« Venez, et voyez Fontgombault. Oh, il ne se passera rien de spectaculaire. Mais nos coeurs se réchaufferont. Une petite grâce mystérieuse soufflera. Nous regarderons la lumière traverser l'abbatiale et nous entendrons les notes grégoriennes s'élever dans les hauteurs mystiques. Nous resterons silencieux. Et nous verrons le beau, le merveilleux, le doux sourire des moines. » C'est par ces mots que Nicolas Diat ouvre Le Grand Bonheur, invitation à la joie et à nous faire découvrir la vie des moines, pour nous aider à comprendre la paix qui les habite. Nous pénétrons ainsi dans un monde intemporel et suivons les bénédictins d'un monastère perdu du Bas-Berry le temps d'une année. Ces existences confinées, que l'on pourrait imaginer monotones, sont en réalité extraordinairement riches. Transportés à Fontgombault par la plume évocatrice de Nicolas Diat, nous ne serons plus tout à fait les mêmes en refermant ce livre et les portes de l'abbaye. Nicolas Diat est écrivain et éditeur. Il est notamment l'auteur d'Un temps pour mourir (Pluriel, 2019), et co-auteur avec le cardinal Robert Sarah, de Dieu ou rien (Pluriel, 2016), La Force du silence (Pluriel, 2017) et Le soir approche et déjà le jour baisse (Pluriel, 2020).
Comment mourir ? Comment répondre à nos peurs ?
Derrière les murs des monastères, les hommes de Dieu passent leur existence à préparer le grand passage.
Peuvent-ils nous aider à comprendre la souffrance, la maladie, la peine et la solitude des derniers instants ?
De Cîteaux à Lagrasse, de la Grande-Chartreuse à Solesmes, Nicolas Diat a recueilli les confidences de moines sur la fin de leurs vies. Au fil d'entretiens exceptionnels menés dans huit monastères, au plus près des « fils du silence », nous comprenons que leurs morts ne se ressemblent pas : il y en a de simples, d'heureuses, de belles et de lumineuses, des agonies lentes ou douloureuses.
Si chaque expérience est singulière, les douleurs des moines, en revanche, nous sont familières : ce sont celles de tous les hommes.
Porté par une écriture délicate, l'ouvrage de Nicolas Diat aborde avec grâce et sensibilité la question de la mort, en ouvrant les portes des abbayes.
Spécialiste reconnu de l'Église, écrivain, Nicolas Diat est l'auteur de L'Homme qui ne voulait pas être pape et, co-écrits avec le cardinal Robert Sarah, de Dieu ou rien et La Force du silence. Il vient de faire paraître, avec le cardinal Robert Sarah, chez Fayard, Le soir approche et déjà le jour baisse.
Quand Joseph Ratzinger devient le 265e souverain pontife de l'Eglise catholique, la foule qui se presse devant la basilique Saint-Pierre est bien loin d'imaginer que cet homme élu par les cardinaux ne voulait pas être pape. Benoît XVI pressent que son règne ne sera pas facile. Cet intellectuel lutte pour purifier l'Eglise, parler de Dieu, redonner un sens au rapport entre la foi et la raison. Très vite, le pontificat est rattrapé par les lois secrètes de la Curie, gouvernement unique par ses codes, ses coutumes, ses grandeurs et ses rigidités.
Après la renonciation historique de Benoît XVI et l'élection du jésuite Bergoglio, l'Eglise semble entrer dans une nouvelle ère. Réforme spirituelle, effet de mode ou véritable rupture ? Nicolas Diat répond à cette question et à bien d'autres dans ce document fascinant qui nous plonge dans les coulisses et les secrets du Saint-Siège.
Dans ce nouveau livre d'entretien, le cardinal Robert Sarah et Nicolas Diat se penchent sur les grandes crises du monde contemporain, tout en livrant une importante leçon spirituelle : l'homme doit faire du chemin de sa vie l'expérience d'une élévation de l'âme.
Notre monde est au bord du gouffre, tel est le constat du cardinal Robert Sarah. Crise de la foi et de l'Église, déclin de l'Occident, trahison de ses élites, relativisme moral, mondialisme sans limite, capitalisme débridé, nouvelles idéologies, épuisement politique, dérives du totalitarisme islamiste...
Le temps est venu d'un diagnostic sans concession. Il ne s'agit pas seulement d'analyser le grand retournement de notre époque : tout en faisant prendre conscience de la gravité de la crise traversée, le cardinal démontre qu'il est possible d'éviter l'enfer d'un monde sans Dieu, d'un monde sans homme, d'un monde sans espérance.
Dans cet ambitieux entretien avec Nicolas Diat, le cardinal Robert Sarah se penche sur les crises du monde contemporain en livrant une importante leçon spirituelle : l'homme doit faire du chemin de sa vie l'expérience d'une élévation de l'âme, et ainsi quitter cette vie en créature plus élevée qu'il n'y était entré.
Né dans la brousse africaine, il a quitté son village à onze ans afin d'entrer au petit séminaire, avec pour seul trésor une valise confectionnée par son père. Après avoir été ordonné prêtre dans un pays miné par une dictature sanguinaire, il est devenu, à trente-trois ans, le plus jeune archevêque du monde et a lutté avec une énergie formidable pour la liberté de son peuple.
Cet homme profondément spirituel se nomme Robert Sarah. Jean-Paul II l'a appelé à Rome en 2001, Benoît XVI l'a créé cardinal en 2010, et François en a fait l'un de ses plus proches collaborateurs en le nommant à la tête de la prestigieuse Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements.
Au fil d'un entretien exclusif, le cardinal, réputé pour sa liberté de parole, livre ses réflexions sur l'Église, les papes, Rome, le monde moderne, l'Afrique, l'Occident, la morale, la vérité, le mal, et Dieu, toujours.
Le cardinal Robert Sarah, figure clé du monde catholique, a publié avec l'écrivain Nicolas Diat, spécialiste reconnu des arcanes du Vatican et de l'Église, La Force du silence, traduit dans 15 langues. Dieu ou rien a également été traduit dans le monde entier.Préface de Monseigneur Georg Gänswein