Cahier d'écriture chinoise avec un interligne pour écrire le pinyin. De nombreux tableaux pour apprendre l'écriture et la prononciation du chinois.
S'adresse à tous les apprenants du chinois.
Sous les Sui (589-618), les Tang (618-907) et les Cinq Dynasties (907-960), la peinture chinoise connaît un essor sans précédent qui doit beaucoup à une politique impériale de soutien actif au monde des arts et des lettres, politique qui survit au démembrement de la Chine causé par l'effondrement de la brillante dynastie des Tang.
Profitant de la puissance de l'Empire, qui élargit le champ des échanges économiques et culturels, les peintres de l'époque, tout en poursuivant et raffinant la tradition héritée des générations précédentes, assimilent très vite le bagage artistique des peuples étrangers et des minorités établies aux confins de la Chine. Les moyens d'expression se diversifient, les techniques s'enrichissent, les thèmes traités gagnent en variété, la dimension esthétique s'affirme, la subjectivité, surtout, fait son apparition.
Ainsi, si la peinture de personnages s'attache toujours à restituer la réalité, elle tient aussi, désormais, à suggérer les états d'âme. Dans la peinture de paysage comme dans celle de fleurs et oiseaux, l'artiste cherche pareillement à exprimer les sentiments que la nature lui inspire. Reflet par excellence de la vie intérieure, la peinture bouddhique se révèle dès lors, elle aussi, exceptionnellement féconde.
Ces quatre siècles de peinture vont, par conséquent, exercer une influence déterminante sur l'évolution de l'art chinois. Très richement illustré, le présent volume en rassemble les chefs-d'oeuvre mais révèle aussi, au lecteur occidental, des compositions moins connues ou découvertes récemment. Commentées par les meilleurs spécialistes chinois, les oeuvres réunies ici forment la plus complète et la plus captivante des introductions à cet âge d'or de la peinture que fut l'époque des Sui, des Tang et des Cinq Dynasties.
L'art des grottes de Dunhuang, lesquelles regroupent, dans le nord-ouest de la Chine, les grottes de Mogao et de Yulin, ainsi que les cavernes des Mille Bouddha de l'Est et de l'Ouest, est mondialement célèbre.
Creusées dès le IVe siècle de notre ère, les grottes ont tour à tour souffert des vicissitudes de l'Histoire, des déprédations des hommes, du déchaînement du vent et du sable. Elles n'en ont pas moins conservé jusqu'à aujourd'hui plus de 45.000 mètres carrés de fresques et plus de 2.000 sculptures peintes. De quoi faire de ces 492 grottes et cavernes l'ensemble d'art bouddhique le plus riche et le mieux préservé au monde.
Dans la Chine antique, Dunhuang était un bourg important sur la Route de la Soie. Bien avant la construction des grottes, la civilisation des Han et des Jin s'y était déjà solidement implantée. Des Liang du Nord (421-439 ap. J.-C.) à la dynastie des Sui (589-618), l'art de la fresque va s'y développer de manière remarquable, puisant son inspiration dans les récits sacrés du bouddhisme comme dans la plus ancienne mythologie chinoise.
Les artistes qui s'affairent à la décoration des grottes, vont peu à peu mettre au point un art bouddhique proprement chinois, en assimilant aussi bien la tradition artistique de la nation han que les influences et les techniques des peuples étrangers et des minorités ethniques établies aux confins occidentaux de l'Empire. Ce volume rassemble 200 peintures représentatives réalisées durant la première période de Dunhuang, deux siècles qui ont vu se succéder les dynasties des Liang du Nord, des Wei du Nord, des Wei de l'Ouest, des Zhou du Nord et des Sui.
Le second tome présentera les fresques exécutées depuis les Tang (618-907) jusqu'aux Yuan (1276-1368). Enfin, un troisième volume de la collection traitera plus spécialement des sculptures peintes qui ornent les grottes de Dunhuang.
L'art des grottes de Dunhuang, lesquelles regroupent, dans le nord-ouest de la Chine, les grottes de Mogao et de Yulin, ainsi que les cavernes des Mille Bouddha de l'Est et de l'Ouest, est mondialement célèbre.
Creusées dès le IVe siècle de notre ère, les grottes ont tour à tour souffert des vicissitudes de l'Histoire, des déprédations des hommes, du déchaînement du vent et du sable. Elles n'en ont pas moins conservé jusqu'à aujourd'hui plus de 45.000 mètres carrés de fresques et plus de 2.000 sculptures peintes. De quoi faire de ces 492 grottes et cavernes l'ensemble d'art bouddhique le plus riche et le mieux préservé au monde.
Dans la Chine antique, Dunhuang était un bourg important sur la Route de la Soie. Bien avant la construction des grottes, la civilisation des Han et des Jin s'y était déjà solidement implantée. Des Liang du Nord (421-439 ap. J.-C.) à la dynastie des Sui (589-618), l'art de la fresque va s'y développer de manière remarquable, puisant son inspiration dans les récits sacrés du bouddhisme comme dans la plus ancienne mythologie chinoise.
Les artistes qui s'affairent à la décoration des grottes, vont peu à peu mettre au point un art bouddhique proprement chinois, en assimilant aussi bien la tradition artistique de la nation han que les influences et les techniques des peuples étrangers et des minorités ethniques établies aux confins occidentaux de l'Empire. Le premier volume a rassemblé 200 peintures représentatives réalisées durant la première période de Dunhuang, deux siècles qui ont vu se succéder les dynasties des Liang du Nord, des Wei du Nord, des Wei de l'Ouest, des Zhou du Nord et des Sui.
Ce second tome présente, en 203 illustrations, les fresques exécutées depuis les Tang (618-907) jusqu'aux Yuan (1276-1368). Enfin, un troisième volume de la collection traitera plus spécialement des sculptures peintes qui ornent les grottes de Dunhuang.
Les bronzes de la Chine antique sont célébrés à travers le monde pour la qualité et l'originalité de leur style; ils occupent une place importante dans l'histoire des Beaux-Arts de ce pays.
Les fouilles archéologiques ont commencé quelque trois mille ans avant l'ère chrétienne. Malgré leurs dimensions réduites, les bronzes des premiers temps présentaient déjà une décoration recherchée. A l'époque de la civilisation d'Erlitou, qui correspond à peu près à la dynastie des Xia, les bronzes chinois étaient de formes très diverses et leur décoration était déjà très élaborée ; à l'époque des Shang antérieurs, la technique utilisée pour leur fabrication permettait de réaliser aussi bien des objets de grande dimension que des assortiments.
L'époque des Shang postérieurs connut un développement encore plus poussé de la technique des bronzes ; on assiste alors à une rénovation des formes plastiques et de l'art de la décoration, symbole du premier sommet atteint par les bronzes chinois. Sous les Zhou de l'Ouest, les bronzes se sont développés sur les bases déjà acquises et, de luxueux et compliqué, leur style est devenu plus simple, phénomène qui témoigne du changement intervenu dans les esprits de l'époque.
Nombre d'entre eux portent une longue inscription dont la valeur en tant que document historique est égale à celle de témoin de l'art calligraphique pratiqué en ce temps. Les bronzes que présente ce volume proviennent des temps les plus reculés jusqu'à celui des Zhou de l'Ouest. Beaucoup n'avaient jamais été reproduits en couleur, ni même photographiés. Une présentation générale sur l'origine et l'évolution des bronzes chinois, figurent au début de ce volume ; chaque illustration est accompagnée d'un texte explicatif.