« Ces pages feront beaucoup de bien. On connaîtra mieux ensuite la douceur du bon Dieu ».
Personne ne reste indifférent à la lecture de sainte Thérèse. Docteur de l'Église, Patronne des missions, sainte parmi les plus populaires, Thérèse de l'Enfant Jésus est d'abord une humble carmélite qui a soif de Dieu. C'est cette quête spirituelle, avec les plus beaux élans du coeur, les plus grands désirs de sainteté mais aussi ses combats intérieurs qu'Histoire d'une âme révèle.
Voici le texte authentique de ces trois écrits autobiographiques qui nous emmènent sur la petite voie sanctifiante de l'amour. Un best-seller de spiritualité qui fait du bien à l'âme.
Les plus belles prières de sainte Thérèse de Lisieux, dans un format idéal pour prier toujours et partout !
Comment souffre, aime et meurt une sainte.
Dans la nuit de souffrance que furent ses longs mois de maladie, la petite Thérèse a révélé au monde la grandeur de sa foi et de son désir du Ciel. Au Carmel, ses dernières paroles ont été précieusement recueillies et forment aujourd'hui un magnifique testament, brûlant d'amour. Il dévoile le visage d'une sainte de 24 ans, héroïque, amoureuse de Dieu, qui s'abandonne à sa volonté, et dont le message plein de réalisme et d'optimisme est capable d'entraîner ceux qui souffrent, mais aussi, simplement, ceux qui vivent.
Le plus édifiant des livres d'espérance.
Thérèse de l'Enfant Jésus ou Thérèse de Lisieux (1873-1897) est l'une des saintes les plus populaires dans l'Église catholique et au-delà. Entrée au Carmel de Lisieux à quinze ans, morte à vingt-quatre ans, elle a laissé trois écrits autobiographiques. Ils furent, publiés de manière posthume, quelque peu tronqués et refondus en un tout, sous le titre Histoire d'une âme. Ce livre connut d'emblée un succès immense, car il peignait de l'intérieur cette « enfance spirituelle » que le Christ évoque dans l'Évangile et qu'il est impossible d'inventer sans la vivre.
Les Manuscrits autobiographiques, parus en 1957, restituent le texte original des trois écrits laissés par Thérèse. Elle y apparaît avec sa spontanéité, sa sensibilité, un ton inimitable et même une sorte de fantaisie. Mais on y trouve aussi l'épreuve des ténèbres qu'elle dut traverser dans les derniers mois de sa vie - et qui disent la véritable dimension de son « combat » spirituel.
Thérèse de Lisieux ou Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897) est l'une des saintes les plus populaires dans l'Église catholique et au-delà. Elle a laissé trois manuscrits autobiographiques qui ont connu un succès immense.
Lire Thérèse, c'est écouter un être qui s'abandonne au dénuement et se laisse ballotter vers cette sainteté qui rend l'être poreux au monde. La vie en communauté, les défaillances de la foi, la maladie qui ronge : elle traverse les épreuves comme un petit chevalier qui s'arme de l'enfance et s'en tient à sa « petite voie » pour franchir les reliefs imprévisibles du royaume intérieur.
Le radicalisme tranquille de sa confiance fait presque peur ; elle n'a l'air de rien mais elle arpente vaillamment cette frontière où l'homme s'approche au plus près de l'humain et de la compassion.
Plutôt qu'à un modèle, le parcours de cette jeune femme renvoie, au-delà de la croyance et des dogmes, à ce cheminement aux confins de notre singularité vers l'autre.
Choix de textes par Patrick Autréaux.
« Ce que je relis dans ce cahier, c'est si bien mon âme !... Ma Mère, ces pages feront beaucoup de bien. On connaîtra mieux ensuite la douceur du bon Dieu... » Voilà comment Thérèse de Lisieux, deux mois avant de mourir au Carmel, à vingt-quatre ans, parlait de l'Histoire d'une âme.
Ces pages, les voici dans la transparence du texte authentique, sans nulle retouche. Elles constituent la meilleure biographie de sainte Thérèse avec, en prologue et en épilogue, l'évocation de sa véritable enfance, le récit de sa mort et ses dernières paroles.
Comme Thérèse le pressentait, c'est à l'expérience vécue de la tendresse de Dieu qu'est convié chaque lecteur de l'Histoire d'une âme.
La figure, l'expérience et la spiritualité de Thérèse de Lisieux, déclarée docteur de l'Église par Jean-Paul II, ont parcouru le monde, où elle a semé les pensées toutes simples et profondes qui habitaient son coeur. Dans cette anthologie, nous avons recueilli le suc de ses écrits. Les trois petits volumes (« Une tendresse ineffable, Pensées I », « Aimer jusqu'à mourir d'amour, Pensées II », « Les Yeux et le Coeur, Pensées III ») forment une synthèse de son message et une aide pour la prière.
« Ce que je relis dans ce cahier, c'est si bien mon âme !... Ma Mère, ces pages feront beaucoup de bien. On connaîtra mieux ensuite la douceur du bon Dieu... » (Sainte Thérèse) Edition des manuscrits autobiographiques de sainte Thérèse qui révèlent sa confiance et son amour envers Dieu. En racontant sa vie, Thérèse de Lisieux développe de manière simple une véritable théologie, qu'on appellera celle de la « petite voie ».
Découvrez Pensées - Tome 2, Aimer jusqu'à mourir d'amour. Edition en gros caractères, le livre de Thérèse de Lisieux. La figure, l'expérience et la spiritualité de Thérèse de Lisieux, déclarée docteur de l'Eglise par Jean-Paul II, ont parcouru le monde, où elle a semé les pensées toutes simples et profondes qui habitaient son coeur. Dans cette anthologie, nous avons recueilli le suc de ses écrits. Ces trois volumes : Une tendresse ineffable, Pensées 1 ; Aimer jusqu'à mourir d'amour, Pensées 2 ; Les yeux et le coeur, Pensées 3 forment une synthèse de son message et une aide pour la prière.
Ce volume propose une réactualisation de l'Édition courante augmentée des Manuscrits autobiographiques (texte critique de la Nouvelle Édition du Centenaire). Il comprend donc outre ces derniers, les Lettres, les Poésies, les Récréations pieuses, les Prières, les Derniers entretiens et les Appendices.
Les notes, peu importantes, sont situées en fin de volume.
Le 2 janvier 1895 : Thérèse a vingt-deux ans.
Voici bientôt sept ans qu'elle se trouve au carmel; la maladie du scrupule, durant tout ce temps, n'a guère cessé; ni les humiliations. 1895 : dans ces douze mois, Thérèse va écrire ce que sa prieure, mère Agnès (sa grande soeur Pauline) lui a ordonné de relater : ses souvenirs d'enfance; elle est aidée, dans cette autobiographie familiale, par sa soeur Céline qui vient d'entrer au carmel. Le texte (appelé ensuite Manuscrit A) la fait revenir sur les événements, souvent douloureux, qui ont jalonné ses premières années mais aussi sur les jours heureux.
Elle insiste plutôt - et elle aime manifestement les raconter - sur le "vert paradis" de ces jours et sur les "Miséricordes du Seigneur". Dans une dernière partie, elle revient sur les années de sa vie qui viennent de se dérouler au carmel et comment, peu à peu, elle est entrée dans la voie de "la confiance et de l'amour". Elle termine, fin 1895, par deux pages bouleversantes où elle parle de l'événement spirituel majeur de cette année 1895 : le dimanche de la Trinité, 9 juin, face à la spiritualité jansénisante et morbide qui incitait à s'offrir en victime à la "Justice divine", elle a l'intuition capitale qu'il s'agit de s'offrir à Dieu comme Amour, à Dieu qui "désire être aimé" : "Offrande de moi-même à l'Amour", dit-elle pour définir l'acte posé ce jour-là.
L'année 1895 est toute illuminée par le soleil de la foi et toute traversée par le "Feu de l'Amour". Thérèse est prête, désormais, à affronter l'épreuve de Pâques 1896, l'entrée dans la nuit, prête à livrer l'ultime combat qu'elle va mener jusqu'à sa mort.
« Ce que je relis dans ce cahier, c'est si bien mon âme !... Ma Mère, ces pages feront beaucoup de bien. On connaîtra mieux ensuite la douceur du bon Dieu... » (Sainte Thérèse) L'édition des manuscrits autobiographiques de sainte Thérèse de Lisieux révèlent sa confiance et son amour envers Dieu. Histoire d'une âme est un livre combinant ses divers récits autobiographiques. L'ouvrage a rapidement connu un très grand succès populaire. En racontant sa vie de manière humble et accessible au plus grand nombre, Thérèse de Lisieux développe de manière simple une véritable méthode théologique, qu'on appellera celle de la petite voie . Ce livre fut considéré par les fervents comme un instrument de conversion et de guérisons diverses dans le monde entier. C'est cet ouvrage qui pousse encore aujourd'hui les pèlerins à venir prier la petite sainte , sur sa tombe au cimetière de Lisieux.
Pendant ses derniers mois, les soeurs de Thérèse se sont relayées à son chevet pour noter tout ce qu'elle disait et faisait, composant un texte qui nous permet d'accompagner Thérèse dans sa dernière montée. Elle nous livre son ultime enseignement sur l'amour, la souffrance, la bonté de Dieu, dans des paroles courtes et bouleversantes. « Ne croyez pas que lorsque je serai au ciel, je vous ferai tomber des alouettes rôties dans le bec... Vous aurez peut-être de grandes épreuves, mais je vous enverrai des lumières qui vous les feront apprécier et aimer. Vous serez obligées de dire comme moi : Seigneur, vous nous comblez de joie par tout ce que vous faites. »
En 1898, paraissait un petit ouvrage, voué à une diffusion confidentielle, et écrit par une carmélite morte un an plus tôt, à l'âge de 24 ans. Aujourd'hui, la célèbre Histoire d'une âme (ou Manuscrits autobiographiques), traduite en de nombreuses langues, a été diffusée à des millions d'exemplaires. Et le pape saint Pie X n'hésitait pas à appeler Thérèse de Lisieux la plus grande sainte des temps modernes .
Voici enfin dans une édition maniable, avec un texte maintenant complet et irréprochable, l'ensemble des lettres de Thérèse de Lisieux, "précieux trésor", complément de son histoire d'une âme, ainsi que l'écrivait son frère spirituel, l'abbé Bellière.
Une "course de géant"' s'inscrit dans ces pages vingt ans à peine séparent le billet malhabile d'une petite fille des lettres riches d'abandon pathétique et d'une prodigieuse hauteur spirituelle qu'elle écrit l'année de sa mort. Nous cherchons partout, et parfois très loin, des maîtres spirituels. En voici un, tout proche, humble et audacieux, doux et fort, tendre et pressant, vrai, fraternel. Un guide souriant qui peut nous prendre par la main après avoir lui-même parcouru la petite Voie.
Thérèse de Lisieux est née en 1873, elle est morte à l'âge de 24 ans. Elle nous a laissé des messages d'amour et de sagesse d'une rare maturité. La simplicité et la pureté de ses écrits ont traversé les générations, sa poésie est toujours dans l'air du temps et résonne de vérité dans nos coeurs.
Voici, pour la première fois dans un ordre chronologique, tous les textes - et les seuls textes - de Thérèse de Lisieux. Ce premier volume présente ses écrits depuis son entrée au carmel (9 avril 1888) jusqu'à Noël 1894. Les six premières années de Thérèse au carmel ne sont pas semées de roses, tout au contraire : ce sont des années d'humiliations. Humiliations venant du supérieur ecclésiastique, demeuré fort réticent à l'entrée de cette jeune fille de quinze ans au carmel. Humiliations venant de carmélites qui ont la même réticence, et qui, par ailleurs, ne lui font pas de cadeau : elle est assez maladroite de ses mains, on le lui fait remarquer dans les travaux de tous les jours - ce qu'elle appelle les piqures d'épingles . Mais la grande humiliation, c'est, en février 1889, l'internement de son père et les rumeurs qui, à Lisieux et au carmel, rendent les filles Martin responsables de cet état ; M. Martin mourra le 29 juillet 1894. Ces six années sont, en même temps, sur le plan spirituel, des années de tourment : Thérèse n'est pas du tout guérie de la maladie du scrupule qui ne cesse pas de l'assaillir, on le verra à travers les confidences exprimées dans ses lettres. Thérèse de Lisieux, elle-même par elle-même, dans sa vérité, dans ses souffrances et ses combats, dans son immense courage.