Enlevé à l'affection de son maître, Buck devient chien de traîneau dans le Grand Nord.
Il découvre la cruauté des hommes et la rude loi de l'attelage. Sa vie n'est plus qu'une course interminable entrecoupée de combats de chiens. Un nouveau maître gagne de nouveau sa confiance et son affection, mais son instinct sauvage se réveille. Buck pourra-t-il résister à l'appel de la forêt ?
Fils d'une louve et d'un chien de traîneau, Croc-Blanc grandit dans le Wild, le grand désert blanc. Il y apprend sa dure loi : manger ou être mangé. Sa rencontre avec les hommes, les dieux faiseurs de feu, sera décisive. Il se soumet d'abord à l'autorité de l'Indien Castor-Gris, et devient chien de traîneau. Mais un autre maître, Beauty Smith, sanguinaire et brutal, l'engage dans des combats sans merci et réveille en lui toute la sauvagerie du Wild.Du loup ou du chien, lequel de ses instincts finira par l'emporter ?
La raison du plus fort : telle est la devise de Loup Larsen, capitaine de la goélette phoquière Le Fantôme.
Violent, brutal, ne vivant que pour dominer les autres, Loup terrorise son équipage. Recueilli à la suite d'un naufrage, Humphrey Van Weyden, un homme de lettres, va être contraint de vivre dans l'enfer du diabolique Loup Larsen, le loup des mers.
«Il se souvint des conseils du vieux de Sulphur Creek. Ce dernier lui avait exposé avec la plus grande gravité la règle de survie selon laquelle aucun homme ne doit voyager seul dans la région du Klondike, quand la température passe au-dessous de moins quarante-cinq degrés. Néanmoins, il s'y était risqué. Il avait eu l'accident tant redouté et il était seul.» Cette nouvelle, l'une des plus connues de Jack London, est une étonnante évocation du courage et de l'énergie propres aux aventuriers du Grand Nord. Une magnifique leçon pour ne pas oublier que, dans ces contrées, il ne faut jamais voyager seul... Julie Sicard a choisi Construire un feu : «Il y a certains livres qu'on vous offre qui deviennent les livres que l'on aime offrir. Construire un feu est de ceux-là.» L'écoute en classe de ce CD est autorisée par l'éditeur.
Nul n'est plus difficile à saisir que Jack London. Écrivain populaire, selon un étiquetage hâtif, lu dans les foyers plutôt qu'à l'université, mal édité aux États-Unis, pourtant traduit dans toutes les langues, connu et aimé dans le monde entier, il semble appartenir, plutôt qu'à la littérature, à un imaginaire collectif où la dénomination «Jack London» incarnerait l'esprit d'aventure sous ses formes les plus violentes.
Sa vie, menée à un train d'enfer, est souvent confondue avec ses livres, l'ensemble composant une sorte de légende hybride dans laquelle «la vie» ne cesse de l'emporter en prestige sur des ouvrages qui n'en seraient que la pâle imitation. C'est oublier que les équipées du jeune London sont inspirées des récits héroïques lus dans son enfance : la littérature précède et commande la carrière tumultueuse du jeune aventurier risque-tout. Ses livres sont les produits d'une authentique volonté créatrice.
Mais il faut être juste : London, mythographe de lui-même, n'a pas peu contribué à cette confusion. L'autodidacte, l'ange au corps d'athlète, l'écrivain-chercheur d'or, l'écrivain-navigateur, le reporter, le prophète de la révolution socialiste, le gentleman-farmer - les images qui composent le mythe sont largement une création de cet homme acharné à goûter de toutes les intensités que la vie peut offrir.
Revenir aux textes de Jack London et le rendre à la littérature, telle est l'ambition de ces volumes, enrichis de la totalité des illustrations et photographies des premières éditions américaines. Les traductions, nouvelles, s'efforcent de ne pas atténuer les étrangetés d'un style que l'écrivain a souvent déclaré s'être forgé sans autre maître que lui-même. Tous les genres que London a abordés sont représentés : le roman, le récit, le reportage, l'autobiographie. Une place importante a été faite à la nouvelle : on propose en tout quarante-sept proses brèves, et c'est peut-être par là qu'il faut commencer pour saisir ce que London demande à l'écriture de fiction.
Nul n'est plus difficile à saisir que Jack London. Écrivain populaire, selon un étiquetage hâtif, lu dans les foyers plutôt qu'à l'université, mal édité aux États-Unis, pourtant traduit dans toutes les langues, connu et aimé dans le monde entier, il semble appartenir, plutôt qu'à la littérature, à un imaginaire collectif où la dénomination «Jack London» incarnerait l'esprit d'aventure sous ses formes les plus violentes.
Sa vie, menée à un train d'enfer, est souvent confondue avec ses livres, l'ensemble composant une sorte de légende hybride dans laquelle «la vie» ne cesse de l'emporter en prestige sur des ouvrages qui n'en seraient que la pâle imitation. C'est oublier que les équipées du jeune London sont inspirées des récits héroïques lus dans son enfance : la littérature précède et commande la carrière tumultueuse du jeune aventurier risque-tout. Ses livres sont les produits d'une authentique volonté créatrice.
Mais il faut être juste : London, mythographe de lui-même, n'a pas peu contribué à cette confusion. L'autodidacte, l'ange au corps d'athlète, l'écrivain-chercheur d'or, l'écrivain-navigateur, le reporter, le prophète de la révolution socialiste, le gentleman-farmer - les images qui composent le mythe sont largement une création de cet homme acharné à goûter de toutes les intensités que la vie peut offrir.
Revenir aux textes de Jack London et le rendre à la littérature, telle est l'ambition de ces volumes, enrichis de la totalité des illustrations et photographies des premières éditions américaines. Les traductions, nouvelles, s'efforcent de ne pas atténuer les étrangetés d'un style que l'écrivain a souvent déclaré s'être forgé sans autre maître que lui-même. Tous les genres que London a abordés sont représentés : le roman, le récit, le reportage, l'autobiographie. Une place importante a été faite à la nouvelle : on propose en tout quarante-sept proses brèves, et c'est peut-être par là qu'il faut commencer pour saisir ce que London demande à l'écriture de fiction.
Depuis plus de vingt ans, Scruff Mackenzie parcourt le grand Nord canadien, chassant le renne et cherchant l'or. Mais jamais la solitude ne lui a paru aussi insupportable. Il décide de prendre femme et se rend chez les Sticks, de farouches Indiens. Pour eux, les hommes blancs sont les fils du Loup, il faut s'en méfier. Mackenzie pourra-t-il obtenir la main de la belle Zarinska, la fille du chef ?
A dix-huit ans, jack london quitte son emploi et part découvrir le monde.
Passager clandestin à bord des trains, il parcourt des milliers de kilomètres à travers l'amérique du nord. prenant tous les risques, il croise sur son chemin les " gosses de la route ", ces vagabonds du rail qui bravent le froid, la faim et la loi, mais goûtent l'ivresse de l'aventure. cette expérience extraordinaire marquera sa vie.
Nul n'est plus difficile à saisir que Jack London. Écrivain populaire, selon un étiquetage hâtif, lu dans les foyers plutôt qu'à l'université, mal édité aux États-Unis, pourtant traduit dans toutes les langues, connu et aimé dans le monde entier, il semble appartenir, plutôt qu'à la littérature, à un imaginaire collectif où la dénomination «Jack London» incarnerait l'esprit d'aventure sous ses formes les plus violentes.
Sa vie, menée à un train d'enfer, est souvent confondue avec ses livres, l'ensemble composant une sorte de légende hybride dans laquelle «la vie» ne cesse de l'emporter en prestige sur des ouvrages qui n'en seraient que la pâle imitation. C'est oublier que les équipées du jeune London sont inspirées des récits héroïques lus dans son enfance : la littérature précède et commande la carrière tumultueuse du jeune aventurier risque-tout. Ses livres sont les produits d'une authentique volonté créatrice.
Mais il faut être juste : London, mythographe de lui-même, n'a pas peu contribué à cette confusion. L'autodidacte, l'ange au corps d'athlète, l'écrivain-chercheur d'or, l'écrivain-navigateur, le reporter, le prophète de la révolution socialiste, le gentleman-farmer - les images qui composent le mythe sont largement une création de cet homme acharné à goûter de toutes les intensités que la vie peut offrir.
Revenir aux textes de Jack London et le rendre à la littérature, telle est l'ambition de ces volumes, enrichis de la totalité des illustrations et photographies des premières éditions américaines. Les traductions, nouvelles, s'efforcent de ne pas atténuer les étrangetés d'un style que l'écrivain a souvent déclaré s'être forgé sans autre maître que lui-même. Tous les genres que London a abordés sont représentés : le roman, le récit, le reportage, l'autobiographie. Une place importante a été faite à la nouvelle : on propose en tout quarante-sept proses brèves, et c'est peut-être par là qu'il faut commencer pour saisir ce que London demande à l'écriture de fiction.
He took great care to impress the men that he was a mighty hunter, and the camp rang with his plaudits when he brought down a moose at six hundred yards. Of a night he visited in Chief Thling-Tinneh's lodge of moose and cariboo skins, talking big and dispending tobacco with a lavish hand. Nord id he fail to likewise honor the Shaman ; for he realized the medicine-man's influence with his people, and was anxious to make of him an ally.Trois nouvelles pour voyager avec les chercheurs d'or. Lisez Jack London en anglais, avec des notes au fil du texte pour expliquer les mots difficiles.
Sur les traces des chercheurs d'or, dans l'immensité du Grand Nord, la grande aventure dans trois des plus célèbres romans de Jack London:Croc-BlancL'appel de la forêtLe fils du Loup
Seul, sans vivres et sans munitions, un homme marche dans le grand nord canadien.
S'il veut sauver sa vie il doit marcher, toujours marcher, en espérant atteindre l'océan arctique oú, peut-être, il sera recueilli par un baleinier. un matin, un loup encore plus affamé que lui, se met à le suivre, guettant le moindre signe de faiblesse pour bondir sur sa proie.
Lors d'une chasse au phoque, égarée dans le brouillard, une goélette s'aventure en zone interdite russe. Bob et Paul rêvent de vivre, sur leur voilier, une aventure extraordinaire. Soudain un bateau pirate surgit et c'est l'abordage... La dernière nouvelle nous entraîne chez les pilleurs d'huîtres aux Etats-Unis. Trois histoires de jeunesse de Jack London, trois odes à la mer captivantes.