Un best-seller toujours aussi efficace. Revu et augmenté ! La première édition avait conquis 25 000 lecteurs. Le chrétien ne peut pas échapper aux attaques plus ou moins intenses du démon dans sa vie spirituelle. Mais qu'il ne se décourage pas ! Le combat est réel mais on peut en sortir victorieux. pour sortir victorieux du combat spirituel À condition d'avoir recours aux bonnes armes, celles de l'humilité, de la prière, de la Bible, de la persévérance. En filant la métaphore guerrière, l'auteur détaille toute la panoplie que l'Esprit Saint met à notre disposition, et cite les grands vainqueurs de Satan : saint Paul, sainte Thérèse de Lisieux, le saint Curé d'Ars, Marthe Robin, Padre Pio... Gagner le combat spirituel de Pierre DescouvemontPublish at Calameo A propos de Pierre Descouvemont Prêtre du diocèse de Cambrai, docteur en théologie, le père Pierre Descouvemont est un prédicateur de renom. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur la vie spirituelle et les saints. www.peredescouvemont.fr Gagner le combat spirituelPublish at Calameo
En venant sur terre, le Fils bien-aimé du Père nous a révélé que nous étions tous les enfants chéris de son Père. Il pense à chacun de nous de toute éternité. Avant le surgissement des Alpes, avant même la formation de notre galaxie, Il nous portait dans son coeur. Il nous a créés pour que nous devenions des chefs-d'oeuvre originaux dans son Royaume.
Quelles que soient les circonstances heureuses ou dramatiques de notre conception, de notre naissance, de notre éducation, Dieu a voulu notre existence.
Même si nous sommes parfois tentés de penser le contraire, Il aime tous ses enfants d'un amour particulier. Il n'y a pas de mal-aimés dans sa famille.
Voici donc un texte pour s'émerveiller dans le détail de cette grandeur de l'homme et de ses facultés.
Beauté et dignité de son visage, de ses talents, de son activité voulus par Dieu depuis toujours.
«Tout est grâce», disait la petite Thérèse. Il faut prendre «tout en gré», répétait Jeanne d'Arc à ses troupes. Plus récemment, Madeleine Delbrêl, cette assistante sociale d'Ivry - une vraie «battante» - aimait dire que nous devrions nous agenouiller devant chacune de nos journées, car Dieu l'a préparée avec amour de toute éternité. Oui, tous les saints de notre histoire ont eu l'audace de croire à ce mystère inouï de la Providence que Dieu exerce sur le déroulement de nos vies. Cette foi était la source de la sérénité qu'ils conservaient au milieu de leurs épreuves et de leurs combats. Ce mystère est très contesté de nos jours. Beaucoup de chrétiens estiment aujourd'hui qu'il faudrait réviser notre façon de parler et de lire les événements. Après Auschwitz, il ne faudrait plus dire que Dieu est le «Père tout-puissant», le «Maître des temps et de l'histoire», comme nous le chantons encore dans la liturgie. L'enseignement de l'Église n'a pourtant pas changé. S'appuyant sur la Parole très explicite de la Bible à ce sujet, le Catéchisme de l'Église catholique rappelle que, tout en participant à la colère de Dieu contre les injustices qui abîment trop souvent nos frères et contre lesquelles nous devons nous battre, nous devons aussi nous abandonner avec confiance aux bons vouloirs du Père, même lorsqu'ils nous déroutent. C'est ce que Jésus Lui-même a fait à Gethsémani : «Père, que Ta Volonté soit faite et non la mienne !» Comme l'affirme saint Paul avec force, «Dieu fait tout concourir» au bien de ses enfants (Rm 8, 28). Eugène Saladin pour www.librairiecatholique.com Le Père Descouvemont, prêtre du diocèse de Cambrai et docteur en théologie, prêche de nombreuses retraites et anime une école de prière. Il a été conseiller national des Equipes Notre-Dame de 1991 à 1998 et a publié de nombreux ouvrages, notamment : Guide des difficultés de la foi catholique, Guide des chemins de la prière, Gagner le combat spirituel Pendant des siècles, les chrétiens affirmaient que Dieu menait le monde. Cette notion d'un Dieu meneur de jeu est maintenant dépassée sous prétexte qu'Il laisse à l'homme sa pleine liberté. Le Christ lui-même n'a-t-il pas laissé au Samaritain de l'Evangile le soin de s'occuper de l'homme victime des brigands ? Dans un style direct et simple, le père Descouvemont invite le lecteur à réfléchir sur la divine Providence. L'auteur évoque l'enseignement de Jean-Paul II : les témoignages d'une longue lignée de nombreux saints de notre histoire nourrissent son abandon à la miséricorde du Seigneur et lui procurent la grande consolation de son existence. A titre d'exemple, que de trésors contiennent les lumineuses citations sur l'abandon au « bon plaisir de Dieu » avec : - la douce tranquillité d'un enfant dans les bras de sa mère, François de Sales bénit « la douceur et la bonté divines en elles-mêmes, quels que soient les évènements qui surviennent » - le « prendre tout en joie » de Jeanne d'Arc qui avait été l'idéal de Thérèse de Lisieux dès son enfance car « il faut guerroyer avant que Dieu donne la victoire » - le « je m'abandonne à Toi » de Charles de Foucauld - le « O Jésus, tourne et retourne moi car je m'abandonne tout à Toi » d'Elisabeth de la Trinité Certes, L'Evangile nous révèle un Dieu qui se tait, mais Il fait tout concourir à notre bien. Malgré les apparences, c'est bel et bien Dieu qui dirige le cours des évènements à la façon d'un chef d'orchestre dirigeant une partition composée par lui-même avec des artistes qui ne cessent de faire des fausses notes, mais qui n'en exécutent pas moins une symphonie splendide dont la beauté n'apparaîtra que dans l'éternité. Ainsi l'homme est l'exécuteur des desseins de Dieu. En ne se soumettant pas comme une statue dans les mains du sculpteur, estime Jean de la Croix « tu ne surmonteras jamais ta sensualité et tes répugnances, tu ne sauras pas te conduire comme il convient avec tes frères, tu n'obtiendras point la sainte paix, tu n'éviteras pas beaucoup de maux et d'inconvénients ». Ce message « incroyable mais vrai » reste au coeur de la bonne nouvelle.
Tout en exaltant son inlassable miséricorde, la Bible ne cesse de proclamer que Dieu est juste.
Nous-mêmes, partagés entre la confiance et la crainte, nous nous demandons souvent comment en Dieu se concilient la miséricorde et la justice. Sait-on d'ailleurs que soeur Faustine, grande apôtre de la Miséricorde, n'a pas négligé de s'offrir à la justice de Dieu pour réparer les fautes des pécheurs afin d'appeler sur eux les flots de l'amour divin ?
L'auteur explore les multiples facettes du problème.
Après avoir repéré les fausses interprétations qu'on a trop souvent données de la justice divine, son ouvrage présente toutes les manifestations de cet admirable attribut de Dieu. Le Père nous aime tellement qu'il nous fait l'honneur de lui offrir par le Christ une juste réparation de nos manques d'amour. Il désire que nous devenions - pour sa joie - des êtres justes devant lui.
Nous sortons de la lecture plus confiants en la miséricorde du Père et d'autant plus capables de nous préparer au juste jugement qui, à l'heure de notre mort, décidera de notre sort éternel.
Dans la préface, le cardinal Roger Etchegaray ouvre le propos par une méditation sur le pardon donné par Jean-Paul II à son agresseur, véritable «baiser de la miséricorde à la justice».
Aux dires du P. Guillaume de Menthière, Le P. Descouvemont se révèle une fois de plus «dans le fond comme dans la forme de son enseignement, un théologien de l'équilibre».
Inspirée de la parabole de l'enfant prodigue, cette lettre donne des conseils simples pour lutter contre les tentations de découragement et de culpabilité que peuvent rencontrer de nouveaux convertis.
Dieu peut-il être heureux quand hommes, femmes et enfants sont frappés par le malheur ? Reste-t-il de marbre lorsque Il voit son Fils bien-aimé torturé sur une croix ? Bien sûr que non ! Les chrétiens n'ont jamais pensé que Dieu était un Jupiter qui, dans la béatitude de son Olympe, était insensible au bonheur des humains.
Mais la contemplation du Crucifié ne les a jamais empêchés de s'émerveiller du bonheur infini de Dieu. Le Père de Foucauld passait des heures à redire au Seigneur que sa joie était de le savoir heureux. Or, voici qu'aujourd'hui des théologiens estiment qu'il faut avoir le courage de changer radicalement notre idée de Dieu. Il aurait fait le monde comme les océans font les continents : en se retirant.
Il ne serait pas le Dieu tout-puissant, Maître des temps et de l'histoire, qu'on a cru trop longtemps. Ce serait un Dieu " fragile ", qui souffrirait " impuissant " devant le malheur des hommes. Voilà le Dieu qu'il faudrait annoncer si l'on voulait avoir quelque chance d'être entendu. Dieu serait " la première victime du mal ". Aussi séduisante qu'elle soit, cette hypothèse moderne d'un Dieu qui, par amour, aurait renoncé à son bonheur, n'est pas juste.
Préfacé par le cardinal Cottier - qui fut pendant quinze ans le théologien personnel de Jean-Paul II -, cet ouvrage indique les raisons pour lesquelles nous pouvons continuer à penser que l'immense compassion que Dieu éprouve à notre égard ne l'empêche pas d'être infiniment heureux. Une vérité essentielle à la Bonne Nouvelle que nous avons à vivre et à proclamer.