chances de toutes les conciliations, les deux auteurs se sont rencontrés devant un magnétophone les 4-6 juillet et le 24 août 1973. Ils ont confronté leurs perspectives sur les questions controversées : le père et la mère de Thérèse, son milieu, le substrat psychanalytique, l'édition des Derniers Entretiens, la nuit de la foi de Thérèse, son actualité, etc. Ils ont tenté de faire converger leurs lumières sans faire cadrer leurs perspectives, d'élargir le débat plutôt que de l'étriquer. Le résultat est extraordinairement positif. La physionomie de Thérèse prend un nouveau relief.
Ce dialogue est un bilan des travaux du centenaire et une prospective des recherches en cours : ce qui reste de documents à dévoiler, à éditer ; ce que l'éclairage interdisciplinaire des diverses méthodes scientifiques peut encore apporter ; l'actualité de Thérèse et ce que réserve encore son mystère. Les questions disputées se trouvent réglées parce qu'elles sont éclairées et situées. En terminant, J.-F. Six et R. Laurentin ont pu se poser mutuellement la question : Pour vous, comme homme de foi, qui est Thérèse ? Que représente-t-elle ?
Ce livre tonique est à la fois un bilan et un programme au plan de la recherche et de la vie personnelle. Il atteste la fécondité des conflits bien surmontés, et surtout les dimensions méconnues de Thérèse de Lisieux qui reste une source pour notre temps.
Jean-François Six.
Responsable national du Service Incroyance/Foi, consulteur, à Rome, au Secrétariat pour les non-croyants, docteur ès lettres et docteur en théologie, professeur à l'Institut catholique de Paris.
S'est attaché à étudier d'un côté l'athéisme contemporain et de l'autre les mystiques contemporains : Charles de Foucauld, Antoine Chevrier, par exemple. C'est dans ce projet d'ensemble que se place son étude en deux volumes sur La véritable enfance de Thérèse de Lisieux et Thérèse de Lisieux au Carmel (Seuil, 1972 et 1973) ; J.-F. Six s'est attaché à montrer quelle révolution spirituelle radicale Thérèse de Lisieux accomplit par rapport à la mystique de son époque et à quel point cette sainte a saisi par avance, avec un sens prophétique extraordinaire, ce que Paul VI a appelé le problème le plus grave de notre époque : l'incroyance.
René Laurentin.
Professeur à l'Université catholique d'Angers. Auteur de Thérèse de Lisieux. Mythes et réalité (Beauchesne).
Sa thèse de doctorat ès lettres et ses travaux d'avant le Concile ont élargi les horizons de la « mariologie » préconciliaire, pour faire resurgir le vrai visage de la Vierge Marie, à sa place dans l'histoire du Salut et dans la Communion des saints. A étendu le champ de ses travaux, à l'occasion du Concile, où il fut consulteur des Commissions préparatoires, puis expert de Vatican II. A mené de front ce travail dans l'actualité de l'Église, comme théologien et journaliste, avec des travaux de fond, notamment sur Lourdes et Bernadette (22 volumes, dont 12 au plan scientifique). Thérèse de Lisieux, qui était depuis longtemps dans sa vie une référence de premier plan, est restée présente à l'horizon de ses travaux. Ceux-ci n'ont cessé de confirmer sa conviction que l'Esprit a fait resurgir en Bernadette et Thérèse un modèle de sainteté purement évangélique, nécessaire aux temps nouveaux.
Pourquoi est-il aujourd'hui tant question de médiateurs et de médiation, dans la vie publique comme dans la vie privée, dans le cadre de la famille, du quartier, de l'entreprise, dans les rapports entre etats ?
Si la médiation a toujours existé, son besoin se fait plus fortement sentir avec la multiplication des difficultés et des conflits, des tensions individuelles et sociales.
C'est que, malgré leur constant développement, les moyens de communication suscitent paradoxalement l'angoisse face à l'autre, le repli sur soi, la prolifération des intégrismes, une non-communication.
Intervenant sur tous les plans des relations entre les hommes, la médiation constitue une véritable innovation sociale et politique dans la mesure où sont clairement définis son objet et les conditions dans lesquelles elle peut valablement s'exercer : ne se confondant ni avec la négociation ni avec la résolution des conflits, elle doit se fonder sur l'écoute, la compréhension, la volonté d'établir un lien.
La médiation se présente aujourd'hui comme un lieu d'espoir.
Force de kafka. politique de kafka. déjà les lettres d'amour sont une politique où kafka se vit lui-même comme un vampire. les nouvelles ou les récits tracent des devenirs-animaux qui sont autant de lignes de fuite actives. les romans, illimités plutôt qu'inachevés, opèrent un démontage des grandes machines sociales présentes et a venir.
Au moment même où il les brandit, et s'en sert comme d'un paravent, kafka ne croit guère à la loi, à la culpabilité, à l'angoisse.
à l'intériorité. ni aux symboles, aux métaphores ou aux allégories. i' ne croit qu'à des architectures et à des agencements dessinés par toutes les formes de désir. ses lignes de fuite ne sont jamais un refuge, une sortie hors du monde. c'est au contraire un moyen de détecter ce qui se prépare, et de devancer les " puissances diaboliques " du proche avenir. kafka aime à se définir linguistiquement. politiquement, collectivement, dans les termes d'une littérature dite " mineure ".
Mais la littérature mineure est l'élément de toute révolution dans les grandes littératures.
"j'hab' e maintenant un pays où la terre est maigre et le squelette appa nt. quelques paysans réfractaires s'y dessèchent et gèlent sur pied; moi-même j'y fais le sphinx et la momie. " né en 1946, alain chany publie à vingt-six ans son premier roman, l'ordre de dispersion. puis il part en auvergne pour y faire le paysan pendant vingt ans.
Les textes qui composent ce recueil ne sont rien moins que bucoliques. ils procèdent d'une certaine solitude spirituelle, alliée à un solide appétit pour des nourritures et des breuvages plus terrestres, et à un net penchant pour la révolte.
Plutôt que de réflexion ou de sensibilité, il faudrait parler d'?émotion de pensée" pour définir cette écriture, toujours à la lisière de la rêverie et du souvenir, qui ne cesse d'interroger le présent.
Un peintre, un enfant, un immigré, une jeune fille, un blaireau sont les figures qui animent cette conversation, dont le ton varie de l'intimité tendre à la plus extrême férocité.
A propos de l'ordre de dispersion:
"on pense à giraudoux pour l'invention cocasse, à eluard pour les envolées poétiques, à lichtenberg pour le sourire en coin. voilà un écrivain sur qui on peut comptera dominique fernandez "on ferme le livre, les yeux encore clignotants de dialogues-minute, de maximes tranchantes, de morceaux de bravoure coupés nets, d'évidences lyriques.
L'ensemble annonce une vraie nature d'écrivain, un flambeur, un pétroleur. " jacques-pierre amette.
Médiation, médiateurs...., des termes qui font tilt, qui sont sans cesse utilisés : ils expriment une recherche, un besoin réel de notre temps. Cinq ans après Le Temps des Médiateurs , jeanFrançois Six fait le point sur la médiation, les différents secteurs où elle s'exerce (famille, école, entreprise, justice, ville, services publics ...). Il précise le statut et-la fonction du médiateur, son identité, son éthique et la formation nécessaire. Et voici, dans cinq ans, le troisième millénaire, 3 , le chiffre, le signe de la médiation. Après le deuxième millénaire, tellement binaire avec ses manichéismes, ses volontés de réduction, allons-nous connaître, non pas un âge d'or primaire, totalitaire et tout fusionnel, mais une ère où le ternaire pourra exister, avec les brèches qu'il ne cesse de faire dans les simplismes et les murs séparateurs, avec les passerelles qu'il ne cesse de jeter entre les êtres, les groupes, les peuples ? Si oui, la médiation aura un avenir. Et sera alors pleinement à l'oeuvre toute la dynamique de la médiation.
2 janvier 1896 : Thérèse a vingt-trois ans.
Dans la nuit du jeudi au vendredi saint, elle connaît une première hémoptysie, signe qu'elle est tuberculeuse; elle en avertit aussitôt sa prieure, mère Marie de Gonzague, qui vient de remplacer mère Agnès à cette charge. Thérèse accueille cette épreuve dans la lumière de la foi où elle est et dans la joie. Mais à Pâques (5 avril 1896), elle entre dans les "ténèbres", ne connaît plus aucune foi sensible; elle doit même s'affronter à la "nuit du néant".
Cet état spirituel va durer jusqu'à sa mort (30 septembre 1897) - dix-huit mois où elle lutte contre sa maladie et face aux "ténèbres" avec un immense courage, sans rien montrer au-dehors, menant une vie simple et toute fraternelle avec les carmélites de son couvent. Ultime étape, admirable. Les textes les plus importants de Thérèse datent de cette époque : la lettre à sa soeur Marie (Manuscrit B); les lettres clés à ses deux frères spirituels; le récit à la fois de sa "nuit" et de sa réponse d'extrêmes "confiance et amour", écrit trois mois avant sa mort pour mère Marie de Gonzague - qui comprend l'épreuve et la grâce de ces derniers mois (Manuscrit C).
On suit ici, jour par jour, le chemin d'une Thérèse adulte, et la grandeur de sa spiritualité révolutionnaire, faite d'un total abandon au Dieu Trinitaire. Ceci dans l'existence quotidienne, à travers les plus simples événements. Un sommet de vie spirituelle.
En 1997, pour le centenaire de sa mort, la sainte sans doute la plus populaire et la plus aimée du XX siècle a connu son apothéose - elle a été proclamée "docteur de l'Eglise", rejoignant ainsi la cohorte des plus grands.
Mais quelle fut donc sa "doctrine" ? Elle n'a jamais employé ce mot. Pas plus qu'elle n'a parlé de "l'enfance spirituelle" et qu'elle ne justifie les images infantiles et la mièvrerie dont on l'a accablée, à commencer par ses plus proches. Que de scories, de surcharges, mais aussi d'oublis à son sujet depuis un siècle !
C'est pourquoi, dans ce livre très neuf, Jean-François Six a voulu refaire minutieusement le parcours complet du combat spirituel de Thérèse.
Et, très vite, on s'aperçoit qu'on a affaire à une forte personnalité religieuse et humaine, une personnalité créatrice, qui transforme ou remodèle les traditions héritées, s'abandonne progressivement à l'amour et non plus à la crainte, entre dans une prodigieuse intelligence de la vie trinitaire de Dieu, manifeste une liberté spirituelle inouïe au sein d'un milieu confiné dans la dévotion doloriste.
La "Voie" de Thérèse, ce n'est pas "l'enfance spirituelle", mais la présence de l'Amour Trinitaire le plus grand au coeur de ce qui est petit, éprouvé, abandonné.