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Alexander Kent
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Janvier 1819. Le capitaine de vaisseau Adam Bolitho appareille pour Freetown, capitale de la Sierra Leone tristement renommée pour son trafic d'esclaves. L'Onward, vaisseau de Sa Majesté britannique, doit y délivrer des ordres scellés à l'officier supérieur en poste. Pourquoi tant de mystère, pourquoi une telle urgence ? Et pourquoi précisément l'Onward, à peine sorti du combat sanglant qu'il a livré sur les côtes barbaresques contre le Nautilus ?
D'autant qu'en Sierra Leone, la traite des Noirs est désormais interdite. Mais elle reste encore largement répandue.
Et dans tous les ports, nombre de navires attendent leur démantèlement, laissant leurs officiers et une foule de marins à quai. Sans le vouloir, Adam Bolitho éveille donc tensions et jalousies.
Ultime rebondissement : lors de la traversée du retour, l'équipage de l'Onward découvre les débris d'une frégate amie. Des corps sont éparpillés dans les eaux infestées de requins, mais aucun ennemi n'est en vue. Qui peut bien être l'auteur de ce massacre ?
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1774, en Angleterre. Richard Bolitho et Martyn Dancer doivent valider leur nouveau statut d'officiers du roi par un voyage entre Plymouth et Guernesey. Ce qui devait être une simple traversée de routine va se transformer en périple riche d'aventures.
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Le capitaine de frégate Richard Bolitho, en ce mois de janvier 1782, aurait dû être porté par la seule fierté d'aller prêter main-forte aux corsaires de la Révolution américaine naviguant au large des Caraïbes. Las !, son équipage est au bord de la mutinerie. Ces hommes, gueux, meurtriers ou paysans arrachés à leur terre à coups de gourdin, vont côtoyer le pire : chefs hagards couverts de débris humains, compagnons au ventre ouvert s'arrachant les entrailles pour en finir, membres tranchés glissant dans la mélasse pourpre... Oui, le jeune Bolitho aurait dû être fier. En aura-t-il seulement le temps ? « Nul doute n'est permis : nous avons pris le large avec un vrai, un grand écrivain d'aventure. » Michel Le Bris « ... le maître incontesté du roman d'aventures maritimes. » The New York Times
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1817. Le moindre estuaire, le port le plus modeste, sont envahis de vaisseaux fantômes, tous plus célèbres les uns que les autres, mais en surnombre maintenant que la guerre est finie. Adam Bolitho, quelques mois seulement après la bataille d'Alger, peut-être la dernière grande bataille sous voiles, est relevé du commandement de la frégate Le Sans-Pareil. En ces temps de paix fragile, alors qu'il brûle de connaître les nouvelles instructions de l'Amirauté, mais aussi de revoir la belle et sauvage Lowenna, il se voit proposer l'Athéna, vaisseau de soixante-quatorze, comme capitaine de pavillon du vice-amiral Graham Bethune. Et cette fois, c'est aux Antilles que son destin l'entraînera.
Mais dans ces eaux que hante encore le souvenir de son oncle Richard, où l'on combattait autrefois un ennemi devenu un allié douteux, ce sont des négriers qu'il faut désormais traquer : des renégats qui n'arborent aucun pavillon, pour qui les lois et tous les Actes du Parlement ne sont que des chiffons de papier, des hommes sans visage prêts à prendre tous les risques.
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Février 1818. La marine anglaise sort épuisée de trente ans d'incessants conflits, et le capitaine de vaisseau Adam Bolitho, qui vient de quitter le commandement de l'Athéna, n'aspire qu'à une seule chose : se marier avec sa douce Lowenna. Mais l'Amirauté a d'autres ambitions, et lui confie le commandement d'une frégate flambant neuve dont la première mission n'est pas la guerre, mais la diplomatie.
Adam reprend la mer, conscient de la jalousie et de l'ambition qui règnent chez ses officiers, de l'inquiétude de ses aspirants et, enfin, de la proximité du vieil ennemi. C'est seulement lorsque le Nautilus, une frégate française, est offert en sacrifice que tous découvrent combien la fraternité des gens de mer est plus forte que tous les souvenirs amers nés d'un océan de sang et de décennies de guerre.
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La France révolutionnaire vient de déclarer la guerre au monde. Promu, malgré son jeune âge, commandant de l'Hypérion, Richard Bolitho s'initie à la discipline impi-toyable du combat d'escadre. Tant de variables incontrôlables, telles que le vent, l'humeur des hommes ou la peur, entrent dans ces vastes parties d'échecs que sont les combats sur mer, que le plus rude des hommes peut s'effondrer. Bolitho, alors que les Anglais organisent le blocus de Toulon, réussit pourtant un coup magistral ! Mais gagne-t-on jamais à ce jeu où la mort est bien souvent la rançon de la victoire et où le succès d'un jour est détruit par la défaite du lendemain ?... « Nul doute n'est permis : nous avons pris le large avec un vrai, un grand écrivain d'aventure. » Michel Le Bris « . le maître incontesté du roman d'aventures maritimes. » The New York Times
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Nous sommes en décembre 1815 et les consignes d'Adam Bolitho sont sans équivoque. En tant que capitaine de la frégate Le Sans-Pareil, il doit se rendre de toute urgence à Freetown, capitale de la Sierra Leone, pour prêter main-forte à l'officier de l'escadron actuellement en poste. Mais tous les efforts de la marine anglaise pour juguler la florissante et lucrative traite des Noirs pratiquée par des « pirates barbaresques » sont entravés par l'indifférence d'un gouvernement plus occupé par son vieil ennemi français et par les menaces du Dey d'Alger, qui ne présagent rien de bon.
Pour Adam, aussi, il n'y a pas de place pour la paix. Toujours esseulé, toujours aussi inconsolable depuis la perte de Zénoria, peiné par l'éloignement de Lady Catherine Somervell, désormais maîtresse de Lord Sillitoe, retrouvera-t-il l'apaisement dans les bras de Lowenna ?
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Juin 1815. À la veille de la bataille de Waterloo, le peuple britannique, las de plusieurs décennies de guerre avec la France, sent que le dénouement approche et se prend à espérer.
La défaite de Napoléon inaugure en effet une période de domination anglaise et de paix. Comment Adam Bolitho, officier de Sa Majesté aux commandes du Sans-Rival, va-t-il aborder celle-ci ?
L'existence d'un capitaine de vaisseau est par nature solitaire. Cependant, cette solitude pèse plus que jamais à Adam, endeuillé par la perte de son oncle, Sir Richard Bolitho. De plus, il s'inquiète des bouleversements qui attendent la Royal Navy, à l'aube d'une nouvelle ère. Pour lui, les ennemis d'hier ne revêtent le masque de l'amitié que pour mieux conspirer contre l'Angleterre.
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En 1800.
Le, succès de Bonaparte inquiètent l'Europe. :Alors que la Russie. la Prusse et la Suède se rallieraient volontiers à un " pacte de neutralité ". l'Angleterre décide de mener contre le futur empereur une lune acharnée. Tout juste promu contre-amiral dans l'imposante flotte commandée par le jeune Horatio Nelson. Richard Bolitho se voit confier par la Reine une petite escadre déployée en Baltique où tout se joue désormais...
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Mars 1777. Le jeune lieutenant Bolitho s'embarque à bord du Trojan à destination de New York pour contrer les corsaires soutenant l'insurrection des colons d'Amérique. L'ambiance est morose à bord et la mutinerie n'est pas loin. L'Amirauté, craignant de possibles rébellions, invite les commandants d'unités à redoubler de férocité envers les hommes. Est-ce le bon choix quand on sait que ce sont souvent les équipages qui gagnent les batailles ?...
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L'amiral Richard Bolitho regagne l'Angleterre après plusieurs mois d'une campagne éprouvante au large des côtes américaines. La guerre avec les États-Unis n'est pas encore finie, cependant la nouvelle de la défaite de Napoléon puis celle de son abdication ont frappé de stupeur la marine et les sujets de Sa Majesté, laissés exsangues par des années de conflit en Europe. Alors que la victoire semblait un rêve impossible, Bolitho peut désormais envisager son avenir avec sérénité...
Pourtant, l'Amirauté l'envoie à Malte sans beaucoup d'égards. Doit-il voir dans cette affectation une marque de confiance ou au contraire une ruse perverse destinée à l'éloigner de la femme qu'il aime et de la liberté à laquelle il aspire tant ? Il l'ignore, mais l'appel du devoir résonne plus fort que jamais, plus fort que le message que lui dicte son coeur. Et sur la mer Méditerranée, où il a déjà connu la gloire comme le malheur, Bolitho se trouve confronté aux soubresauts de l'histoire et à la renaissance d'un tyran détesté. Saura-t-il en réchapper ?
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1811. Après un repos bien mérité en Cornouailles auprès de sa douce Catherine, l'amiral Richard Bolitho est rappelé à Londres. Pour défendre les intérêts de l'Empire, l'Amirauté doit contenir les troubles en Amérique ou envisager la guerre avec ses amis de naguère. Si la voie de la diplomatie échoue, celle des armes s'imposera.
Pour cette mission à haut risque, Bolitho, promu amiral, devra compter sur le courage et la loyauté de ses plus fidèles officiers, et sur la confiance de ses proches. Menée par L'Indomptable, sa flotte devra également tenir la distance qui sépare Plymouth de la Nouvelle-Angleterre.
Dans les eaux troubles de l'Atlantique, l'escadron volant de l'amiral Bolitho sera confronté à une première et suprême épreuve. Il devra en découdre, au nom de la liberté.
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Mars 1808 : la guerre s'étend en Europe. Napoléon a conquis le Portugal et menace désormais l'Espagne, son vieil allié. Les caisses de la Royal Navy se vident alors qu'elle doit encore maintenir le blocus des ports ennemis et affréter d'autres bateaux pour lutter contre la traite des Noirs, à la suite du vote d'une nouvelle loi anti-esclavage. Tourmenté par la peur de devenir aveugle le viceamiral Sir Richard Bolitho reçoit l'ordre de se rendre a~ cap de Bonne-Espérance afin d'y établir une force navale permanente. Il laisse derrière lui une société qu'il méprise et le souvenir amer d'une amitié trahie pour embarquer sur un navire dont le sort est scellé Le Pluvier Doré, avec la belle Catherine, son intrépide maîtresse:
Mais il n'est pas seul à bord à fuir les fantômes du passé. Lorsque le navire fait naufrage au large des côtes africaines, un récif d'une centaine de milles devient le théâtre d'une lutte emblématique pour la survie.
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1798 est l'année de tous les dangers pour Richard Bolitho. Récemment promu commodore, en proie aux sautes d'humeur de sa troupe et aux caprices des tempêtes, il subit en Méditerranée les assauts répétés d'une impressionnante armada française qui ne cesse de se moderniser. L'enjeu, loin des côtes de l'Angleterre, n'est rien de moins que le sort de la nation. Aussi, quand s'ouvre enfin sur les eaux du Nil la bataille d'Aboukir, Richard Bolitho sait que ce qui se joue là tutoie l'Histoire et dépasse de loin son seul avenir personnel...
« Nul doute n'est permis : nous avons pris le large avec un vrai, un grand écrivain d'aventure. » Michel Le Bris « ... Le maître incontesté du roman d'aventures maritimes. » The New York Times
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Février 1813 : Sir Richard Bolitho regagne Halifax, en Nouvelle-Écosse, afin de poursuivre une guerre dont il doute sérieusement de l'issue, mais que ni le Royaume-Uni ni les États-Unis ne peuvent se permettre de perdre. Après trente années de conflit, la France comme l'Angleterre sont fatiguées. Et l'amiral Bolitho aspire seulement à la paix.
Mais celle-ci n'a pas cours sur les eaux glacées du Canada, où les ressortissants de cette jeune nation en colère affirment leur identité en luttant à mort contre ceux qui partagent avec eux un héritage commun.
La paix ne règne pas plus au sein des équipages battant pavillon anglais : Adam, amer, pleure son bateau et son amour perdus ; le contre-amiral Valentine Keen, quant à lui, peine à assumer ses responsabilités.
Enfin, la paix n'est pas le but ultime de ceux, nombreux, qui voient avant tout dans cette guerre le moyen d'assouvir une vengeance personnelle.
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Juin 1809. De retour en Angleterre après avoir battu et fait prisonnier le contre-amiral Baratte à la Martinique, sir Richard Bolitho profite d'un court repos auprès de son grand amour, Lady Catherine Somervell. Mais l'ombre d'un nouveau conflit assombrit déjà l'horizon. La récente union entre la France et les États-Unis laisse présager à l'Angleterre des heures sombres sur les routes maritimes des Indes.
Envoyé sous les vents de l'océan Indien pour contrer les menaces françaises, Bolitho y trouvera bien plus que la gloire : la certitude qu'il existe pour lui une destinée au-delà des mers.
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LE LIVRE :
Été 1801. Après une incursion mouvementée dans la Baltique - où diverses puissances réputées " neutres " font en douce le jeu de Bonaparte - Richard Bolitho est dépêché par l'Amirauté sur un autre front, beaucoup plus directement menaçant. Il se murmure que le Corse, qui n'a pour l'heure que la Paix à la bouche, prépare en secret l'invasion de l'Angleterre !
Le jeune amiral, embarqué sur une simple frégate, retrouve dans l'instant les réflexes et l'impulsivité de ses vingt ans. Il ne lui en faudra pas moins pour se tirer bientôt d'un mauvais pas après être tombé entre les mains de l'ennemi...
AUTEUR :
Douglas Reeman est né en Angleterre en 1924. Engagé à seize ans dans la Royal Navy, au sein de laquelle il sert durant la Seconde Guerre mondiale en Atlantique et en Méditerranée, il entamera en 1968 la saga dédiée au Capitaine Bolitho qu'il signera du nom de l'un de ses camarades mort au combat.
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En printemps 1792, profitant d'une brève période de paix, l'Amirauté envoie le capitaine Bolitho, à la tête d'une flottille de trois cotres à hunier, écumer les côtes de la douce Angleterre afin de recruter des hommes capables de servir demain sur les vaisseaux du Roi. Vilaine tâche en vérité ! De fait, les marins d'Albion préfèrent, au service armé rarement choisi, l'aventure plus lucrative de la contrebande. C'est une véritable confrérie de malfaiteurs organisant crimes et trafics à grande échelle et soutenue en haut lieu par quelques exploiteurs de la misère humaine que Bolitho va devoir affronter...
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Suite de la reprise en collection " Libretto " de la légendaire série " Captain Bolitho ", qui valut au très britannique Alexander Kent d'être salué par le New York Times comme " le maître incontesté du roman d'aventures maritimes. "
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Fin 1773. Bolitho a seize ans à l'heure de son deuxième embarquement en qualité d'aspirant de Marine. C'est sur la Gorgone, un imposant vaisseau de soixante-quatorze canons qui appareille pour une destination inconnue, que le « petit » Richard fera son rude apprentissage : promiscuité des entreponts, brutalité des maîtres d'équipage, peur nouée au ventre à l'heure des manoeuvres dans la voilure quand le gros temps malmène le navire - sans parler de quelques coups fourrés non prévus au programme. Suite de la réédition en collection « Libretto » de la légendaire série de romans de mer « Capitaine Bolitho ». Des romans qui ont valu à Alexander Kent d'être qualifié par le New York Times de « maître incontesté du roman d'aventures maritimes ».
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En 1802, l'Angleterre vient de signer la paix d'Amiens, plutôt favorable à la France de Napoléon, mais qui permet à la Navy de réparer ses forces, épuisées par dix années de guerre.
Le traité prévoit que l'Angleterre rende à la France l'îlot stratégique de San Felipe, qui commande le détroit séparant Cuba de Saint-Domingue. Richard Bolitho, dépêché sur place à la tête d'une flottille, est chargé de veiller à ce que la remise des clés de l'île se passe sans heurt. Une mission « pacifique » à ceci près que la paix n'est pas du goût de tout le monde, et que les canons sont là pour le rappeler à ceux qui auraient la naïveté de croire qu'un traité est fait pour être respecté.
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Février 1806. Le vice-amiral Richard Bolitho appareille de Portsmouth à destination du Cap afin d'arracher la ville aux Hollandais et d'assurer la sécurité des liaisons de la Couronne avec l'Inde. Victorieux en dépit de la faiblesse de ses troupes, Bolitho se voit confier, à son retour, une mission diplomatique délicate au Danemark, tandis que les rangs de ses chers compagnons continuent de se clairsemer.
Malgré la retentissante victoire de Trafalgar quelques mois auparavant, la défaite de Napoléon n'est guère assurée, et ceux qui s'engagent avec Bolitho vont découvrir une nouvelle fois que seule la mort sort victorieuse des batailles humaines.
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Méditerranée, 1797. Richard Bolitho vient de franchir la quarantaine avec le grade de «capitaine de pavillon».La guerre menée contre la France s'éternise et menace de mal tourner. À dire vrai, c'est même l'une des pires périodes qu'ait connues la Marine britannique: celle de la Grande Mutinerie. Il se murmure que la France du Directoire, qui ne manque pas de généraux ambitieux, aurait le projet de s'accaparer les routes du Sud et de l'Orient. Alliés imprévus des Français, les corsaires d'Alger se révèlent des adversaires avec lesquels il faut compter. Après des années de conflit, le découragement guette Bolitho et ses troupes. L'heure serait presque à la nostalgie. si les contraintes du blocus ne ramenaient par force les hommes à une réalité qui exclut rêveries et regrets.