Un guide culturel, un "beau livre" synthétique. Les Encyclopédies du Voyage permettent aux voyageurs de partager avec les habitants la richesse des lieux : les nombreuses illustrations apprennent à regarder pour mieux comprendre. Une présentation de l'histoire, des traditions, de l'art de vivre, de la nature et de l'architecture du pays, de la ville ou de la région, enrichie d'une abondante iconographie. Un guide qui se lit et relit : avant, pendant et après le voyage. Les Encyclopédies du Voyage dévoilent l'identité d'un pays, d'une région ou d'une ville en dégageant ses traits fondateurs.
Mais en même temps qu'il devient minoritaire, le catholicisme se diversifie. À l'époque de l'individu roi et des communautés choisies, le lien ecclésial se distend et le paysage religieux devient flou. Il n'y a donc plus une figure de l'Église mais des visages du catholicisme dont la section Religion de l'Institut Culturel de Bretagne ne cesse d'observer les modifications. Ce livre, qui associe études et témoignages, en donne quelques aperçus significatifs. La première partie s'inscrit à l'horizon du catholicisme tridentin et de son achèvement précipité dans les remous, largement imprévus, qui ont fait suite au concile Vatican II. La seconde se concentre plutôt sur la situation actuelle, marquée à la fois par l'accentuation du détachement religieux, la reconfiguration des stratégies ecclésiales et la gestion des enjeux patrimoniaux. La troisième, enfin, explore quelques chemins de la mémoire catholique.
La Bretagne et le pays de Galles forment un diptyque aussi fascinant que complexe : au cours de l'histoire, différentes relations se sont développées entre les deux, sur lesquelles des chercheurs bretons et gallois se sont penchés ensemble.
Les textes regroupés dans le présent ouvrage explorent l'histoire du pays de Galles et de la Bretagne, étudiant les évolutions intervenues au sein de chaque culture et la nature des échanges entre ces deux régions celtique, dans une approche contribuant à une nouvelle lecture transdisciplinaire de l'histoire culturelle grâce au croisement et à la mise en regard des perspectives galloise et bretonne.
L'institut culturel de Bretagne & Skol Uhel ar Vro organise chaque année une grande journée d'étude et de réflexion sur un thème spécifique de la vie culturelle bretonne. Le samedi 22 septembre 2007, l'institut posait ses valises à Saint Brieuc au centre Equinoxe et se penchait sur le thème des Arts plastiques en Bretagne.
Ce congrès, organisé par la section Art et Architecture de l'ICB, a rassemblé de nombreux intervenants aux compétences reconnues. Le public ne s'y est d'ailleurs pas trompé en venant nombreux assister aux débats.
Cette publication, enrichie de nombreuses illustrations, synthétise la richesse des échanges de cette grande journée.
La Table Ronde apparaît dans les récits arthuriens sous la plume de Robert Wace au milieu du XIIe siècle. Elle concrétise l'idéal chevaleresque et renvoie à un système éthique et militaire idéal qui a inspiré la création des ordres de chevalerie.
La dynastie des Montforts a mis en place très tôt, dès la fin du XIVe siècle, un ordre de chevalerie, l'Ordre de l'Hermine, dans le but politique de mieux lier cette aristocratie bretonne au duc et de renforcer le pouvoir du souverain breton.
La puissance du symbole était assez forte pour qu'au XXe siècle, les responsables politiques et culturels bretons reprennent l'idée en créant une distinction, le Collier de l'Hermine, remise aux femmes et aux hommes qui ont le mieux servi la Bretagne.
"La renaissance culturelle bretonne est née de la musique". Le 25 septembre 2004, à Châteaubriant, l'Institut Culturel de Bretagne organisait son colloque annuel consacré cette fois au thème "Bretagne est musique". Ce fut l'occasion de faire le point sur les quarante années passées. Les spécialistes présents pour cet important évènement ont planché sur les liens entre la musique et l'identité et sur le dynamisme musical d'aujourd'hui.
Ils ont mis en évidence la diversité et la formidable capacité de la musique (il faudrait même dire des musiques) à se renouveler et à digérer les influences multiples de notre société moderne. Ils ont pointé les conditions nécessaires à la diffusion et à la transmission d'une culture musicale bretonne vivante et originale aux futures générations.
Organisé conjointement par la section Anthropologie Culture et Patrimoine de l'Institut et par la Maison des Toiles, la journée du 19 mars 2005 a été l'occasion de partager les expériences conduites par des associations, des collectivités territoriales, des entreprises pour valoriser en Bretagne des éléments du patrimoine industriel : bâtiments, machines, savoir-faire...
La diversité des initiatives nous a mené à nous interroger sur les motivations et les significations possibles de ces actions.