Les écologistes sont sur le terrain de la lutte contre les nuisances ce qu'étaient, sur celui des luttes ouvrières, les syndicalistes : des intermédiaires intéressés à conserver les contradictions dont ils assurent la régulation, des négociateurs voués au marchandage (la révision des normes et des taux de nocivité remplaçant les pourcentages des hausses de salaire), des défenseurs du quantitatif au moment où le calcul économique s'étend à de nouveaux domaines (l'air, l'eau, les embryons humains ou la sociabilité de synthèse) ; bref, les nouveaux courtiers d'un assujettissement à l'économie dont le prix doit maintenant intégrer le coût d'un « environnement de qualité ». On voit déjà se mettre en place, cogérée par les experts « verts », une redistribution du territoire entre zones sacrifiées et zones protégées, une division spatiale qui réglera l'accès hiérarchisé à la marchandise-nature. Quant à la radioactivité, il y en aura pour tout le monde.
Linky c´est un compteur d´électricité dit « intelligent », et prétenduement écologique. Un beau mensonge quand on sait qu´il faut jeter les 35 millions d´anciens compteurs, pourtant plus solides et plus économes en énergie.Si nous ne faisons rien, Linky va exploser une frontière. Avec cet outil, c´est l´État et le monde marchand qui pénètrent dans notre domicile. Dans le même temps, chacun, de nos faits et gestes seront tracés et marchandisés à notre insu, sous la forme de données.Bonus ! Contient un mode d´emploi pour démonter un compteur Linky et rebrancher un ancien compteur.
Depuis un siècle et demi, Grenoble s'est imposée dans le domaine des hautes technologies grâce à la relation privilégiée qu'entretient l'industrie avec la recherche scientifique locale. « Ce modèle grenoblois », considéré comme une recette miracle de développement économique, a été reproduit dans toutes les régions de France (pôles de compétitivité). Mais cette symbiose implique un troisième acteur plus discret : l'armée.
À travers le cas de la technopole grenobloise, L'Université désintégrée met en lumière les liens inextricables entre enseignement supérieur et business militaire. Le groupe Grothendieck est composé d'étudiant·e·s, de démissionnaires de l'Université, de non-experts experts de leur vie, de jardiniers utopistes et de fouineuses d'information.
Ce dernier numéro de la revue De tout bois revient sur l'abandon du projet de Center Parcs de Roybon, tire un bilan de cette lutte de 13 ans et propose des pistes de réflexions pour les luttes à venir.
Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces.
Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
« Au-delà des cagoules », « Chronologie de la lutte depuis le précédent numéro de la revue » et « Violences à Roybon », par le Comité de rédaction.
« État de droit et cha-cha-cha ! (suite) : Le code forestier de nouveau modifié au bénéfice de Pierre & Vacances », par Henri Mora.
« Les zones humides au Conseil d'Etat » et « Marche pour la forêt : montrons-leur de quel bois on se chauffe ! », par la Coordination Center Parcs : Ni ici, Ni ailleurs.
« Chronique d'une exécution », par Nicolas Bonanni.
« Les quatre enseignements de l'opération de maintien de l'ordre à Notre-Dame-des-Landes », par la Gendarmerie Nationale.
« Quelques sortilèges pour défendre la forêt des gendarmes et des mauvais esprits », par Çui-ci du groupe des sans-groupes.
« On fera pas dans la dentelle ! Quelques pistes contre l'industrie textile (et son monde) », par Les mal lainées ; reportage photographique.
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces. Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
En partant d'un exemple apparemment trivial - qui soupçonnerait le PVC d'être cancérigène ? -, les contributions réunies ici documentent les ravages quotidiens de l'industrie, sur notre santé et sur l'environnement. Une polémique sur le rapport de la gauche à l'emploi, à l'industrie et aux ouvriers. Un débat politique entre les partisans de la réindustrialisation et ceux qui rappellent cette évidence : nos vies valent plus que nos emplois.
C'est une affaire entendue depuis des dizaines d'années : dans les bistrots, les ateliers, les salles d'attente ou les chaumières ; à Grenoble ou ailleurs, on appelle Le Dauphiné Libéré le « Daubé ».
Ce surnom lui va si bien, résonne tellement comme une évidence que personne ne se donne la peine de l'expliquer. D'où vient-il ? Un hasard, un mauvais jeu de mots ? On ne sait pas. Le Dauphiné Libéré est daubé, voilà tout. Pourquoi perdre son temps à le démontrer ? Mais à trop se reposer sur cet acquis, on en ignore les enseignements. Car chercher à comprendre pourquoi Le Dauphiné Libéré est daubé permet de faire un voyage au coeur de l'histoire de la Presse Quotidienne Régionale, de la presse en général et de la vie politique grenobloise et d'en ramener des éléments de compréhension et du critique du monde dans lequel on vit.
Tel est le but de ce livre qui se penche sur l'histoire, le développement et le fonctionnement actuel du Daubé.
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces. Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue. De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces.
Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Au sommaire : « Maurice Thorez avait tort », par le comité de rédaction ; « Préparons-leur un hiver ardent », texte collectif ; « 50 ans de colonisation de la nature », par Julien Dumalet ; « Tourisme, un marché du rêve et du divertissement », par Jean-Philippe Descombes et Henri Mora ; chronologie de la lutte ; publicité.
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces. Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue. De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces. Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue. De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces. Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue. De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces. Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
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Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d'en laisser des traces.
Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Au sommaire : « La guerre des étoiles », « La situation juridique de la Zad », « Chronologie de la lutte », par le comité de rédaction ; « Plus un lieu est vécu, plus tu gagnes en intensité de présence au monde. », entretien avec Brindille et Rameau, habitants de la MaquiZad ; « Arrêt sur images », par Rocky Bouillebois ; « Résistances et thermostat », par Jeanne Mouline ; « Hit the road, Nina ! » par la coordination "Center Parcs : Ni ici, ni ailleurs" ; fiche botanique ;
Reportage photographique.
Savoir, c'est pouvoir. Gouverner c'est prévoir, donc dénombrer, mesurer, quantifier, répertorier, planifier. C'est à cette entreprise de connaissance rationalisée et donc de pouvoir que se livre l'administration.
« Détruire les villes ?
Mais vous n'y pensez pas ?
Mais si, mais si, on y pense... évidemment on ne va pas y aller au bulldozer ; pas non plus avec le dos de la cuillère. Pour l'instant, on utilise la poésie pour semer le doute dans les têtes... Et si une nuit étoilée ou une énorme vague avait plus de sens qu'un bus bondé aux heures de pointe? » Espace dominé et structuré par le Capital, la ville offre un terrain de lutte et de critique du capitalisme.
Publié de 2001 à 2006, Désurbanisme est un fanzine d'amoureux des villes passionnés par leur destruction, une boite à outils mêlant pensées et expériences critiques dans laquelle la lutte peut puiser du combustible.